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5 avril 2012 4 05 /04 /avril /2012 19:03

 

 

La mort du président de sciences-po n’est pas anodine pour la France et pour son système éducatif car il représentait l’autorité sous laquelle on formait l’élite de l’état français. Ce monsieur avait un rôle éminent dans la construction de la république judéo-maçonnique et était un fervent supporter de la loi Gayssot qui va à l’encontre même de la pensée des lumières et de la liberté d’expression. “On peut tout dire mais pas sur tout” voilà la pensée des lumières à la sauce judéo-maçonnique qui domine la France aujourd’hui.

 


Un logo étrangement aligné sur celui de la city of london, maître-lieu de la finance internationale.


Le patron de sciences-Po est mort brutalement cette dans la nuit du 3 au 4 avril à New-York. Le directeur de cet établissement français prestigieux était une figure importante de l’éducation par les grandes écoles en France. Il était souvent cité en exemple pour sa volonté d’ouverture aux quartiers défavorisés et donc particulièrement, il faut bien le dire, aux populations françaises d’origine immigrées arabo-africaine. Cela permet de servir opportunément de bouclier démocratique lorsque l’on est accusé d’enrichissement personnel, de corruption ou de népostisme, à mots couverts bien entendu. Car Richard Descoings était un grand serviteur de l’état comme nous le dit notre petit président.


Mais il faudrait se poser franchement la question de savoir en quoi l’IEP a été un modèle éducatif pour l’état français si ce n’est à vouloir le tirer toujours plus vers le bas, en supprimant les matières de culture générale qui sont censés fonder l’implication d’un citoyen dans une société dans la quelle il aspire à vouloir un jouer un rôle fondamental par la suite, et où la direction bicéphale, mari-femme, protestant-juive, régnait en maître sur cet institut oh combien important pour l’état français!


On apprend que les chaires de l’IEP de Bordeaux, alignées sur l’IEP Paris, sont financées par le PS, par la fondation du judaïsme français et par le grand orient de France! Nadia Marik, ex-UMP, chargée des relations avec les entreprises, a beau jeu de couvrir les falsifications sur les CV des ministres et de Sarkozy lui-même concernant son passage, ou non, à l’IEP.


La volonté de ce couple était bien entendu d’aligner sciences-po sur Harvard qui est le modèle absolu pour la conscience française politique comme chacun le sait. Ca fait smart et surtout c’est mieux vu dans la globalisation anglo-saxonne de montrer patte blanche et montrer que vous avez bien compris qui sont vos maîtres.


A ce propos lire ICI les ragots sur cette école c’est assez drôle ou désespérant au choix.


Mais ce qu’on ne vous dira pas c’est bien évidemment l’envers du décors et l’envers du personnage de Richard Descoings considéré comme un pédé, par lui-même, joyeux fêtard et ne rechignant pas à des joutes sexuelles qui lui valaient un charisme attirant. Il faut savoir que l’énergie sexuelle est assimilée à l’énergie de vie dans la talmud et c’est bien pour cela que l’on trouve tant de membres de la diaspora impliqué dans des affaires dites sensibles. Suivez mon regard… D’ailleurs Anne Sinclair, femme de DSK, est très impliquée dans le financement de cette école en tant que présidente du conseil d’administration d’une école totalement tournée vers l’idéologie néo-cons US. Quand on veut dominer un pays on contrôle son élite tout simplement.


Voilà donc pourquoi cette prestigieuse école française, financée par des fonds judéo-maçonniques, s’est rapprochée d’Israël et qu’il y est interdit de concevoir une autre approche sur le conflit moyen-oriental qui empoissonne le monde. C’est le règne de la pensée unique que l’on enseigne donc à ces futurs cadres de l’état français.


Alors pourquoi Richard Descoings a-t-il été tué et retrouvé nu ? Cela a-t-il un lien avec l’affaire DSK sachant qu’Anne Sinclair fait le lien entre les deux et que DSK était un ancien professeur d’économie à l’IEP. Savait-il des choses qu’il fallait cacher? A-t-il participé avec DSK à des partouzes? On aura du mal à le savoir mais on ne peut s’empêcher de faire le lien tant l’imbrication sexuelle semble claire. Nul doute que la justice française n’aura aucun moyen de le prouver étant donné que pour l’état français, l’UMPS, c’était un grand serviteur de l’état judéo-maçonnique et donc un intouchable qui avait instauré la monarchie à l’IEP, une cour, et une rémunération des plus extravagantes pour un service public.


Encore une fois lorsque l’on veut “acheter” une personne pour la dominer on lui offre de l’or et l’illusion du pouvoir, notamment sexuel, lorsqu’on en n’a plus besoin on s’en débarrasse (..)


Suite ici :

 

Portail de l’éveil citoyen contre le nouvel ordre mondial.


Note: Ce billet d’actualité est bien évidemment comme tous les autres, sujet à évoluer suivant les infos et autres éléments d’enquêtes dévoilés.

 

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Voir aussi :

 

 

Mort de Richard Descoings, directeur de Sciences-Po Paris. Ce que les grands médias ne vous diront pas.

 

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Affaire de moeurs ?


http://www.contre-info.com/mort-du-directeur-de-%c2%ab-sciences-po-%c2%bb#more-18986

 


 

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27 mars 2012 2 27 /03 /mars /2012 16:07

 

 

 

Actualité : Lire aussi :

 

La crise ? Un malheur pour tous, mais une aubaine pour les entreprises !


Mali: La main des services français ?


Fukushima: Rescapée d'Hiroshima, elle lance un Appel à tous les peuples

 

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§§§

 

Samedi 24 mars 2012

   

10 choses que vous devez savoir

L’austérité à marche forcée...

 

Corporate Europe Observatory

 

Le 1er mars 2012, 25 chefs d’État et de gouvernements ont signé un nouveau traité, qui devrait entrer en vigueur au début de l’année 2013.Ce Pacte budgétaire a été conçu dans l’urgence, et sous de très mauvais auspices : ses promoteurs avaient initialement prévu de l’adopter sous forme de modification des traités existants, mais le véto de la Grande-Bretagne, lors du Conseil européen du 9 décembre, les a obligés à créer un nouveau Traité ad hoc. Cette procédure permettait en outre une adoption plus « souple » et « simple », c’est-à-dire qu’elle garantissait moins d’« interférences » liées à tout débat public et démocratique, en adoptant un traité de l’Union européenne qui n’en était pas vraiment un.

Ce Pacte budgétaire a pour vocation à obliger les États signataires à appliquer des politiques budgétaires très strictes via un renforcement des règles et contrôles. Entre autres, les dénommés « déficits structurels » devront rester sous la limite de 0,5% du PIB. Si l’adoption du nouveau traité a été chaudement applaudie par le monde des affaires, et notamment la fédération patronale européenne BusinessEurope, elle a été dénoncée de manière univoque par les syndicats, et pour la première fois de son histoire, la Confédération européenne des syndicats (CES) s’est opposée à un traité européen.

    
Pourquoi maintenant ?

« Ce Traité rassure peut-être les amis politiques de la Chancelière Merkel, mais sûrement pas les millions de chômeurs, de travailleurs pauvres et précaires en Europe, qui attendent en vain un véritable soutien de la part des institutions européennes. C’est pourquoi nous y sommes opposés » a expliqué Bernadette Ségol, secrétaire générale de la CES [2].

La plupart des commentateurs et analystes s’accordent pour dire que ce traité ne va pas changer le cours de la crise de l’euro, et il n’a pas vocation à le faire. Il vise davantage à orienter les politiques économiques futures de l’Union européenne, ainsi qu’à donner des gages à l’électorat allemand. La Chancelière Angela Merkel a ainsi souhaité exprimer sa fermeté à l’égard des pays surendettés, et montrer que le co-financement du Mécanisme européen de stabilité (MES) sera assorti de strictes conditionnalités – de plans d’austérité drastiques – pour les Etats membres qui souhaiteraient en bénéficier.
 

Trois nouveautés

 

Une analyse rapide du nouveau traité peut donner l’impression qu’il s’agit tout au plus d’un ensemble de nouvelles règles et de mécanismes. Ce texte est en effet rempli de dispositifs qui visent à orienter les politiques économiques dans de nombreux domaines. Si l’on met de côté les déclarations d’autocongratulation sur les « réalisations » passées, la répétition des contrôles déjà prévus dans la législation européenne et les suites à donner à ce Pacte, il reste tout au plus trois nouveautés : une formalisation plus poussée des Sommets de la zone euro, des mécanismes d’intervention plus réactifs à l’égard des pays en déficits, ainsi que le fameux « frein à la dette », qui met en place de manière contraignante des règles pour réduire la dette et les déficits.
 

Dénouer l’enchevêtrement de ces mesures peut s’avérer compliqué.


En fait, les principaux éléments de ce traité se résument en 10 points :

 

- 1. Un « traité pour l’austérité »

Voici l’aspect central de ce traité : l’obligation pour les États membres de durcir leurs politiques budgétaires – en réduisant voire évitant les déficits – de manière bien plus drastique que ce qui est prévu dans la législation européenne.

Le resserrement des politiques budgétaires n’est bien évidemment pas un élément nouveau des politiques européennes. Le Pacte de stabilité et de croissance (issu du traité de Maastricht), au cœur de l’Union économique et monétaire impose aux États membres de garder leurs déficits sous les 3% du PIB… Avec amendes à la clé, dans le cas des pays de la Zone euro. Dans un premier temps, les gouvernements en faute se voient attribuer un programme pour atteindre un budget équilibré. L’élément clé de ce « programme d’ajustement » est la réduction du « déficit structurel » (voir ci-après), l’objectif étant généralement d’atteindre un objectif de 0,5% du PIB en plusieurs années [3]. Le nouveau traité rend cet objectif obligatoire.

Qu’est-ce que le déficit structurel ?

 

Le déficit structurel est censé révéler un problème à moyen-terme dans le budget d’un État qui aurait des recettes insuffisantes et de dépenses trop importantes.

  

Pour obtenir ce déficit, il faut soustraire au déficit annuel de l’État le déficit dû aux variations de l’économie (en temps de crise, les déficits s’accroissent de manière « automatique ») ainsi que les dépenses exceptionnelles des gouvernements, dépenses considérées comme « légitimes » dont la liste est établie.

  

Ce déficit structurel est la base sur laquelle on considère qu’un État doit prendre des mesures pour couper dans les dépenses ou augmenter les taxes. Le « frein à la dette » vise à réduire ce déficit identifié comme cause structurelle d’endettement.

 

On peut ainsi calculer que si le traité était appliqué, les coupes budgétaires (ou hausses fiscales) se seraient avérées considérables : pour le moment, seuls 4 États membres font état d’un déficit en dessous du seuil « magique » de 3% (Luxembourg, Finlande, Suède, Estonie) [4].

Dans de nombreux pays, des mesures dramatiques devraient être prises. En Belgique, par exemple, où sur un déficit total de 4,6%, 4% sont considérés par la Commission comme « déficit structurel ». La Belgique devrait donc, selon le traité, réduire son déficit sous une barre de 1,1% (0,5% de déficit structurel + 0,6% de déficit non structurel).

A première vue, les États signataires ne sont pas directement contraints à prendre des mesures de réduction des dépenses sociales. Pourtant, « réduire le déficit structurel » présuppose ici des mesures bien particulières.

Les recommandations de la Commission aux États membres sous les coups d’une procédure de déficit excessif – actuellement cela concerne 23 des 27 Etats membres – sont très claires : il faut couper dans les dépenses sociales pour diminuer le déficit structurel [5].

  

Une limite de 0,5% du déficit structurel va par ailleurs sérieusement réduire les options disponibles pour les gouvernements, notamment en situation de crise. Elle les empêchera de faire les investissements publics nécessaires pour répondre à la crise.

Enfin, il faut noter que le traité – ainsi que de nombreuses des règles et procédures européennes actuelles – met particulièrement l’accent sur les dépenses. Cela a été confirmé avec l’adoption du Pacte pour l’euro en mars 2011, qui explique de manière claire que l’« équilibre des finances publiques » présuppose des attaques contre les retraites, les dépenses de santé et allocations sociales [6].

- 2. Un pilotage automatique

 

Lorsque le « frein à la dette » n’est pas respecté par un gouvernement lors de l’adoption du budget national, des mécanismes au sein même de la législation nationale devraient déclencher des sanctions – suffisamment sérieuses pour remettre le gouvernement sur la voie d’une « réduction des déficits ».
 

Cela pose la question suivante : dans ce cas, qui va se charger de faire rentrer les gouvernements dans le rang, et comment ?

Qui va poursuivre les gouvernements et les obliger à changer sa politique économique, et par quel biais ?

Le traité nous donne quelques indices. La responsabilité pour définir les « principes communs » des règles budgétaires est dévolue à la Commission européenne, y compris les principes sur « l’indépendance des institutions responsables au niveau européen pour contrôler le respect strict des règles ». En d’autres termes, des instances indépendantes seront mises en place au niveau national, probablement composées d’experts et d’économistes, afin de veiller à l’application de la discipline budgétaire

 [7].


- 3. L’austérité à perpétuité

 

Aucune limite temporelle n’est prévue au renforcement des politiques budgétaires.

 

Le texte stipule en effet que les États membres doivent adopter des « dispositions à caractère contraignant, de préférence constitutionnelles, ou bien avec la garantie d’une application et d’une adhésion totale lors du processus d’adoption du budget national ».

En d’autres termes, de manière permanente.

La préférence de l’Allemagne va pour la procédure constitutionnelle. L’Allemagne a récemment adopté une modification constitutionnelle qui s’apprête à forcer les gouvernements futurs à rester en dessous d’un déficit structurel de 0,35%. C’est ce type de mesure que la Chancelière Merkel souhaiterait voir appliquer dans les autres États membres. Il y a cependant d’autres possibilités, qui doivent néanmoins s’appliquer de manière permanente. Comme l’indiquait la Chancelière :
« Le frein à la dette va être contraignant et s’appliquer de manière permanente. Les règles ne doivent en aucun cas pouvoir être changées par une nouvelle majorité parlementaire. [8] »

Bien sûr, le texte stipule qu’il faut « respecter totalement les prérogatives des parlements nationaux », mais dans un tel contexte, cela sonne davantage comme un véritable pied-de-nez.
 

Dans certains pays, une modification de la constitution nécessite un referendum, et il s’agit là d’un scénario à éviter à tout prix pour les promoteurs du Pacte budgétaire. Une manière de faire cela, dans le cadre de ce nouveau traité européen qui n’en est pas un, serait de mettre en place une règle permanente, quasi-constitutionnelle, mais en dehors de la Constitution.

- 4. En cas de doute, la Cour européenne de justice aura le dernier mot

 

Que se passe-t-il si un État membre considère qu’un autre État membre n’a pas adopté de législation suffisamment contraignante pour mettre en œuvre les règles du traité ?

Dans ce cas, le plaignant peut porter plainte auprès de la Cour de justice européenne. Cela peut s’avérer quelque peu surprenant : en effet, le rôle de la Cour de justice européenne est de s’assurer du respect de la législation européenne, pas de régler des différends entre États de manière générale ou sur la base de traités hors de l’Union européenne. Pourtant, la Cour de justice européenne pourra à ce titre imposer des amendes à hauteur de 0,1% du PIB.
Ce rôle clé dévolu à la Cour de justice européenne pourrait devenir très important dans le futur. Il permettra a tout État membre de porter plainte sur tout aspect de la mise en œuvre du traité dans un autre État membre.


- 5. Peu ou pas de flexibilité

 

Les signataires devront-ils ramener leur déficit structurel en dessous de 0,5% du PIB dès l’application du traité ?

 

Non, mais cela devra se faire rapidement. Le temps dévolu n’est pas encore clairement défini dans les propositions de la Commission.

Dans leurs « efforts » pour réduire les déficits, les signataires auront exceptionnellement la possibilité de dévier du chemin étroit de l’austérité, dans le cas où ils feraient face à une récession ou croissance faible, à condition que cela ne mette pas en danger l’atteinte d’un « équilibre budgétaire à moyen terme ».

La même exception figure lorsque l’objectif de 0,5% est atteint.

 

Cette exception reste néanmoins très floue, et pourrait ne jamais entrer en vigueur. La seule véritable disposition permettant une flexibilité concerne les États qui sont peu endettés, pour lesquels un déficit de 1% du PIB est toléré. Mais peu de signataires pourront profiter de cette exception dans les prochaines années [9].

 

Même en temps de crise, les signataires qui souhaiteraient mettre en place des politiques budgétaires ambitieuses et des investissements publics se verront opposer des obstacles importants. Il s’agit de tuer dans l’œuf toute tentative de réponse keynésienne à la crise, réponse qui a pourtant prouvé son efficacité dans le passé quand bien même elles auraient provoqué d’importants déficits.


« Quand tout va bien, de tels resserrement budgétaires sont inutiles. Quand tout va mal, ils ont des conséquences néfastes. Ce n’est pas un signe de mauvaise gestion que de présenter des déficits en temps de crise » comme l’explique l’économiste Jesper Jeffersen [10].
Ce traité s’apprête donc à graver dans le marbre une réponse à la crise qui s’avère inadaptée, et à faire en sorte que, en temps de crise, ce soient les dépenses publiques qui soient systématiquement désignées comme responsables – même si, comme c’est le cas aujourd’hui, les causes de la crise se trouvent davantage dans le fonctionnement du secteur privé.

 

Mauvais diagnostic… mauvais remèdes.

    
- 6. La méthode de calcul est biaisée,

et stigmatise les dépenses sociales

 

Les détails du calcul du « déficit structurel » sont trop compliqués pour être compréhensibles et transparents vis-à-vis du grand public. En fait, il n’y a pas de consensus au plan international, ni même à l’échelle européenne, sur la méthode de calcul. Le FMI, l’OCDE, la Banque centrale européenne et la Commission européenne, chacun utilise sa propre approche.
 

Pourtant, la méthode utilisée joue un rôle crucial. Ce chiffre de 0,5% peut déterminer à maints égards l’avenir de nos droits sociaux. Déterminer si un État se trouve d’un côté ou de l’autre de ce seuil dépend dans une large mesure de la méthode de calcul.
 

Un exemple : en 2011, la Commission a calculé que le déficit structurel du Danemark était de 3%. Le gouvernement danois, quant à lui, a avancé le chiffre de 1%. Si c’était le chiffre de la Commission qui devait être utilisé, le pays devrait faire en termes d’efforts budgétaires le double des économies qu’il a réalisées en « réformant » son système de retraite (c’est-à-dire en réduisant les pensions).
 

Pour la Banque nationale danoise, et le Ministre des finances du Danemark, la méthode employée par le gouvernement reflète mieux la réalité de l’économie danoise, tandis que la méthode de la Commission comprend des biais à l’égard des pays qui disposent d’une importante protection sociale [11].

Pourtant, c’est bien la Commission qui sera en charge des principes communs de calculs des déficits structurels, et il y a fort à parier qu’elle propose les mêmes méthodes qu’elle utilise actuellement.
 

Les méthodes employées par un État pourront par ailleurs être portées devant la Cour de justice européenne si elles sont considérées comme inadaptées. Là encore, tout porte à croire que la Cour soutiendra les méthodes employées par la Commission depuis des années.

Ainsi les méthodes nationales de calcul risquent de ne pas faire long-feu : la Commission devrait faire de l’adoption de règles uniformes une priorité ; ces règles pourraient s’avérer un outil politique de premier choix pour imposer la discipline budgétaire.

- 7. Il s'agit d'un outil politique -
les calculs sont peu fiables, voire dangereux

On se doute bien que la Commission ne dispose pas de boule de cristal. Et quand bien même, le calcul du « déficit structurel » comporte tant d’impondérables [13] que cet indicateur n’est pas vraiment pertinent pour juger de l’état d’une économie. Dans le cadre du Pacte budgétaire, il est davantage utilisé comme un outil pour jeter l’opprobre sur les dépenses publiques comme des maux, et pousser les États à réformer leurs économies.

- 8. La zone euro est aux manettes 

 

Au-delà du « frein à la dette », le traité comporte deux sections importantes.

 

La première reprend la décision prise en octobre de tenir deux sommets la zone euro par an. Ces sommets seront présidés par un nouveau président du sommet de la zone euro qui sera « désigné par les chefs d’État et de gouvernements des parties contractantes dont la monnaie est l’euro à la majorité simple, en même temps que le Conseil européen élit son Président, et pour la même durée ».

Cette partie du traité a prêté à controverse, en effet plusieurs pays en dehors de la zone euro, la Pologne en tête, ont exprimé leurs craintes que les décisions importantes soient prises au sein du club de l’euro (à la majorité qualifiée), club duquel ils seraient écartés. Le traité prévoit en l’occurrence que les pays hors de la zone euro puissent assister aux Sommets comme participants, ainsi que la tenue d’un Sommet des signataires du Pacte budgétaire.


- 9. Soumission et mise à l’amende des pays en déficit

 

La seconde section concerne les règles à l’égard des pays en déficits, qui sont elles aussi modifiées. Dans le cadre des traités européens, il existe une « procédure de déficit excessif » qui vise à obliger les États membres à rester sous le seuil de 3% de déficit. Cette procédure comprend plusieurs étapes : tout d’abord, la décision de lancer la procédure doit être prise par Conseil européen sur proposition de la Commission, puis l’État membre concerné doit produire un rapport sur les mesures qu’il considère de prendre pour résorber le déficit, enfin en cas d’absence de résultats, il peut recevoir un avertissement ou une amende s’il appartient à la zone euro.
 

Cette procédure est considérablement renforcée avec le Pacte budgétaire. En effet, les décisions seront désormais prises à la « majorité inversée », y compris pour le lancement de la procédure. Le traité prévoit en effet qu’il faudra une majorité qualifiée des membres de la zone euro pour s’opposer au lancement des poursuites contre un État membre.
 

Aujourd’hui, seuls quatre membres de la zone euro ne sont pas sous le coup d’une procédure de déficit excessif [14], mais le mode de vote rendait la procédure lente voire la bloquait. La majorité qualifiée étant difficile à obtenir, ce sera désormais plus simple d’infliger des amendes.

En 2011, la France s’était opposée à la majorité inversée… Ce sera désormais la règle avec le nouveau traité.


- 10. Le traité va entrer dans la législation européenne

 

Le traité n’est pas un traité européen. Pourtant, il donne des tâches et responsabilités très importantes à la Commission, et confère à la Cour de justice européenne un pouvoir considérable. Il est néanmoins prévu qu’il intègre, d’ici 5 ans, la législation européenne.

 

Vu l’état des discussions, ce scénario est tout à fait probable. La République Tchèque et le Royaume-Uni ne sont pour le moment pas signataires, mais des arrangements sont en bonne voie d’être trouvés, et le Royaume-Uni pourrait bien bénéficier d’exemptions à certaines clauses dans le cadre d’un traité de l’UE.

 

Un danger pour la société et la démocratie

 

D’ici à ce qu’il soit intégré à la législation européenne, cela ne fera pas de différence. Le vrai changement sera sur le court-terme. Déjà l’an dernier, les règles concernant la surveillance des budgets en déficit ont été considérablement renforcées, avec un resserrement des délais, des exigences plus pressantes et plus contraignantes pour la mise en place de mesures d’austérité, des amendes plus élevées…

 

Avec le Pacte pour l’euro et les réformes de la gouvernance économique (« six-pack »), cette tendance s’est accrue. Le « traité d’austérité » resserre un cran de plus les vis d’un édifice institutionnel complexe qui fait de l’austérité l’alpha et l’oméga des politiques économiques européennes…

Et qui s’apprête à heurter de plein fouet les droits sociaux et la protection sociale.

 

Néanmoins, tout n’est pas encore joué.

 

Le fait que 25 chefs d’État et de gouvernement aient paraphé le texte ne signifie pas que tout est terminé. Pour commencer, le traité doit être ratifié, et malgré le fait qu’il ait été tout particulièrement pensé pour éviter de susciter le débat démocratique, le gouvernement irlandais a d’ores et déjà été forcé de tenir à un référendum en fin d’année. Et quand bien même il serait ratifié et mis en œuvre, ce traité sera sans doute la cible d’une résistance sociale massive, lorsque ses conséquences deviendront claires.

 

Traduction par

 

Frédéric Lemaire

 

 

Investig Action

 

 

http://www.mleray.info/article-europe-pacte-budgetaire-10-choses-que-vous-devez-savoir-102168716.html

 
 

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Notes

 

Source : Les dessous de Bruxelles

[1] Pacte budgétaire, ou Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance de l’Union économique et monétaire » T, http://www.european-council.europa....

[2] Communiqué de presse de la CES, 31 janvier 2012, http://etuc.org/a/9605

[3] Réglement 1466/97, article 5,http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ...

[4] Statistiques Eurostat, http://epp.eurostat.ec.europa.eu/tg...

[5] European Economy, Occassional Papers 65, 2010, http://ec.europa.eu/economy_finance...

[6] Pacte Europlus, page 19 des conclusions du Conseil, 24, 25 mars 2011, http://www.consilium.europa.eu/uedo...

[7] Cela fait longtemps que l’idée de telles instances indépendantes, disposant d’un rôle important est débattue au sein les institutions européennes, et de nouvelles propositions législatives dans ce sens devraient être faites bientôt.

[8] The Guardian, 30 janvier 2012, http://www.guardian.co.uk/business/...

[9] Dépêche Eurostat, 6 février 2012, http://epp.eurostat.ec.europa.eu/ca...

[10] Professeur Jesper Jespersen, interview, 24 février 2012.

[11] Commission européenne, European Economy no 3, 2006, http://ec.europa.eu/economy_finance...

[12] Exemples tirés de Pat McArcle ; “The Euro Crisis : The ‘Fiscal Compact’ and Fiscal Policy”, Working Paper 6, Institute of International and European Affairs, 2012, page 13. http://www.iiea.com/publications/th...

[13] A critique argumentée de la méthode de la Commission européenne a été élaborée par la Banque Nationale danoise (département économie) : Ann-Louise Winther ; “Konjunkturudsving og offentlige finanser”, Kvartalsoversigt, 1. Kvartal 2011 del 1, Danmarks Nationalbank, 2011, pp. 71- 91. https://www.nationalbanken.dk/C1256...

http://canempechepasnicolas.over-blog.com/


 

http://lucien-pons.over-blog.com/

 

 

 

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29 février 2012 3 29 /02 /février /2012 21:53
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Édith Bouvier et William Daniels

 

Introduction d'eva :

 

Mensonges des Médias, là aussi ! Silence gêné de la France (d'autant qu'elle s'ingère dans les affaires intérieures de l'Etat souverain syrien, en armant les opposants - pour le compte de Washington et d'Israël) !

 

Donc en réalité la journaliste française serait otage des rebelles, pas du régime syrien, ce que nos médias ne veulent pas avouer, évidemment.

 

Actuellement, la ville de Homs attaquée par les Islamistes (qui ne supportent pas le régime laïc de Bachar-el-Assad) aidés par les agents de l'Occident (américains, anglais, israéliens et désormais français sous Sarkozy, les 4 pays font TOUTES les guerres ensemble, Afghanistan, Libye, Côte d'ivoire, Syrie, Mali etc...), est bombardée par l'Armée syrienne qui tente d'éradiquer l'offensive des Islamistes contre le pays, offensive orchestrée de l'Etranger pour chasser du pouvoir Bachar-el-Assad qui refuse de se soumettre aux diktats de Washington (Les Américains ne supportent pas les pays indépendants, tous les Etats doivent accepter leur domination).

 

Il est normal qu'un pays attaqué se défende. Et la ville de HOMS doit être nettoyée rapidement avant que l'insurrection ne s'étende, comme en Libye. Dans l'ensemble, les Syriens (particulièrement les chrétiens qui redoutent l'islamisation du pays et la guerre) restent fidèles à leur dirigeant. 

 

Eva R-sistons  

 

 

Pour la libération de nos compatriotes et confrères prisonniers à Baba Amr

Plusieurs journalistes sont retenus dans la zone close de Baba Amr. Selon les dirigeants atlantistes, ils sont empêchés d’en sortir par l’armée syrienne qui pilonnerait le bastion rebelle. Présent sur place et témoin privilégié des négociations, Thierry Meyssan rend compte de la réalité : les journalistes sont prisonniers de l’Armée « syrienne » libre qui les utilise comme boucliers humains. Le Croissant Rouge syrien a été empêché par les rebelles de les évacuer.

 

Nos confrères Marie Colvin (Sunday Times) et Rémi Ochlik (IP3 Presse) ont été tués mercredi 22 février 2012 dans la zone rebelle à l’intérieur de Homs.


Selon des agences de presse occidentales citant l’Armée « syrienne » libre, ils ont été victimes du pilonnage du quartier par les forces de Damas. Cependant, l’Armée nationale n’a fait usage de lanceurs de roquettes multiples que pendant une très courte période pour détruire des postes de tir, et à aucun moment après le 13 février. En outre, si la ville était pilonnée depuis 21 jours, comme l’indiquent les agences de presse, il y a longtemps qu’elle ne serait plus qu’un tas de ruine sans âme qui vive.


Au moins trois autres journalistes sont encore présents dans la zone rebelle : Édith Bouvier (Le Figaro Magazine), William Daniels et Paul Conroy (Sunday Times), ainsi probablement que Javier Espinosa (El Mundo).


Dans une vidéo postée sur Internet, Édith Bouvier, qui est blessée à la jambe, et William Daniels appellent à un cessez-le-feu et à leur évacuation vers un hôpital au Liban. Immédiatement, une intense campagne de communication a été organisée en leur faveur, incluant la création de plusieurs groupes Facebook et de tonitruantes déclarations d’Alain Juppé.


Il n’y a plus de couverture GSM ou G3 à Homs, et les lignes téléphoniques filaires de la zone rebelle sont coupées.


Il n’échappera à personne que si les journalistes ont pu uploader une vidéo pour appeler au secours, c’est qu’ils ont bénéficié d’une liaison satellite. Et s’ils n’ont pas pu téléphoner à leurs proches, à leurs employeurs et à leurs ambassades, c’est que ceux qui détiennent cette liaison satellite le leur ont refusé. Ils ne sont donc pas libres de leurs mouvements, mais détenus prisonniers.


Pour comprendre cette séquestration, il convient de la replacer dans son contexte.

La situation militaire

Les généraux syriens ont considéré la bataille de Homs gagnée dès le 13 février et ont rendu compte au président Bachar el-Assad qu’elle était terminée, jeudi 23 février à 19h.


La victoire n’a pas le même sens pour les civils et les militaires. Les premiers rêvent d’un retour à une vie paisible. Les seconds la proclament à la manière dont un chirurgien annonce qu’il a réussi une opération. Il n’en reste pas moins que le blessé est encore astreint à des mois de soins et à des années de rééducation. Concrètement, la fin de la bataille signifie pour eux que les rebelles sont isolés dans une zone entièrement ceinturée et ne représentent plus de danger pour le pays.


Les principales artères de la ville sont rouvertes à la circulation, mais elles sont hérissées de chicanes sur des kilomètres. Les voitures ne peuvent qu’avancer au pas en zigzaguant. La ville, vidée de la grande majorité de ses habitants, reste une ville fantôme.


La bataille de Homs s’est déroulée en trois temps :


- Les premiers jours, les troupes syriennes ont été empêchées d’entrer dans les quartiers rebelles par des tirs de missiles antichars, notamment des missiles Milan.


- Puis, les troupes syriennes ont bombardé les postes de tir anti-chars, au prix d’importantes pertes collatérales parmi leurs concitoyens, tandis que les rebelles se sont repliés dans une zone unique qu’ils se sont appropriée.


- Enfin, les troupes ont ceinturé le bastion rebelle, sont entrées à l’intérieur et ont commencé à libérer chaque rue, une à une. Pour éviter d’être pris à revers, l’armée syrienne avance en ligne, ce qui ralentit sa progression.


La zone encerclée était jadis habitée par 40 000 personnes. Elle abrite aujourd’hui un nombre indéterminé de civils, surtout des vieillards qui n’ont pas pu fuir à temps, et environ 2 000 combattants de l’Armé « syrienne » libre. Derrière ce label, on trouve des groupes rivaux répartis en deux tendances principales : d’un côté les takfiristes, qui considèrent non seulement que la démocratie est incompatible avec l’islam, mais que les alaouites (dont Bachar el-Assad) sont des hérétiques et qu’ils doivent être privés de toute responsabilité politique en terre musulmane ; de l’autre côté des repris de justice qui avaient été recrutés pour renforcer la dite Armée « syrienne » libre. Ces gangs, n’étant plus payés, ont repris leur autonomie et n’ont pas la même logique que les takfiristes. La plupart des combattants étrangers ont quitté Homs avant le bouclage du bastion. ils se regroupent actuellement dans le Nord du pays, dans le district de Idlib.


L’ensemble des rebelles de Baba Amr dispose d’un stock considérable d’armes et de munitions, mais dans la situation actuelle, ils ne sont plus réapprovisionnés et finiront un jour ou l’autre par devoir se rendre –sauf, intervention militaire étrangère–. Leurs arsenaux incluent des fusils Dragunov-snipers à vision nocturne aussi bien que des mortiers de 80 et 120 mm et quantités d’explosifs. Ils ont aménagé des entrepôts dans des sous-sols et ont parfois constitué des caches d’armes dans des égouts. Contrairement à ce qui a été dit, ceux-ci sont des boyaux trop étroits pour leur permettre de circuler. De même, les tunnels qui ont été creusés à l’époque où ils disposaient de la protection de l’ex-gouverneur de Homs, ne sont plus ventilés et ne peuvent donc plus être utilisés. L’ex-gouverneur, quant à lui, s’est réfugié depuis longtemps au Qatar où il jouit paisiblement du salaire de sa trahison.


La population a soutenu un moment les rebelles, mais leur sert aujourd’hui de bouclier humain. Les civils qui veulent fuir sont abattus par des francs-tireurs. Ils n’ont aucun moyen de se révolter, d’autant que la plupart sont âgés.


On peut penser qu’à moyen terme, la division de l’Armée « syrienne » libre, l’absence de soutien populaire, et la perte d’espoir en des renforts internationaux conduira une partie des rebelles à se rendre. Cependant, les takfiristes pourraient décider de se battre jusqu’à la mort.


Pour le moment, les rebelles empêchent les civils de fuir leur zone et dynamitent les maisons vides, au rythme d’environ une dizaine par jour. En outre des commandos, situés hors de la zone bouclée, harcèlent les campements de l’armée régulière pour la désorganiser et desserrer l’étau. Ils recourent pour cela principalement à des voitures piégées, ce qui est rendu possible par la réouverture des rues, et explique le maintien des chicanes.

Baba Amr n’est pas pilonnée. Les seuls bombardements qui subsistent sont des tirs de mortiers des rebelles contre l’armée nationale.

La situation des journalistes

Les journalistes présents dans le quartier rebelle sont regroupés dans un même appartement, qualifié de « centre de presse », dont la localisation précise est inconnue.

Ils sont entrés illégalement en Syrie, alors qu’ils auraient pu solliciter et auraient tous obtenu un visa de presse, à l’exception de ceux qui ont la nationalité israélienne du fait de l’état de guerre entre les deux pays.


Leur transport à Homs a été organisé par une filière unique, soit depuis le Nord du Liban, soit depuis le Sud de la Turquie. Cette filière joue le rôle d’Office de relations publiques de l’Armée « syrienne » libre. C’est elle qui les a mis en contact avec les personnes qui les hébergent, et dont l’identité est imprécise.


Vendredi 24, la Croix-Rouge internationale et le Croissant-Rouge syrien ont négocié avec l’Armée « syrienne » libre par l’intermédiaire du poste du Croissant-Rouge qui fonctionne à l’intérieur de la zone bouclée. Ils ont obtenu l’autorisation de pénétrer dans la zone avec des ambulances pour rapatrier les corps des deux journalistes morts, et pour évacuer les journalistes restants qu’ils soient blessés ou sains. Cependant, au dernier moment, les journalistes ont refusé de partir, craignant d’être victimes d’un piège tendu par les autorités de Damas. Ils ont en effet été convaincus par un de leurs collègues français qui a quitté les lieux avant le bouclage que le gouvernement syrien mettrait tout en œuvre pour les éliminer. En outre, n’ayant accès qu’aux chaînes de télévision satellitaires de l’OTAN et du CCG, ils sont persuadés que les combats dont ils sont victimes ne se limitent pas à leur quartier, mais s’étendent à toute la Syrie.


Au moment de partir, les ambulances étant vides, le Croissant-Rouge syrien a été autorisé à évacuer vingt-sept civils, malades ou blessés, qui ont été transportés à hôpital al-Amine de Homs (dans la partie libérée de la ville). Le bureau londonien des Frères musulmans, connu sous l’appellation Observatoire syrien des Droits de l’homme, selon lequel les hôpitaux sont devenus des centres de torture, a fait courir la rumeur que plusieurs de ces blessés avaient été arrêtés ultérieurement par la police syrienne. Après enquête, le Croissant-Rouge a indiqué que ces imputations sont absolument fausses.


Samedi 25, la Croix-Rouge internationale et le Croissant-Rouge syrien ont demandé à l’Armée « syrienne » libre l’autorisation de rentrer à nouveau dans la zone. Présent sur place, je me suis mis à disposition des autorités pour faciliter l’extraction de mes compatriotes et de mes confrères. Les négociations ont duré plus de quatre heures.

 

Plusieurs États, dont la France, ont été tenus informés du déroulement des événements.

Après divers rebondissements, les officiers de l’Armée « syrienne » libre ont reçu par liaison satellite l’instruction de refuser. Leurs communications cryptées avec leur hiérarchie aboutissaient à Beyrouth ou étaient relayées via Beyrouth. De facto, les journalistes sont utilisés comme des boucliers humains encore plus efficace que la population civile, les rebelles craignant un assaut final des forces syriennes.


Par conséquent, les journalistes sont désormais les prisonniers des commanditaires de l’Armée « syrienne » libre, ceux-là même que les « Amis » de la Syrie, réunis en conférence à Tunis, ont appelé à soutenir, à financer et à armer.

 

http://www.voltairenet.org/Pour-la-liberation-de-nos

 

Réseau Voltaire

Voltaire, édition internationale

                                                                                 

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18 février 2012 6 18 /02 /février /2012 15:37

Nouveaux traités européens : je veux vous alerter !

by Patrick Le Hyaric

 

Comme député européen, je me dois de vous alerter des graves décisions qui se prennent dans votre dos parce qu'elles vont avoir de dures conséquences pour votre vie quotidienne et celle de votre famille.

Le lundi 31 janvier dernier, sur proposition de Mme Merkel et de M. Sarkozy, le Conseil européen, c’est-à-dire les chefs d’État et de gouvernement de l’Union européenne ont décidé de confirmer deux nouveaux traités européens.

L’un est baptisé  « traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance dans l’Union économique et monétaire » (TSCG).

Derrière ces mots barbares se met en place un pilotage  des choix budgétaires des pays, donc de la France, sans que vous, votre député, votre maire n'aient leur mot à dire. Seules les institutions européennes, élues par personne, décideraient comme elles le font aujourd'hui pour la Grèce. Or, elles ne connaissent qu'un seul remède, l'austérité qui oblige les pays à serrer la ceinture aux salariés, aux retraités, aux jeunes, à baisser les dépenses publiques utiles, le niveau de protection sociale, les crédits aux communes, départements, régions. Bref, un remède pire que le mal puisqu'il tue le malade par asphyxie en condamnant son économie à la récession. Exactement la situation qui serait la vôtre si, endetté, on vous obligeait à rembourser en réduisant votre salaire ou en vous licenciant !

Les gouvernements ne seront pas libres demain de décider de leur politique économique. C’est pire que ce prévoyait le traité de Maastricht et de Lisbonne qu’une majorité de nos concitoyens a rejeté. C’est un texte contre vos droits sociaux, votre pouvoir d’achat, les services publics qui soumet toute volonté de ré-industrialisation, de lutte contre les délocalisations, de développement d'initiatives contre le chômage, de lancement  de travaux pour des logements nouveaux moins chers et plus écologiques, d'amélioration du réseau du métro ou du train, au bon vouloir de technocrates européens plus soucieux de satisfaire les exigences de la finance que d'améliorer votre vie de tous les jours. Tout pays qui ne se soumettrait pas à leurs décisions serait traduit, comme un criminel, devant la cour de justice européenne qui lui imposerait des amendes. C'est tellement gros qu'on a du mal à le croire. Pourtant, la Grèce est là qui chaque jour nous dit que tout, malheureusement, est vrai.

L’autre traité, appelé « traité établissant un mécanisme européen de stabilité » (MES), lié au précédent, prétend rassembler des fonds pour prêter de l’argent aux pays qui en ont besoin. Bonne idée direz-vous à juste titre. Mais il ne s’agit pas d’une simple caisse d’entraide ou de secours. Deux conditions la transforment en son contraire.

La première donne le pouvoir au nouvel organisme que crée le traité MES de demander de l'argent aux États de manière illimitée. A ce titre la France doit déjà verser 142 milliards d’euros.

La seconde conditionne le prêt à un pays en difficulté à son acceptation et à l'application de toutes les dispositions prévues dans le premier traité c'est à dire à la condition qu'il pressure les citoyens, recule l'âge de la retraite, réduise les budgets sociaux, diminue vos salaires, retraites et minima sociaux. Tout cela sans que les parlements nationaux n'aient leur mot à dire, la Commission de Bruxelles, la Banque centrale européenne et le… Fonds monétaire international disposant, eux, des pleins pouvoirs qu'ils ne détiennent pas du suffrage universel. C'est précisément ce qui est imposé à la Grèce.

Comme vous le voyez, je n'ai pas exagéré la gravité de ce qui se prépare que le gouvernement et beaucoup de dirigeants politiques vous cachent. Je me fais un devoir de  vous le révéler.

Au Parlement européen, j'ai, avec mes amis du Front de Gauche, voté contre toutes ces dispositions. Dans quelques jours, le Parlement français est appelé à se prononcer sur le deuxième traité. J'invite tous les députés de gauche et de l'écologie politique à se rendre au Parlement pour, ensemble, dans l'unité s'opposer à ce traité qui porte la signature de Nicolas Sarkozy. Oui, pour une politique de gauche demain, il faut voter contre le traité Sarkozy dès mardi prochain. Il en va de la possibilité pour notre pays, demain quand il aura chassé le locataire actuel de l’Élysée, de mettre en œuvre une politique de changement qui réponde à vos attentes et à vos espoirs.

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Les deux traités sont liés ! La preuve :
  • Extrait du traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance dans l’Union économique et monétaire  (traduction non officielle, la version française n’étant pas encore disponible) :

« INSISTANT sur l’importance du Traité établissant le Mécanisme européen de stabilité comme élément d’une stratégie globale pour renforcer l’union économique et monétaire et SOULIGNANT que l’octroi de l’assistance dans le cadre de nouveaux programmes du Mécanisme européen de stabilité sera conditionné, à partir du 1er mars 2013, à la ratification de ce Traité par les parties contractantes concernées et, dès l’expiration de la période de transition mentionnée dans l’Article 3 (2) en conformité avec les exigences de cet Article, »

  • Extrait du traité instituant mécanisme européen de stabilité :

Considérant 5 « Le présent traité et le TSCG sont complémentaires dans la promotion de pratiques budgétaires responsables et de la solidarité au sein de l'Union économique et monétaire. Il est reconnu et convenu que l'octroi d'une assistance financière dans le cadre des nouveaux programmes en vertu du MES sera conditionné, à partir du 1er mars 2013, à la ratification du TSCG par l'État membre concerné et, à l'expiration du délai de transposition visé à l'article 3, paragraphe 2, du TSCG, au respect des exigences dudit article ».

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Appel aux citoyens et à leurs élus pour s’opposer au « coup d’État » du 21 février 2012 !

Appel aux citoyens et à leurs élus pour s’opposer au « coup d’État » du 21 février 2012 ! Texte de l'appel à signer et à faire circuler : Il y a urgence et il ne s’agit pas seulement de se défendre…

 

Pour lire la suite cliquez ici

 

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Il ne reste que quatre jours avant que le pire n’arrive, seulement quatre jours avant que des fous ne ratifient la dictature financière. Les seules solutions, informer autour de nous et tous nous mobiliser (utopique donc…), espérer que d’ici là le krach tant redouté (ou attendu suivant les personnes) n’arrive, ou encore subir encore une fois et payer, payer, et payer encore…


Le 21 février prochain sera probablement ratifié le nouveau traité européen. L’occasion pour l’essayiste Raoul-Marc Jennar de revenir sur ce qui s’apparente à un véritable coup d’état financier dans la zone euro.

 

Suite ici :

http://lesmoutonsenrages.fr/2012/02/17/le-21-fevrier-ce-coup-d%e2%80%99etat-a-venir/#more-21287

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Pour éviter le coup d'état du 21 février 2012, il faut faire connaître cette forfaiture et il faut écrire aux députés! Ils vont solliciter un nouveau mandat en juin!

Bonjour à toutes et tous Je vous invite à adresser à votre député(e) un message du genre de celui qui suit ( vous trouverez l'adresse courriel de votre députée sur…

 

Pour lire la suite cliquez ici

 

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16 février 2012 4 16 /02 /février /2012 14:59

30.01.2012
NDAA, SOPA, PIPA, ACTA, la grande offensive contre les libertés


En décembre, Barack Obama a signé la loi NDAA autorisant la détention illimitée et sans jugement des citoyens américains. Cette possibilité avait été instaurée par le Patriot Act de Bush mais jusqu'ici c'était réservé aux ressortissants étrangers. C'est donc de facto la fin "l'habeas corpus", droit constitutionnel fondamental de toute démocratie qui garantit à chaque citoyen de ne pas être emprisonné sans jugement.

Cette loi NDAA est une initiative des représentants et sénateurs Républicains qui ont la majorité au Congrès, mais une grande partie des Démocrates l'ont voté aussi. Obama a exprimé son désaccord mais il a quand même signé le décret d'application de la loi et il n'a pas opposé son véto comme il en avait la possibilité.

voir cette vidéo à propos de la loi NDAA


Début janvier sont arrivées les lois SOPA et PIPA qui vont permettre d'interdire des sites sans aucune décision judiciaire et pour des motifs aux définitions très extensives.

Ce à quoi vient s'ajouter ACTA, un accord multilatéral négocié en secret par 39 pays depuis 3 ans, sans que les parlements soient informés ni consultés. En façade, ACTA est un traité pour lutter contre les contrefaçon et pour protéger la propriété intellectuelle. En réalité, il s'agit de faire surveiller et censurer les internautes par les fournisseurs d'accès à Internet, sans recours possible pour les internautes.

Tout se passe comme si les élites sentaient monter la probabilité d'une révolte (suite au mouvement des Indignés, aux "tea party" ou au succès de Ron Paul) et avaient décidé de mettre en place tous les instruments de contrôle pour une dictature. Et une nouvelle fois, Obama a cédé, comme il l'avait fait en faveur des banques et du lobby de Wall Street.

Quelques liens à propos de la loi NDAA:
Les États-Unis : une « Dictature démocratique » sur la voie d'un État totalitaire
Obama signe la loi sur la détention indéfinie et la torture

A propos des lois SOPA et PIPA:
SOPA et PIPA, la liberté d'information en danger
Lois SOPA et PIPA: Désolé, vous n’êtes pas autorisé à lire ceci
Pourquoi nous devons arrêter la SOPA et la PIPA
Loi antipiratage SOPA: la pression monte aux Etats-Unis

A propos d'ACTA:
ACTA, le dossier bilan
“Acta va trop loin”, interview du rapporteur du traité au Parlement européen
ACTA: une seule certitude, la limitation de nos libertés
ACTA: quatre lettres qui pourraient changer la face du monde

 

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Les US veulent être chez eux, partout (et pas que pour les ayants droits), et faire voter des lois US actives dans le monde entier : voir ACTA.

 

Pour les gouvernements, les ayants droits servent de prétexte pour mettre en place, une surveillance de tous sur tout.


 

Les lois US en "A" sont mondiales.


NDAA, SOPA, PIPA, ACTA,... Il est grand temps de dire BASTA.


 

Et pire.... (texte original) Au regard de ce qu'ils viennent de faire voter par leur congrès.

 

Version traduite :

«Guantánamo Forever ?" - Le Congrès adopte le projet de loi 662 milliards Défense, alias le NDAA

Tyler Durden's picture

Soumis par Tyler Durden le 14/12/2011 19:00 -0500

 

Le Congrès vient de passer la Loi sur la défense nationale l'autorisation à un vote de 283 à 136. 190 républicains et 93 démocrates ont voté pour, 43 républicains et 93 démocrates ont voté «contre». Préparez vous à être arrêtés, sans frais, simplement parce que quelqu'un "là-haut», estime-vous livrer à "terroristy" stuff. Bonne chance pour prouver qu'ils avaient tort.

De Reuters :

La Chambre des représentants américaine a approuvé un projet de défense, le mercredi nécessitant l'armée pour gérer militants présumés liés à Al-Qaïda, agissant peu de temps après le président Barack Obama enlevé une menace de veto de la loi controversée.

Le projet de loi devrait passer au Sénat cette semaine, puis aller à un bureau d'Obama pour sa signature dans la loi.

Peu avant le vote de la Chambre, la Maison Blanche a annoncé conseillers du président ne recommanderais pas un droit de veto, mais ils ont dit qu'ils avaient encore des préoccupations au sujet de la mesure.

La mesure impose également de nouvelles sanctions contre la banque centrale de l'Iran et de manière préventive gèle partie de l'aide au Pakistan.

Et CNN :

La Maison Blanche a levé une menace de veto contre un géant 662 milliards de dollars le projet de loi d'autorisation de la défense mercredi après législateurs apporté des changements dans le langage impliquant des détenus.

En particulier, le législateur a ajouté la langue à préciser que rien dans le projet de loi exigeant détention militaire des suspects d'Al Qaïda aurait interférer avec la capacité d'application de la loi civile à mener des enquêtes et des interrogatoires du terrorisme dans les Etats-Unis.

Une déclaration de la Maison Blanche, Secrétaire de presse Carney Jay dit que les changements signifient que les conseillers du président Obama ne recommandera pas un droit de veto. La mesure devrait arriver pour les votes à la Chambre et au Sénat cette semaine.

Démocrates pour offrir aux changements taxe sur les salaires coupés proposition

La question était de l'autorité du Président de décider si les personnes détenues dans les enquêtes terrorisme serait maintenu en détention militaire ou civil.

Le sénateur John McCain de l'Arizona, le républicain haut sur le Senate Armed Services Committee, a déclaré que le projet de loi comprend une «renonciation à la sécurité nationale» qui permet au président de transférer un suspect de l'armée à la garde civile s'il le choisit.

Swell, en d'autres termes il ne sera pas un colonel en tirant sur vos ongles ... il faudra attendre quelques Spook dans un manteau gris.

Et maintenant, pour une opinion:

Guantanamo Forever? Via le NYT

Charles C. Krulak et Joseph P. Hoar sont à la retraite généraux quatre étoiles Marine.

DANS sa discours inaugural , le président Obama nous a appelés à "rejeter comme faux le choix entre notre sécurité et nos idéaux." Nous en convenons. Maintenant, pour protéger à la fois, il doit de veto de la Loi sur la défense nationale l'autorisation que le Congrès devrait passer cette semaine.

Ce projet de loi budgétaire - qui peuvent être rejetées sans couper le financement de nos troupes - est à la fois erronée et inutile: le président a déjà la puissance et la flexibilité nécessaire pour lutter efficacement contre le terrorisme.

Une disposition autorise les militaires à détenir indéfiniment des gens sans frais soupçonné d'être impliqué avec le terrorisme, y compris les citoyens américains appréhendés sur le sol américain. Procédure régulière serait une chose du passé. Certains prétendent que cette disposition ne ferait que codifier les pratiques existantes. La loi actuelle permet aux militaires de détenir des gens pris sur le champ de bataille, mais cette disposition serait d'élargir le champ de bataille afin d'inclure les Etats-Unis - et la main d'Oussama Ben Laden une victoire non acquises longtemps après sa disparition bien méritée.

Une deuxième disposition serait le mandat détenu par l'armée pour les suspects les plus terrorisme. Elle obligerait les responsabilités militaires, il n'a pas cherché. Ce serait violer non seulement l'esprit de la Loi sur la reconstruction post-limitant l'utilisation des forces armées pour l'application du droit interne, mais aussi notre confiance avec les membres du service, qui s'enrôlent croire qu'ils ne seront jamais demandé de tourner leurs armes sur les compatriotes américains. Il serait marginaliser le travail du FBI et les agences locales de l'application des lois antiterroristes dans le domestique. Ces organismes ont recueilli des renseignements précieux parce que le système de justice pénale - à la différence de détention militaire indéfinie - accorde des incitations à coopérer suspects.

Obligatoires détention militaire permettrait de réduire, sinon éliminer, le rôle des tribunaux fédéraux dans les affaires de terrorisme. Depuis 9 / 11, le fragile, non testés commissions militaires ont condamné que six personnes sur des accusations liées au terrorisme, contre plus de 400 dans les tribunaux civils.

Une troisième disposition étendrait encore une interdiction des transferts de Guantanamo, veillant à ce que ce symbole moralement et financièrement coûteuse d'abus de détenus restera ouverte à l'avenir. Non seulement cela renforcer les efforts de recrutement d'Al-Qaïda, il a aussi, il serait presque impossible de transférer 88 hommes (sur les 171 détenus là-bas) qui ont été défrichées pour la libération. Nous devrions aller de fermer Guantanamo, ne pas l'étendre.

Ayant servi les différentes administrations, nous savons que les politiciens des deux partis aiment ce pays et veulent la garder en sécurité. Mais en ce moment certains membres du Congrès sont que trop disposés à saper nos idéaux au nom de la lutte contre le terrorisme. Ils devraient se rappeler que les idéaux américains sont actifs, et non passif.

 

Lien : http://translate.google.com/translate?hl=fr&sl=auto&tl=fr&u=http%3A%2F%2Fwww.zerohedge.com%2Fnews%2Fcongress-passes-662-billion-defense-bill-aka-ndaa

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14 février 2012 2 14 /02 /février /2012 09:45

http://a1.idata.over-blog.com/300x235/1/96/95/88/2012/actu-info/clodo-allemand.jpg

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Record battu: jamais le taux de chômage n'a été aussi bas (6,9%) en Allemagne depuis la réunification. Un véritable "miracle économique". Sauf si l'on tient compte des millions de chômeurs radiés ou des précaires dépendants de l'aide sociale...


Les derniers chiffres du chômage en Allemagne sont tombés, et ils sont époustouflants...


 [Lire l'article complet sur fr.myeurop.info]

(Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")

 

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29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 23:38

 

 

Cliquer au milieu pour voir la vidéo

 

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13 décembre 2011 2 13 /12 /décembre /2011 00:42

 

 

Le moteur Minato :

Une révolution en marche qui va changer le monde

 

Minato_japaninc.jpg

 

Ce moteur n’a pas besoin de pétrole. On tue les inventeurs de moteurs à énergie libre. Kuhai Minato est l’un deux. Il n’a pas eu de problèmes au Japon car le Japon est le seul pays au monde à protéger l’énergie libre en attendant un monde meilleur, libéré de la domination de cartels bancaires privés et de firmes internationales douteux. Découvrez son histoire et celle de son moteur. Vous vous souviendrez de WikiStrike.

 

Le post ici :

 

http://quanthomme.free.fr/nouvelles2004/nouvelle07042004.html


Avec ce type de moteur, on pourrait supprimer au moins 20 centrales nucléaires en France !

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8 décembre 2011 4 08 /12 /décembre /2011 15:47

 

http://medias.lepost.fr/ill/2011/12/06/h-4-2654461-1323179694.png

 

http://medias.lepost.fr/ill/2011/12/06/h-4-2654461-1323179694.png

 

Agences de notation, la menace

 

 

Quelques infos qu'on vous a cachées

par eva R-sistons

 

 

Bonjour amis Lecteurs et Lectrices

 

Quelques commentaires sur l'actualité.

 

Les Médias vous cachent beaucoup de choses.

 

Savez-vous, par exemple, que le Parlement français a donné à la Police, début 2011, le droit de tirer sur les futurs manifestants,  c'est-à-dire sur les lycéens vos petits-enfants, sur les chômeurs, les précaires, les retraités appauvris, les sans logis etc, qui protesteront contre l'absence de perspectives, contre l'austérité IMPOSEE aux peuples par les technocrates de Bruxeelles ?

 

Savez-vous qu'aux Etats-Unis on construit des camps (de la FEMA) comme ceux d'Auschwitz pour les manifestants ?

 

Savez-vous qu'une loi est passée comme quoi les Américains n'auront plus le droit de cultiver leur potager ? Et qu'une autre se prépare pour interdire de faire des provisions chez soi ? Cela nous arrivera aussi, et cela rentrera dans une politique de... DEPOPULATION ! Comme le fait de ne plus rembourser, bientôt, les frais liés aux traitements de l'hypertension (eugénisme déguisé, euthanasie déguisée).

 

Savez-vous que l'Europe, à travers le couple Sarkozy-Merckel (mais celui qui porte le pantalon, c'est Merckel, au détriment de l'indépendance de notre pays), se prépare à sacrifier les citoyens aux intérêts des Grandes Banques internationales comme Goldman Sachs ?

 

Savez-vous qu'en coulisses, les apprentis sorciers - notammment à la City de Londres ou à Tel-Aviv - préparent la guerre mondiale pour masquer l'effondrement financier ? Et c'est dans ce cadre qu'on discrédite sans cesse la Russie, la Chine, l'Iran, la Syrie... dans les Médias. Injustement !

 

Savez-vous que les morts, en Syrie, sont surtout dus aux attaques de l'Otan avec ses mercenaires infiltrés dans le pays, pour ensuite le soumettre et le contrôler ?

 

Amis lecteurs et lectrices, alerte, les Médias vous mentent !

 

Cordialement, votre eva

 

Voici quelques liens pour approfondir, sur mon blog sos-crise

 

Je vous conseille tout particulièrement le post sur les dangers du plastique, sur l'école, sur le commerce de proximité qui disparaît

 

 

http://www.linternaute.com/paris/shopping/selection/boutiques-anciennes/images/5-mere-de-famille.jpg

 

 

 

Le commerce de proximité en chute libre - Boycotter les supermarchés

L'école est attaquée, dégradée, humiliée, privatisée, sacrifiée, elle va mourir

Plastiques, alerte aux toxiques !

 

 

http://christophe.chazot.pagesperso-orange.fr/images/la_classe.jpg

http://christophe.chazot.pagesperso-orange.fr/images/la_classe.jpg

 

 

 

 

 

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8 décembre 2011 4 08 /12 /décembre /2011 15:40

http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/files/2011/06/joplin-1024x876.jpg

http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/files/2011/06/joplin-1024x876.jpg

 

 

Dans les coulisses

des Révolutions pour la "démocratie"

Par eva R-sistons

 

 

Après la Libye, après la Syrie, la Russie est sur la sellette - et à la marge, la Chine, en permanence d'ailleurs. Les Médias s'en donnent à coeur-joie: Tout est bon pour dresser l'opinion "internationale" (notamment à travers des supports comme France24) contre les pays ciblés pour leur non-alignement ou (et) convoités pour leurs ressources.  On va même jusqu'à nous apitoyer sur le sort d'enfants torturés et tués, soi-disant, par les Syriens fidèles à leur dirigeant. Un peu gros, quand même ! Les montages habiles ne nous feront pas oublier toutes les jeunes victimes des guerres néo-coloniales de l'OTAN...

 

Petit Libyen tué lors de l'invasion du pays par l'OTAN

http://www.lepetitmondecozillon.fr/2011/11/page/30/


 

La Syrie est dans le collimateur. Et son protecteur russe, aussi, à la faveur des dernières élections. Toutes les occasions sont saisies pour discréditer un pays refusant les diktats de l'Occident; La Russie, avec son véto à l'ONU, avec ses navires de guerre postés près de la Syrie, avec ses Poutine rebelles au grand désordre établi - la Russie, donc, gêne. Elle est désormais ciblée par ceux, à Washington, à Londres, à Tel-Aviv - ou à Paris, maintenant - qui ne veulent surtout pas d'un monde multipolaire, non-aligné. Comment venir à bout d'une puissance récalcitrante comme la Russie, de surcroît dirigée par un homme à poigne, sinon en la minant de l'intérieur ? Et là, la stratégie qui a enfanté les révolutions de couleurs ou "de velours",  entre en jeu. Encore et toujours; La Libye vient d'en faire les frais, le Vénézuela a failli en faire les frais, la Biélorussie aussi, et la Syrie est ciblée; Avec les conséquences que l'on connaît, pouvant déboucher sur une guerre civile meurtrière dument préparée par les apprentis sorciers "usraéliens", comme disent les blogueurs engagés. Car si l'on ne parle jamais d'Israël, il faut savoir que cet Etat, en toute discrétion, mène le bal, en coulisses, un peu partout, pour défendre le modèle qui lui est cher : Militaro-financier. Et la France de Sarkozy (acoquinée avec le pseudo philosophe BHL) a emboîté le pas... et même pris la tête de ces croisades "humanitaires" ou pour la "démocratie" - car il faut bien parer de toutes les vertus les ingérences néo-coloniales meurtrières et prédatrices.

 

Alors, comment prépare-t-on l'éclatement d'un pays, sa dislocation, comment concocte-t-on les grands changements géo-politiques, comment élabore-t-on ces "révolutions" pour "la démocratie" qui ne profitent, en définitive, qu'au Cartel bancaire et aux Multinationales de mort (Armement, Chimie, Nucléaire, pétrole, reconstruction etc) ainsi qu'à leurs exécutants ? Il faut distinguer deux périodes : Celle des Révolutions oranges, roses, jaunes, de velours... hier, et celle des guerres "humanitaires", aujourd'hui, chères aux Kouchner et aux néo-conservateurs de tous poils.

 

 

Filip Blazek revient sur les affiches la “Révolution de velours” en Tchécoslovaquie, avec de nombreux documents et une synthèse bien amenée.

Filip Blažek — Photo Tipocracia

http://www.typographe.com/article/1083/retour-sur-latypi-mexico-2009

 

 

Les révolutions de couleurs

 

Georgie, Ukraine, petite Serbie, Kirghistan... souvenez-vous ! Le scénario  est identique. Je rappelle au passage ce que j'ai constaté de mes yeux à la télévision - retour en arrière :  En Ukraine, les manifestants, gelés, guettent le moment de donner l'estocade au Régime pro-Russe. Au Journal de Fr2 de 13 h, on annonce que les opposants au régime ont froid, et que des Organisations "juives" charitables se chargent de leur permettre de tenir en leur offrant des soupes bien chaudes. On n'a pas l'habitude de voir ce type d'associations se pencher sur le sort des "goys" (Non-Juifs). Je me suis demandé pourquoi les citoyens Juifs étaient pris d'une soudaine fringale de solidarité... Plus tard, j'ai compris qu'un pipe-line était en projet dans la région, entre autres. En cherchant bien, on s'aperçoit toujours que le pétrole n'est pas loin... mais pas seulement. Or donc, au Journal de 20 h de l'inénarrable Pujadas, la même information est passée, avec un mot en moins : "Juives". Des Associations charitables (désintéressées, bien sûr !) pourvoyaient au nécessaire des manifestants opposés au régime soutenu par la Russie.  Depuis, les Juifs, ou les Médias, se sont faits plus discrets. On ne fait pas une boulette deux fois. Mais moi, ce jour-là, j'ai commencé à m'interroger sur le rôle des Juifs en Ukraine, et dans les autres révolutions... En fait, pour tout dire, si on ne parle jamais d'Israël, ou évidemment du Mossad, il n'en sont pas moins très présents, et actifs. Passons...

 

Jusqu'à la fin des années 70, c'était la CIA qui orchestrait les changements stratégiques, comme au Chili d'Allende. On se souvient du sinistre Plan Condor, entre autres. Puis la tâche fut confiée à des Organisations ou à des Fondations américaines attachées à la promotion de l'Economie de Marché, comme le National Democratic Institute for International Affairs ou l'Open Society Institute également connu sous le nom de Fonds Soros, travaillant en collaboration avec les Mouvements locaux d'Opposition.  Un objectif essentiel : Accroître l'influence américaine en Eurasie au détriment de celle de la Russie, comme en Georgie, qui d'ailleurs reçoit une aide militaire de Washington... et de Tel-Aviv.

 

Les ONG ont vite pris le relais, dument mandatées par les bailleurs de fonds internationaux pour promouvoir l'économie de marché... et la "démocratie". Avec le soutien des Ambassades (on comprend mieux la colère des Iraniens, connaissant le rôle plus qu'ambigu de ces Officines anglo-saxonnes ou israéliennes, surtout attachées à déstabiliser les pays rebelles à leur dictature impériale).

 

Le prétexte est toujours le même : Des élections "truquées". On mobilise les masses, les opposants, on les structure, on les fédère, et les Médias prennent le relais comme instruments de propagande. Les représentants des fondations américaines ou des ONG se chargent d'exporter la "démocratie", d'apporter, clés en mains, soutien et dirigeants formés outre-Atlantique - élaborant, en liaison avec les Agents de Renseignement et avec les Diplomates sur place, les stratégies "gagnantes", celles qui permettront de mettre en place les marionnettes dociles comme en Georgie. 

 

A chaque fois, les leaders sont des étudiants éblouis par les mirages de l'Occident (les jeunes sont d'ailleurs plus malléables), leur Mouvement a un logo, une couleur, des tee-shirts, des moyens de communication - il y a tout un "marketing", toute une panoplie. La Révolution, le coup d'Etat se fait "en douceur", en appliquant les consignes de Gene Sharp, théoricien de la Révolution non violente. Dans ses écrits, il explique comment neutraliser l'Armée fidèle au Régime en place, comment fraterniser avec la Police, comment retourner les fonctionnaires locaux.  Les leaders étudiants sont envoyés en stage aux Etats-Unis, on leur explique comment prendre le pouvoir. Au besoin, d'ailleurs, les responsables de Mouvements de jeunes sont achetés. L'Oncle Sam ne lésine jamais sur les moyens... Complot de l'Occident, ou pas ? A chacun de décider...

 

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Les interventions "humanitaires", le droit d'ingérence

 

Avec des hommes comme Kouchner, avec les néo-conservateurs, la stratégie évolue, particulièrement lorsqu'il s'agit de régimes "coriaces", bien implantés, populaires auprès de leur population - en Libye, par exemple. Le droit d'ingérence, de faire la guerre pour la paix ou pour des raisons humanitaires, ce droit-là se substitue désormais aux plans de Révolutions "douces",  de couleurs. Si la stratégie diffère, les buts sont les mêmes (géopolitiques, de contrôle et de prédation), et les méthodes aussi, finalement, mais plus musclées. Voici donc venu le temps des interventions, déstabilisations en tous genres, chaos, guerres civiles, et même guerres. A l'occasion des dernières élections, la Russie est désormais ciblée, de l'intérieur, en attendant mieux (ou pire). Les projecteurs des Médias aux ordres sont braqués sur Poutine. Il faut dire que l'homme est retors, il ne se laisse pas manipuler et il est attaché à son pays. Tout est fait dans le but de le déconsidérer pour mieux l'abattre, ensuite. Vous avez dit ingérence ?

 

Le même scénario est appliqué à tous les pays non-alignés ou représentant un défi stratégique pour l'Occident : Les opposants et les étudiants sont ciblés, puis formés voire achetés; Les Mouvements de dissidents sont encouragés; Les réseaux sociaux sont amplement utilisés pour répandre la "bonne parole" civilisatrice. La pseudo démocratie (à base d'alternance de partis quasiment identiques) est imposée - bien peu démocratiquement. Gorbatchev, l'homme de l'Occident plutôt que celui de la Russie, prêche aujourd'hui contre les "élections truquées", et plaide pour leur annulation. Sa voix ne porte pas en Russie, car elle est largement déconsidérée. Mais le bonhomme intervient : Tout est diligemment répercuté par les Médias collabos. En sous-mains, les Fondations US et les ONG financent la dissidence. Il s'agit d'exporter le modèle occidental, même s'il n'est pas compatible avec les valeurs du pays (comme dans les pays arabes ou en Russie - ce pays, par exemple, lui préfère "l'homme fort").

 

Quel processus de "démocratisation" ? La colère des opposants, quels qu'ils soient, est instrumentalisée et relayée par les Médias; les manifestations sont pilotées depuis Washington, Londres, Tel-Aviv et le Paris de Sarkozy; les Ambassades sont détournées de leur fonction originelle pour susciter les coups d'Etat - comme en Syrie ou en Iran - et renverser les régimes indépendants ou hostiles;  la jeunesse est conditionnée ou corrompue par les Agents étrangers; Internet est abondamment utilisé pour servir les changements souhaités; des volontaires sont envoyés - libyens du CNL pour la Syrie, par exemple, ou turcs; les pressions se multiplient, bien ciblées; les débats sont encouragés;  les ONG sont largement utilisées...

 

Et quand cela ne suffit pas, dans un deuxième temps, et c'est ce qui caractérise cette nouvelle période, des combattants ou pire encore des mercenaires sont infiltrés, de pseudos attentats sont provoqués (par exemple contre les Chrétiens d'Orient, afin de les dresser contre leurs amis arabes ou musulmans désignés comme responsables), l'ingérence devient armée, comme à la frontière de la Syrie, ou au sein même du pays... 

 

Colin-Powell lui-même n'hésitait pas à parler, à propos des ONG,  d' "équipes de combat" (On comprend mieux pourquoi Poutine les a chassées, événement que les Médias ont présenté comme une atteinte insupportable à la démocratie). Les Révolutions sont de moins en moins douces, et de plus en plus "musclées", armées. A partir de la chute du Mur de Berlin (remplacé par celui de l'Argent), le droit d'ingérence "humanitaire", ou pour la paix, est invoqué afin de justifier les interventions militaires occidentales. Une fois le Cheval de Troie en place, la déstabilisation se mue en guerre civile puis en guerre - comme en Libye, comme en Syrie, bientôt. Tout est bon pour imposer la démocratie, même les bombardements - et la ruine d'un pays très prospère comme la Libye de Kadhafi. Les Industriels de la reconstruction se frottent les mains, et le Pentagone aussi. Place aux prédateurs ! La Syrie est appelée à connaître le même sort, après la Libye et avant l'Iran - en attendant les gros morceaux russes et chinois.

 

L'ingérence humanitaire ou pour la paix et la démocratie, cache des motifs peu avouables, bassement matériels et très géo-politiques. Et les monarchies pétrolières jouent un rôle non négligeable dans ces Révolutions censées apporter le bonheur, en réalité soumettant les peuples rétifs, comme en Libye, à l'idéologie sauvage du marché, à la Loi du plus fort, à la Pensée unique de l'Occident, militaro-financière. Tout cela au nom de la pseudo supériorité d'un modèle qui chaque jour un peu plus, montre ses brutales limites.

 

Derrière ces Coups d'Etat déguisées en oeuvres humanitaires ou pour la démocratie, se cachent les sempiternelles guerres de conquêtes, de contrôle des esprits et des ressources, pour tout dire : impériales, impérialistes, néo-coloniales. Et si on appelait enfin les choses par leur nom ?

 

Au final, la jeunesse des pays convoités, sous influence, est abusée, la lutte contre le terrorisme ou pour la démocratie se mue en combat pour le changement de régime rebelle aux diktats de l'Occident, avec à la clef, comme en Libye, le cortège habituel de malheurs exportés par les Anglo-Saxons et les Israéliens : Paupérisation, chômage, endettement, pillage des ressources, lois liberticides, etc.

 

L'oeuvre "civilisatrice" de l'Occident est en réalité synonyme d'oppression pour les peuples soumis aux changements imposés... voilà la vérité qu'on ne lira jamais dans les Médias aux ordres de l'Oligarchie financière.

 

eva R-sistons

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