Un Lecteur dit ce qu'il pense de Nicolas Sarkozy (eva R-sistons aussi)

11 avril 2012 3 11 /04 /avril /2012 23:48

Un Lecteur dit ce qu'il pense de Nicolas Sarkozy (eva R-sistons aussi)

publie par Renaud|

le 16 février 2012 LaFranceMorte2

http://www.salutpublic.be/2ou3choses/page/2/

Un Lecteur dit ce qu'il pense de Nicolas Sarkozy

Avec inquiétude, j'entends les sondages suggérer que le président actuel de la république, Monsieur Sarkozy, serait crédité d'environ 25 % à 30 % des voix. Cela signifierait que plus d'un quart des citoyens sont contents de son bilan, l'approuvent, et veulent cinq ans de plus dans la même direction.

Pour les plus riches, ceux qui ont par mois, voire par jour, des revenus que la plupart d'entre les Français n'ont même pas en un an, cela peut se justifier : ils n'ont jamais été aussi riches.

Pour les autres, rappelons quelques faits.

Qui ne se souvient de la bataille pour les retraites ? En 2010 ce fut très dur, beaucoup de nos concitoyens sont descendus en masse dans les rues pour les défendre. Peine perdue : imperturbable, le gouvernement les a fait passer à taux plein à 67 ans. Car excepté parmi ceux qui ont aujourd'hui 63 ans et plus, très peu de nos compatriotes peuvent présenter 41 ans de cotisations, voire aucun. Ajoutons à cela que ces retraites ne progressent plus qu'avec lenteur, peinant à être revalorisées au rythme de l'inflation.

Quant aux salaires, ils subissent, du moins en-dehors de quelques élus (dont les parlementaires précisément), une stagnation de plus en plus lourde. C'est au point, temps partiel imposé aidant, que de plus en plus de nos compatriotes sombrent dans la pauvreté, même quand ils "bénéficient" d'un travail. Comme au niveau des retraites, les femmes sont particulièrement touchées. Les emplois parcellaires qui sont souvent leur lot, la charge assumée des enfants font que leur revenu est souvent dramatiquement bas.

Des services publics de plus en plus étriqués, par la volonté gouvernementale, ajoutent encore à ce bilan terrible.

Nous avons parlé des services publics, il faut y revenir. L'enseignement est sinistré, des coupes sombres continuent à le transformer en garderie d'enfants, tant la tâche est de plus en plus immense, et les acteurs de celle-ci ce plus en plus clairsemés. Ils auraient pu compenser l'absence de plus en plus prégnante des parents à la maison, causée par ce travail parcellaire qui les oblige à être absents quand les enfants sont là. L'éducation s'en ressent bien entendu, c'est la raison pour laquelle tant d'enfants perdent pied, faute d'encadrement à la fois chez eux et à l'école. Le gouvernement aura beau jeu, ensuite, de stigmatiser "la racaille", quand ce sont de pauvres gosses en quête de repères et d'amour qui souffrent par la faute précisément de ce gouvernement, et de celui qui décide de tout : le président. Ce n'est pas son rôle, il l'endosse quand justement il ne faudrait pas.

La santé va de plus en plus mal. Désormais les directeurs d'hôpitaux ne sont plus que des gestionnaires, des chefs d'entreprises qui se moquent du service public. Économiser sur les équipements, sur le personnel, c'est facile pour eux. Tant pis si décèdent des patients mal pris en charge, des soignants qui se suicident sous la pression. Après tout, c'est un choix si les centres de santé ne sont plus que les équivalents des supermarchés, où l'on met à la poubelle les salades périmées... et tant pis pour les plus vulnérables, les plus âgés moins entourés pour les mêmes raisons que les enfants d'âge scolaire. Le président n'en a cure : le Val de Grâce l'accueillera s'il a des ennuis. Là, l'argent ne manque pas, c'est un choix de priorités.

En revanche, là où l'attendent les chefs d'États étrangers, il est aux abonnés absents. Peu doué en langues, même en français qu'il écorche, il peine à tenir sa place dans les négociations au plus haut niveau, là où justement il aimerait briller. Il en arrive à rester à la remorque des Grands, incapable qu'il est d'apporter un vrai souffle "à la française" comme ont su le faire, dans des registres variés, ses prédécesseurs. Notre pays, s'il n'est plus autant important diplomatiquement qu'aux temps de Louis XIV, de Napoléon, ou plus près de nous, de De Gaulle, a encore son rôle à jouer. Pour le moment, c'est plutôt la catastrophe.

Culturellement, c'est devenu évident : plus aucune lumière ne jaillit de notre pays. Amoureux d'une "certaine Amérique" , le président préfère tourner ses regards vers un exotisme particulier, à l'anglo-saxonne. Il en résulte un certain néant, car pour lui la culture n'est que prétexte à gagner de l'argent.

Il serait tentant de chercher des notes positives. Mais les grands projets, les réalisations intéressantes (et monnayables) sont le fait de ses prédécesseurs. Selon les normes qu'il approuve, la Recherche doit porter ses fruits au plus vite. Il faut appliquer, appliquer, appliquer. La recherche fondamentale, celle qui ouvre sur l'avenir, il ne sait pas ce que c'est. Elle peut apporter quelque chose dans un an, dans dix ans, dans cinquante ans. Ceux qui y participent, aux salaires souvent très inférieurs à ce qu'on peut l'imaginer, restent là pour découvrir quelque chose, avec joie, bonheur, motivation. Leur seule récompense : le nouvel appareil qui permettra d'aller encore plus loin. Mais bien sûr pour le gestionnaire qui attend des résultats pécuniaires au plus tôt, c'est tout simplement incompréhensible. Le Nobel, il n'en a cure.

Malheureusement, ce bilan, pourtant fort négatif, a un coût. Ce coût est très élevé. Pour simplifier, disons que Nicolas Sarkozy coûte à l'ensemble des contribuable largement autant que Barack Obama et Angela Merkel réunis.

Des chiffres ? Il y en a. Découvrez-les en cliquant sur les liens, ça vaut le coup !

http://i40.servimg.com/u/f40/11/40/28/12/budget10.png

http://i40.servimg.com/u/f40/11/40/28/12/depens10.png

http://i40.servimg.com/u/f40/11/40/28/12/voyage10.png

Ajoutons que selon les dernières lois qu'il a fait voter par le Parlement actuel, figurent en très bonne place des mesures qui vont drastiquement accentuer l'austérité dans notre pays, pourtant déjà en bonne voie. Cela touchera tous les secteurs, au nom d'économies qui passeront simplement dans le gouffre sans fond d'une Dette que nos concitoyens ne doivent en rien.

Un audit de cette Dette, reprenant ligne par ligne chacun de ses composants, doit être mis en place sous la vigilance des citoyens, de tous les citoyens même se croyant incompétents à juger de ces dépenses.

Un peuple souverain a le droit, selon les codes internationaux, de décider. Ce n'est pas révolutionnaire, c'est ainsi. Bien entendu, ce n'est pas avec le même Président reconduit qu'il sera possible d'assainir ce qui doit l'être.

Avec lui, le système continuera à nous pressurer. C'est un Nouvel Ordre Mondial qu'il veut instaurer, sans préciser d'ailleurs en quoi il consistera vraiment, et pour cause, puisqu'il se fera au détriment des citoyens ! §

Nous sommes à l'heure du choix. Sarkozy est notoirement incompétent, et dépensier. Et il redemanderait cinq ans de plus pour parachever le désastre ?

Jean-Claude

§ Vidéo, cliquer sur le lien plus bas :

12:12

R-sistons vidéo 4 : Le Nouvel Ordre Mondial pour les "Nuls

Nicolas Sarkozy est le Président de...

Par eva R-sistons

Nicolas Sarkozy est le Président des riches : Les premières mesures ont été pour eux, par exemple le bouclier fiscal, ainsi des centaines de milliers d'euros ont été offerts à la milliardaire Mme Bettancourt sur le dos des contribuables français. Et le train de vie de Sarkozy, avec nos sous, est supérieur à celui de la Reine d'Angleterre (par ex., il a plusieurs résidences, et l'entretien de ses fleurs coûte environ 150.000 euros par an aux contribuables pour chaque appartement ou maison alors qu'il s'agit de frais personnels). Le coût de ses déplacements dans les régions est astronomique, notamment pour éviter aux Français de manifester devant la Presse, de s'approcher de lui et de le fustiger ; et puis il a, à nos frais, des avions personnels plus luxueux que ceux d'Obama lui-même. Etc... Et il ne paie AUCUN impôt !

Il est le Président du MEDEF, le Syndicat des très grandes entreprises qui absorbent peu à peu les PME.

Il est le Président du chômage, de la désindustrialisation, de la désertification rurale, de la destruction de nos territoires et de l'agriculture traditionnelle...

Il est le Président des promesses non tenues.

Il est le Président de la baisse du pouvoir d'achat.

Il est le Président des privilèges.

Il est le Président qui piétine les Droits de l'homme.

Il est le Président qui n'aime pas la France (comme son épouse, tous deux l'ont dit publiquement voici plusieurs années).

Il est le président des scandales : Financement de son élection par les Bettencourt ou Kadhafi (et pour masquer cela, la France de Sarkozy l'a fait assassiner), affaire Karachi, Affaire Tapie, etc. Et guerres illicites comme en Côte d'Ivoire, en Libye, en Syrie, au Mali.. pour satisfaire ses amis américains ou du MEDEF !

Il est le Président de l'Etranger - et des guerres: Au service des intérêts américains, anglais, israéliens, et il brade notre pays (fonds de pension US, réserves d'or, patrimoine..), tout en faisant les guerres demandées par l'OTAN afin d'enrichir les multinationales.

Il sera le Président qui poussera à attaquer l'Iran - guerre qui deviendra vite nucléaire et mondiale. Avec nos centrales nucléaires sur le sol, on sera aux premières loges !

Il est le candidat de la casse sociale: Retraites, SS, protections sociales, services publics, Droit du Travail, etc

Il est le Président de l'augmentation de la dette dans des proportions colossales, en pleine crise.

Il est le Président du mépris des faibles, des pauvres, des démunis.

Il est le Président de la dégradation de l'image de la France à l'étranger (au lieu d'avoir un Président dont ils sont fiers, et qui est respecté, les Français ont à la tête de leur pays un homme vulgaire, sans culture, sans autorité vis-à-vis des grandes puissances mondiales, etc).

Il est le Président de l'affaiblissement de la France, aux ordres de l'Allemagne, de Bruxelles, de Londres, de Washington, d'Israël - et du Cartel bancaire ! Au fait, France forte ? Non, faible, très faible... s'inclinant devant les plus forts et les plus riches !

Il est le Président du verrouillage de la Presse (ex, ordre de censurer le candidat François Asselineau à la Présidentielle, parce qu'il dénonce la mise sous tutelle étrangère de notre pays. Ou mise à l'écart des journalistes indépendants).

Il est le Président qui dresse les Français les uns contre les autres: Salariés contre chômeurs, employés du secteur privé contre les fonctionnaires, etc..., et il est le Président du communautarisme à l'américaine au lieu de réellement défendre notre laïcité.

Il est le Président de l'américanisation de la France, de l'anglicisation à marche forcée § au détriment de notre langue.

Il est le Président du choc de civilisations contre les Musulmans, avec à terme le risque d'une conflagration planétaire juteuse pour les Maîtres du Monde, et meurtrière pour les populations.

Il est le Président du terrorisme d'Etat: L'affaire Merah a été montée de toutes pièces, et mise en scène, pour mettre la question de la Sécurité au premier plan et afin de préparer les esprits à la guerre contre l'Iran pays qui sera présenté comme la menace suprême pour la paix ! En réalisant cette opération, N. Sarkozy veut faire diversion, il veut déplacer la campagne électorale, la centrer sur les questions sécuritaires au détriment de l'analyse de son bilan. Et il espère prendre des voix à Marine Le Pen !

Il est le Président de la vassalisation de la France au Cartel bancaire, de la soumission à l'Oligarchie du Nouvel Ordre Mondial programmant crises, pandémies, guerres, etc - pour permettre aux plus grosses familles de s'enrichir encore plus sur le dos des populations !

Réélire Nicolas Sarkozy, c'est l'assurance de plonger la France dans toujours plus d'austérité, de souffrances et de guerres...

eva R-sistons

§ The French Army informs you…

(Article en Français rédigé par des Militaires)

Sarko-USA

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