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Les mécanismes de la crise
provoquée par les promoteurs
du Nouvel Ordre Mondial
par eva R-sistons
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La situation est simple :
En GB comme en Grèce ou ailleurs,
toujours plus de suppressions d'emplois,
toujours plus de chômage,
des salaires toujours plus bas,
des taxes et des impôts toujours plus élevés,
les citoyens sont de plus en plus pauvres,
donc l'Etat s'appauvrit,
la croissance est menacée.
Dans le même temps,
les Grandes banques prêtent toujours plus d'argent,
à des taux d'intérêt usuriers,
à leur profit exclusif.
C'est l'endettement, de plus en plus colossal.
Les Etats-Unis, paradoxalement, sont le pays le plus endetté,
et ce pays fait marcher sa planche à billets.
C'est un Système qui repose sur du vent !
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Il faut rembourser l'argent prêté, la dette :
on ne peut arriver à rembourser que les INTERETS,
pas le capital prêté !
Les intérêts sont toujours plus durs à rembourser,
car il y en a toujours plus à rembourser
car il y a toujours plus de prêts.
Bref, il faudra sans cesse emprunter
pour rembourser les intérêts des emprunts
et cela avec une population toujours plus pauvre.
C'est donc impossible !
Au final, l'explosion est inévitable !
Le Traite de Lisbonne prévoit la peine de mort
pour les insurgés.
Comment devient-on insurgé ?
Des provocateurs se glissent au milieu des manifestants.
Ainsi, le manifestant devient un insurgé malgré lui.
Tout est prévu dans le cadre du Nouvel Ordre Mondial:
La crise, provoquée,
pour permettre le transfert des poches des citoyens
aux coffre-forts des Grandes banques.
Comme en Grèce:
Argent prêté à taux d'intérêt élevé,
privatisations forcées de tous les secteurs,
services publics comme patrimoine national.
Baisse des salaires, retraite plus tardive,
taxes plus élevées,
licenciements boursiers,
non-remplacement des fonctionnaires partant à la retraite,
suppressions de postes.
Baisse des prestations sociales,
suppression progressive des services publics.
Conséquence : Austérité, mécontentement,
révoltes, manifestations... insurrections.
Répressions...
La boucle est bouclée.
Le Nouvel Ordre Mondial assassin est en marche...
eva R-sistons
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La crise pour les optimistes :
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La Grèce vient d’avoir l’assurance qu’elle obtiendrait avant mi-juillet l’argent dont elle a un besoin urgent pour éviter la faillite dans l’immédiat, en attendant un nouveau plan de sauvetage sur lequel les discussions traînent en longueur. Le message officieux est que de nombreuses institutions bancaires viennent provisoirement d’éviter une méga tempête en inscrivant les créances grecques dans les la case « passif » de leur bilan comptable. Peu importe que la Grèce n’ait absolument aucune chance de s’en sortir avec le système actuel de prêt usurier, ce qui importe est de continuer à refiler de l’argent à la Grèce afin que ce pays poursuive ses versements d’intérêts aux banques impliquées dans le grand jeu ! Tant que les intérêts tombent, on peut continuer à faire comme si…
Il y a quelques heures donc, selon un communiqué publié à l’issue d’une téléconférence de leur forum de discussion, l’eurogrouples, les ministres des Finances de la zone euro ont donné leur feu vert au versement « d’ici le 15 juillet » à Athènes de 8,7 milliards d’euros de prêts. Dans le même temps, la dame Lagarde (des intérêts du cartel bancaire) assurera que le FMI débloque le versement de 3,3 milliards supplémentaires, probablement lors d’une réunion de son conseil d’administration le 8 juillet. Athènes touchera ainsi la cinquième tranche des 110 milliards d’euros sur trois ans promis en mai 2010 lors d’un premier plan de sauvetage. En échange de cet argent qui servira à payer les intérêts, la classe moyenne va payer un peu plus, elle fondra plus vite que les autres.
Pourquoi donc la Grèce ne peut-elle pas s’en sortir ? Parce que le pays doit la somme faramineuse de 350 milliards d’euros. Somme qui gonfle à chaque seconde avec des intérêts… et des taux scandaleux à une époque où l’on se dit « civilisé ». Tout le monde sait que ce jeu mené par le cartel bancaire s’arrêtera un jour. C’est bien la raison pour laquelle les techniciens de la Haute finance travaillent secrètement sur une refonte du système monétaire international. Le secret est que l’on ignore le jour, le mois… l’année, ce n’est plus très difficile. Il suffit de voir les 50 à 100 millions de retraits quotidiens qui sont réalisés dans de grosses banques européennes par de « gros clients ».
Maintenant que de l’argent frais est assuré, des politiciens grecs rappellent que la Grèce n’est toujours pas durablement à l’abri d’une faillite. Pour être sûr de tenir d’ici fin 2014, la Grèce a réclamé un deuxième plan de sauvetage d’un montant similaire au premier ! Les ministres des Finances de la zone euro ont promis des décisions sur ce point « dans les prochaines semaines ». Pour certains diplomates, les discussions pourraient se prolonger jusqu’après l’été et aboutir seulement en septembre. N’oublions pas que les politiciens devenus ministres ont toujours le beau rôle de promettre ce qui n’est absolument plus de leur ressort. Ceux qui n’ont pas encore compris les règles du jeu, de ce point de vue, peuvent interroger un certain DSK.
Au stade actuel, et pour éviter un superbe feu d’artifice, l’idéal est d’impliquer encore plus les banques privées. Vous voulez éviter de graves problèmes, leur dit-on, et bien c’est très simple, il faut participer au jeu poker/menteur. L’Institut de la finance internationale (IIF), le lobby mondial du secteur financier, a promis son soutien, et le principe d’un « roulement » de dette, voyant les créanciers renouveler une partie de leurs prêts arrivant à échéance d’ici fin 2014, est désormais acquis. Mais il faut régler des détails techniques complexes pour éviter que l’opération soit assimilée à un défaut de paiement d’Athènes, qui réduirait tous les efforts à néant. L’implication du secteur privé sera encore discutée lors d’une réunion de l’eurogroupe prévue à Bruxelles le 11 juillet.
Certaines capitales regardent le scénario grec avec une certaine crainte. Telles sont les capitales des pays suivant : Portugal et Irlande, sans oublier l’Espagne et l’Italie… On commence aussi à évoquer la Belgique et la France en sourdine, du moins tant que l’Elysée continuera à satisfaire l’ogre américain en prêtant sa « chair à canon » pour ses guerres impériales. C’est abject mais telle est la triste vérité. En attendant, du pain et des jeux pour le peuple qui va être tondu plus vite qu’il ne le croit.
http://liesidotorg.wordpress.com/2011/07/03/grece-une-incroyable-partie-de-poker-menteur/
http://cestquoidieu.files.wordpress.com/2010/06/crise-8.jpg
..
David Cameron, très lié au clan des Rothschild, a été élu pour mettre en place un certain nombre de mesures d’austérité identiques à celles que l’on voit apparaître dans divers pays européens. Mercredi, des centaines de milliers de salariés du secteur public ont entamé une grève de 24 heures au Royaume-Uni pour protester contre la réforme des retraites, un mouvement qui s’annonce comme le plus important depuis l’arrivée au pouvoir du conservateur David Cameron. A l’origine de cette grève, la réforme des retraites, toujours en discussion. Elle contraindrait les fonctionnaires « à cotiser plus, travailler plus longtemps et recevoir moins une fois à la retraite », selon les syndicats, avec notamment un report de l’âge de départ, repoussé à 66 ans en 2020, contre 60 pour la plupart des enseignants. Cette réforme est « essentielle » à cause du vieillissement de la population, sinon « le système des retraites risque de s’effondrer », assure pour sa part le gouvernement.
Ce qui paraît incroyable dans tout cela, c’est que l’on ne remet absolument pas en cause le SYSTEME à l’origine de la crise actuelle.
On débloque des milliards pour payer les seuls intérêts des créanciers arrivant à échéance, en assurant que les mesures de crise appliquées aux populations permettront d’apporter un mieux être pour les citoyens. Comme si le fait d’avoir de moins en moins d’argent peut assurer la croissance de la consommation intérieure d’un pays !
On fait donc ce qu’il faut pour assurer une prolongation du SYSTEME tout en paupérisant les populations européennes.
Bref, on ne fait que retarder l’échéance d’une banqueroute… comme si cette banqueroute devait survenir à un moment où les tensions géopolitiques mondiales au Proche-Orient doivent correspondre au plan.
Pike/Mazzini détaillé dans l’article Les étapes programmées du Nouvel Ordre Mondial.
GB : des manifestations importantes suite à des mesures de crise
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L'Etat-providence a signé son propre arrêt de mort !
A présent, c'est chacun pour soi.
Fini de rêvasser ! L'heure est grave.
(..) nous sommes désormais face à une situation intenable.
Pour dire les choses clairement, j'estime que d'ici deux ans maximum, votre pouvoir d'achat et votre épargne seront laminés par l'inflation -- et personne ne pourra rien y faire.
Retraités, salariés, étudiants, chômeurs... tout le monde va payer !
Pourquoi ? Parce que les politiques économiques menées depuis deux ans aux Etats-Unis et en Europe vont entraîner la faillite complète des Etats-providence.
Autrement dit, ne comptez pas sur eux pour utiliser leurs traditionnels leviers pour réduire l'inflation dans les années à venir : les commandes ne répondront plus.
La période que nous allons traverser sera pire qu'en 1980 ou en 2000, avec une inflation impossible à maitriser, qui va réduire votre pouvoir d'achat et vos économies drastiquement.
Et bien sûr, personne ne vous préviendra avant que la marée ne vous emporte.
Souvenez-vous du passage à l'euro : vous avez réalisé un jour que vos revenus ne permettaient plus de payer autant de choses qu'avant... et il était trop tard.
C'est pour cela que je vous écris aujourd'hui. Ce genre de situation a déjà eu lieu en France et prend systématiquement tout le monde par surprise : par manque d'informations. (..)
Je n'ai pas travaillé toute ma vie pour que mon épargne et mon pouvoir d'achat diminue comme peau de chagrin et j'imagine que vous non plus. (..)
La fuite en avant
de l'Etat-providence...
Je me présente, je m'appelle Simone Wapler.
Cela fait 10 ans que je travaille dans la presse financière et que j'annonce, souvent avec une longueur d'avance, les grands bouleversements économiques.
Vous m'avez peut-être déjà entendue sur BFM... vue sur France 5... et c'est vrai que la plupart du temps, j'annonce des catastrophes !
Que voulez-vous, c'est l'époque qui veut ça : bulle des dot.com... crise des subprime... crise du crédit... bulle obligataire... A peine une crise se fait oublier que déjà une autre se prépare.
Et voilà qu'aujourd'hui je crie à la faillite des Etats !
Avant de vous révéler le pot aux roses, dissipons un possible malentendu : je ne suis pas foncièrement contre l'Etat Providence. En soi, la question politique m'importe peu. Je raisonne en Investisseur.
Pour moi, l'Etat n'a rien à faire avec la Finance.
Et il n'aurait jamais dû mettre le premier doigt dans l'engrenage du "sauvetage" à tout va.
Maintenant, c'est trop tard : le risque de faillite s'est déplacé des banques vers les Etats.
Voyez-vous, mon point de vue est que les Etats-providence ont signé leur arrêt de mort le jour où ils ont décidé de venir en aide aux banques en employant des stratégies inefficaces.
Politique des taux bas et émission monétaire.
Vous avez là le cocktail de choc pour gonfler la masse monétaire avec de l'argent-dette -- des promesses -- sans avoir aucune garantie quant au remboursement de toutes ces dettes !
Dans la tête d'un banquier central, 1 $ de dette produit 1,5 $ de croissance. A ce rythme en effet, le remboursement ne devrait être qu'une simple formalité... en théorie.
Mais voilà ce qu'il s'est passé en pratique :
Les banques centrales ont baissé les taux d'intérêt pour permettre aux banques de contracter des crédits sans entrave et irriguer l'économie d'argent virtuel.
Manque de chance ou de flair, l'argent a inondé massivement les marchés des matières premières et les émergents -- peu ou pas l'économie interne. Un coup pour rien.
Puis elles ont lancé les fameux Quantitative Easing I et II -- assouplissements quantitatifs.
La première passe consistait à sauver les banques, en leur proposant d'une part des crédits à taux ridicules pour éponger leurs bilans et d'autre part de récupérer leurs actifs pourris.
Avec 1 700 milliards de dollars tout frais dans le circuit, les banques ont repris du poil de la bête -- mais les marchés ont très vite boudé la qualité des obligations émises par les Etats.
Retournement de situation : le sauveur commence à regretter sa bravoure...
Les banques centrales ont alors décidé d'imprimer encore plus de billets de manière à payer leurs dettes avec encore plus de dettes -- 1 000 milliards de plus pour le Quantitative Easing 2.
Le résultat : ces milliards de dollars sont sortis de la planche à billets sur la seule bonne foi d'une reprise de l'économie... un jour ou l'autre.
Le bilan de cette politique économique est simple : en 2010, les Etats-Unis ont connu une croissance de 2,9%. Le PIB américain a augmenté de 541 milliards de dollars.
Cela signifie que 1 700 milliards de dettes (du QE1) ont permis de produire 541 Mds de croissance. Je vous épargne le calcul : 1 $ de croissance = 3,14 $ de dette.
Je le répète, cette situation est intenable.
Aujourd'hui, nos Etats sont au bord de la faillite, avec une dette astronomique : 14 000 milliards de dollars rien qu'aux Etats-Unis, par exemple. Le ratio d'endettement des pays du G20 est supérieur à 100% du PIB ! Pensez-vous qu'ils vont rembourser un jour ? Bien sûr que non !
Leur seule solution : laisser filer l'inflation... pour éponger les dettes.
C'est là que s'achève l'histoire de l'Etat-providence sauveur des banques et des citoyens. Il va se faire oublier pendant un temps. Notamment de ses créditeurs qu'il ne remboursera pas -- et de tous les retraités qui vont payer l'addition.
Eh oui... parce que cette opération va frapper plus particulièrement ceux qui n'ont pas de salaires ajustables... et qui ne sortiront pas dans la rue pour sauver leur pouvoir d'achat ! (..)
Simone Wapler
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