Bonne nouvelle : Bachar al-Assad tient toujours, malgré la propagande agressive des ennemis de la Syrie autoproclamés « amis de la Syrie » et La Russie ne changera guère ses positions.
La guerre psychologique contre la Syrie bat son plein. Avec peu de relais, Bachar al-Assad tient toujours...
La secrétaire américaine d’Etat Hillary Clinton se remet d’une commotion, a-t-on appris par la presse « mainstream ». Ce n’est que le début des malaises des supporters des terroristes. Comment en serait-il autrement, avec ce qui se passe sur le terrain ?
Après avoir épuisé le stock des menaces relatif aux soi-disant armes chimiques, les ennemis de la Syrie parlent maintenant de Scud (missiles balistiques à courte portée). Ce qui est sûr, l’aviation syrienne a bombardé hier, samedi, des positions tenues par les terroristes à l’est de Damas tandis que l’artillerie pilonnait une zone située au sud-ouest de la capitale syrienne.
Ces dernières poches terroristes sont entrain, petit à petit, d’être éradiquées. La lenteur de ces opérations est due au fait que l’armée arabe syrienne préserve les populations civiles que les renégats syriens, eux, tuent sans ménagement.
L’entrée en opération de kamikazes est la résultante même de la faiblesse du camp d’en face. La fidélité de l’armée arabe syrienne est l’un des piliers qui fait dire aux observateurs justes que, il est pratiquement impossible que les fous à lier remportent une vraie victoire.
Un autre signe qui ne trompe pas, c’est la disparition totale des soi-disant ex du régime, qui croyaient avoir trouvé fortune, qui, en France, qui, au Qatar, qui, en Turquie. Ils ont disparu des radars médiatiques, comme les armes chimiques et demain l’utilisation des missiles Scud.
Que vont-ils encore nous inventer demain ? Attendons…
http://allainjules.com/2012/12/16/video-syrie-bachar-al-assad-tient-toujours-malgre-la-propagande-agressive/
Un habitant raconte la vie quotidienne dans la seconde ville du pays, toujours en proie aux combats. Alarmant.
Une rue d'Alep, le 10 novembre. (AP Photo/Mónica G. Prieto)
.
Alors que la révolution du 15 mars est déjà loin, transformée de mouvement pacifique en guerre civile, la Syrie s'enfonce dans la misère. Notamment la ville d'Alep toujours âprement disputée par les différentes forces insurgées – rebelles de l'armée libre syrienne (ALS) et djihadistes – et l'armée régulière d'Assad.
En bientôt 21 mois, la ville commerçante et prospère, un joyau du patrimoine, est devenue un champ de bataille.
Non seulement plus aucune vie économique normale n'y est possible mais certains quartiers abritent une misère noire et des conditions de vie pour les civils catastrophiques.
"La situation d'Alep ne cesse d'empirer depuis que les rebelles ont débarqué fin juillet, mais maintenant elle est proche de la catastrophe : des milliers de personnes vont mourir de famine très prochainement si rien n'est fait", dénonce un activiste anti-Assad joint sur place.
Les destructions dues aux bombardements ont laissé la ville dans un piteux état. Dévastée et ruinée. "Les gens les plus touchés sont évidemment les classes les plus pauvres et ceux qui sont dans les zones sous contrôle des rebelles" souvent bombardées, raconte le jeune homme, qui depuis le début de la révolution défend un mouvement pacifiste.
"L'aliment de base de la population ici est le pain qui est fabriqué dans des boulangeries industrielles financées par le gouvernement. Avant la crise il était vendu 35 livres et maintenant entre 200 et 250 lorsqu'on parvient à en trouver. Une telle inflation empêche les gens de s'en procurer beaucoup, si bien qu'ils sont maintenant concernés par la famine."
Qui plus est, plusieurs de ces boulangeries ne sont plus en activité. Certaines le sont seulement par intermittence. Des dysfonctionnements dus au "manque de fuel ou de matière première", estime l'ancien étudiant.
"Les silos de grain de la ville ont été pillé par les rebelles et le contenu revendu pour acheter des armes", assure-t-il. Le régime avait également visé voici quelques semaines, et à plusieurs occasions, des files devant les points de vente de pain dans la ville, faisant de nombreux morts et blessés.
"Les prix de tout ont augmenté de 100% ou plus, notamment ceux des produits de première nécessité. Il n'y a ni mazout ni bombonnes de gaz. Les stations-service ont fermé avec l'arrivée des rebelles et le prix de l'essence au marché noir a été multiplié par quatre.
Or il n'y a plus de travail puisque les affaires et les usines ont cessé leur activité et les membres de la classe moyenne sont maintenant pauvres", affirme le jeune habitant d'Alep. Une situation qui empêche non seulement les gens de se déplacer, mais surtout de se chauffer ou de cuisiner. En plein hiver, c'est peu dire que c'est un très grave problème.
"L'électricité et l'eau peuvent être coupées pour plusieurs jours dans la ville ou seulement certains quartiers, les riches ou les pauvres, contrôlés par le régime ou les rebelles. Le seul moyen de se chauffer en ce moment c'est en faisant du feu avec le bois des arbres coupés dans les rues. Beaucoup ont déjà été coupés et laissent des emplacements vides", décrit-il.
Le manque d'eau courante potable amène un autre souci à Alep : "Il y a une propagation de maladies comme l'hépatite et la leishmaniose [maladie parasitaire fréquente chez le chien, qui se transmet aussi à l'homme, NDLR] en raison des mauvaises conditions sanitaires et parce que les ordures, non collectées, s'accumulent dans plusieurs parties de la ville. Certes, nous avons encore quelques stocks de médicaments dans les pharmacies et les hôpitaux qui fonctionnent encore, mais il n'y a ni nouvelle production, ni importation. Nous allons donc devoir faire face à des pénuries très bientôt". (..)
Céline Lussato - Le Nouvel Observateur
http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20121211.OBS2147/syrie-a-alep-des-milliers-de-personnes-vont-mourir-de-famine.html
.
.
Par Jean de Dieu MOSSINGUE
Le peuple Syrien mène un combat, celui de tous les opprimés contre le dictat des forces absolutistes coalisées, contre l'envahissement de son territoire par des hordes étrangères de nationalités multiples qui occupent son sol depuis le début du conflit, poussées, entraînées et équipées par certaines puissances étrangères tels le Qatar ou l'Arabie Saoudite qui fournissent armes, munitions, stratégies et tactiques, logistique, argent et autres conforts pour la guerre, dans le but de l'asservir, l'embrigader et le spolier de toutes ses richesses potentielles et réelles, d'avoir la maîtrise sur celles de toute la région et de faire de cet espace géostratégique vital, un strapontin pour de futures aventures et conquêtes militaires majeures.
Dans un tel contexte, le peuple Syrien a grandement besoin d'aides et de plus de soutiens matériels et physiques qu'il n'en a actuellement, pour aider son armée, l'Armée Arabe Syrienne, et ses autorités réellement légitimes à rugir plus fort, soit pour amener le camp adverse à conclure une véritable paix conduisant vers l'instauration de la vraie démocratie qu'il refuse obstinément depuis le début de la crise, soit pour bouter hors de son territoire, selon les chiffres avancés par les médias, les dizaines (voire les centaines) de milliers d'envahisseurs étrangers venus de toute part, des combattants armés jusqu'aux dents qui utilisent des méthodes sataniques, commettant les pires atrocités et crimes contre l'humanité (terreur généralisée par les attentats, égorgements, coupures de têtes, utilisation d'enfants dans les actes de barbarie, viols, tueries de civils et de prisonniers de guerre, bombardements à l'aveuglette, destruction du tissu économique, du patrimoine culturel et des infrastructures, possession d'armes chimiques...) d'un autre âge.
Si ces mercenaires étrangers avec leurs faire-valoirs syriens très minoritaires dans le pays, n'ayant aucune représentativité populaire, reçoivent des aides conséquentes de toutes natures en provenance de leurs amis de l'étranger, le peuple syrien et ses autorités légales et réellement légitimes n'ont-ils pas le plein droit s'ils le désirent, de faire également appel aux soutiens de toutes natures de la part de leurs vrais amis, afin que ce peuple et d'autres soient sauvés du danger qui les guette?
Imaginez une seule seconde qu'Hitler ait gagné la seconde guerre mondiale, que ce serait-il passé après la victoire? Il n'est pas d'ailleurs exclu que ses héritiers positionnés dans divers endroits du monde, aient renoncé à poursuivre son œuvre macabre.
Jean de Dieu MOSSINGUE
Les terroristes soutenus par l'administration américaine, sous l'égide de la FSA, tout en étant, en fait, Al-Qaïda Al Jabhat Nusra groupe d'attaque, ont avili et brûlé une mosquée chiite dans le village près de Jisr Zarzour Shoghour de Campagne Idleb.
La zone frontalière avec la Turquie où cette attaque a eu lieu prouve que ces terroristes ont été passés en contrebande par le gouvernement turc des Frères musulmans fanatiques sous Erdogan, qui rêve de devenir un Calife des musulmans, ou au moins un sultan ottoman.
http://www.youtube.com/watch?v=Buvbjdbmw8M
Publié sur https://www.facebook.com/jdd.MoutsingaMossingue/posts/431986093521208
Sources : Al Manar
L’équipe du site
Les insurgés syriens qui n’épargnent aucun moyen pour soumettre les Syriens au diktat de leur « révolution » exercent une nouvelle arme : celle de la faim.
En tête de leur victime figure hélas la ville d’Alep. Les visiteurs de cette ville sinistrée et sinistre, qui fut dans le passé proche l’une des plus prospères au Moyen Orient, constatent les interminables files des citadins, pour s’acquérir les premières nécessités de la vie. Dont le pain en particulier. Cette denrée devient de plus en plus rare, de plus en plus chère : 20 fois le prix officiel (150 LS le kilo# 8 LS le kilo).
Les véritables responsables sont indéniablement les miliciens et les « révolutionnaires » syriens qui font tout le sale boulot. Et leurs alliés turcs, qui paient comptant !
Ces derniers mois, ils ont pris d’assaut les convois qui transportaient le blé et la farine vers la capitale industrielle de la Syrie, et revendu les grandes quantités de cette denrée essentielle aux boulangeries des localités turques situées aux confins avec la Syrie.
Les dépôts de blé ont également fait l’objet de leurs attaques. Le contenu était soit pillé et revendu aux Turcs, soit brûlé. Durant l’été dernier, les miliciens de Tawhid ont pillé 200 mille tonnes de céréales du Centre Barada (à 30 km au sud d’Alep) dont les dépôts s’étendent sur 5 hectares de superficie. (( Voir sur Wikimapia. )
Des témoins sur place racontent pour le journal libanais AlAkhbar que des boulangeries situées dans les régions occupées par les miliciens ont elles aussi été démantelées, et leurs pièces détachées revendues. Également à des commerçants turcs !
Toujours les Occidentaux,
toujours les Turcs
Du coup, cette ville agonise. Ces jours sombres rappellent tristement aux plus vieux ce que leurs parents leur avaient raconté sur la famine de Safar-Barlec, durant la première guerre mondiale au début du XXème siècle.
La ville d’Alep qui était encore sous l’emprise de l’empire ottoman, en proie aux tentatives européennes de sa dislocation, a alors été victime d’une famine de maladies. Tout comme aujourd’hui, elle fut en proie aux bandits de toutes parts.
« Le dénominateur commun entre le début du XXème siècle et le début du XXIème siècle demeure cette ingérence occidentale incessante au nom de « la liberté des peuples »», constatent les plus pertinents.
Pour d’autres, le rôle turc ne devrait en aucun cas être sous-estimé.
C’est fait exprès
Selon Syria Politics, nombreux sont les Aleppins qui croient sincèrement qu’ils sont face à une politique préméditée exercée par certaines factions de l’opposition syrienne.
« Ce qui se passe à Alep n’est pas de la famine, mais de la paupérisation. C’est une décision politique locale et régionale. Elle a deux raisons : la première est une volonté de se venger de cette ville parce qu’une partie d’elle est restée fidèle au régime, et l’autre silencieuse. Alors qu’une grande partie de sa classe aisée, parmi les hommes d’affaires et les commerçants, n’ont pas arrêté de soutenir le régime », explique un connaisseur, sous le couvert de l’anonymat.
Et de conclure : « La ville devait payer le prix, en l’affamant surtout. Elle a d’ailleurs été toujours appelée la ville de chabbihas » (terme qui veut dire voyous et qui est utilisé pour diaboliser les syriens qui soutiennent le régime, civils et militaires).
Pour que la Turquie prospère
D’autres sources estiment que la destruction méthodique dont a été victime cette ville, qui a été un véritable empire commercial, industriel, et économique, produisant tout ce dont le Moyen orient a besoin, ne peut que servir les intérêts de la Turquie. Ce n’est pas fortuitement que les usines sont démantelées et emportées en Turquie.
« Il fallait coute que coute écarter cette ville face au tsunami commercial de la Turquie. C’est ce que nous croyons. C’est ce que croient les commerçants aleppins », conclut cette source à Syria Politics.
Selon le site Syria Truth, plus de 600 usines qui ont subi ce sort pénible.
Dernièrement les milices Tawhid, en collaboration avec les services de renseignements turcs, ont démantelé l’usine de sucre dans la localité de Maskana, située à 70 Km à l’est d’Alep, sur la route menant à Rakka et ont transporté en Turquie ses pièces à bord de camions turcs. Le pillage de cette usine qui raffinait en moyenne quelques 400 mille tonnes de sucre de betteraves par an s’est fait à plusieurs étapes, durant les semaines passées.
Le samedi passé, ce sont les dépôts de nourriture pour bétail qui ont été pillés par la même milice, dans la localité de Khanaser (45 Km à l’est d’Alep). Le contenu a également été transporté en Turquie.
Le mois passé, ils avaient fait de même avec les dépôts similaires de Barda (30 Km au sud d’Alep), relève du ministère de
l’agriculture, après une bataille avec les habitants de la localité qui ont essayé de défendre le dépôt qui. 100 mille tonnes de cette denrée animale ont été emportées en Turquie.
Même des machines de tricot avaient été démantelées dans la Cité industrielle de Jibrine, situé à proximité de l’aéroport international d’Alep, ainsi que tous les appareils de coupage, et autres.. Tous se trouvent désormais chez les Turcs.
Il arrive parfois que les affaires tournent mal entre miliciens et commerçants Turcs : ce fut le cas des équipements de forage de pétrole démantelés et dérobés à la fin du mois de novembre dernier. Les Turcs refusent toujours de payer leur prix. Sachant qu’ils leur avaient été vendus au 10% de leur prix réel. Dans une vidéo filmant le passage de ces équipements via la frontière turque, les pilleurs syriens qui appartiennent à la milice « Tempête du nord » (les kidnappeurs des pèlerins libanais) ont prétendu qu’ils appartiennent au Qatar. Ce que le site Syria Truth a démenti catégoriquement, assurant qu’ils appartiennent à la société NPS pour les services pétroliers, enregistré en Grande Bretagne.
Appauvris, affamés et humiliés, les Aleppins sont outragés : selon le
correspondant du journal libanais al-Akhbar, leur colère est sans limite à l’encontre des miliciens et leur « révolution » qui ne connait aucune limite.
Ils en veulent aussi aux autorités parce qu’ils pensent qu’elles n’ont pas rendu la pareille à cette ville, qui a refusé la zizanie et ne voulait que des réformes tout en restant attachée au régime.