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« Nouvel Ordre Mondial » (N.O.M) ou « New World Order » (N.W.O) : une expression que certains connaissent bien, et que d’autres entendent pour la première fois. La plupart des gens seraient bien en peine de dire précisément à quoi elle fait référence. C’est là le premier problème lorsque l’on traite de ce sujet épineux. Le Nouvel Ordre Mondial désigne plusieurs choses à la fois, et peut être compris de différentes manières. L’un des objectifs de ce site est de regrouper l’ensemble de ces définitions et de les clarifier. Mais avant d’aller plus loin et de définir le plus précisément possible ce projet et ses multiples caractéristiques, voici ce qui peut en être dit de façon succincte.
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A quoi devrait ressembler le Nouvel Ordre Mondial ?
Le Nouvel Ordre mondial se caractérise avant tout par l’idée d’unicité. Tous les éléments qui le constitueront devront être uniques et s’imposer à l’échelle mondiale donc à l’ensemble de l’humanité. Le projet du Nouvel Ordre Mondial est celui d’un monde au sein duquel tous les être humains – indépendamment de leurs nationalités, cultures langues, religions, etc. – partageront des valeurs, un quotidien et une réalité en tous points identiques. En bref, il s’agit d’un projet de standardisation des valeurs et modes de vies à l’échelle mondiale, le tout sous l’égide d’un pouvoir centralisé, présenté comme le meilleur garant de la paix et de la sécurité sur Terre. Concrètement, si demain ce nouvel ordre s’imposait à l’ensemble de la planète, qu’est-ce que cela donnerait ?
Gouvernement mondial
Les Etats-nations disparaîtraient pour se fondre dans de grands blocs continentaux qui eux-mêmes seraient soumis au pouvoir centralisé d’un gouvernement mondial. Calqués sur le modèle de l’Union européenne, ces blocs (nord-américain, asiatique, moyen-oriental, sud-américain, etc.) disposeraient de leurs propres institutions politiques, et dicteraient leurs décisions à l’ensemble des populations vivant en leur sein. Ce gouvernement mondial, présenté comme le résultat d’une « hyper-démocratie » serait en fait sous le contrôle d’une oligarchie financière internationalisée.
Oligarchie
Les véritables décideurs ne seraient pas des hommes ou des femmes politiques au sens classique du terme. La direction du gouvernement mondial reviendrait à une super-élite mondialisée. Cette oligarchie -principalement composée de dynasties de financiers, banquiers ou industriels- se retrouverait seule au sommet de la pyramide sociale. Les hommes politiques et autres figures publiques (intellectuels, journalistes de renom, etc.) ne seraient plus que les porte-paroles d’une caste élitiste ne souhaitant pas apparaître sur le devant de la scène. Ainsi, le véritable pouvoir serait centralisé dans les mains des quelques rares personnes qui en auraient les moyens (ploutocratie). Pour les tenants du Nouvel Ordre Mondial, le véritable pouvoir devrait reposer sur la puissance financière et industrielle et serait avant tout économique.
Synthèse socialisme/capitalisme
Suivant le modèle « thèse, antithèse, synthèse », le système socio-économique imposé à l’ensemble de la planète serait de nature hybride puisqu’il serait la synthèse du socialisme (thèse) et du capitalisme (antithèse). Officiellement, ce modèle de société réunirait les meilleurs aspects propres à ces deux systèmes. Il est cependant bien plus probable que ce « nouvel ordre » repose sur leurs aspects les plus liberticides et les plus inégalitaires.
Le « socialisme » envisagé se caractériserait par un étatisme fort régissant une société mondiale. Toutes les lois, règles et normes de vie seraient édictées et imposées à l’ensemble de l’humanité par des organes technocratiques mondiaux centralisant tous les pouvoirs. L’ensemble de leurs « compétences » s’étendrait à tous les domaines (alimentation, santé, agriculture, commerce, vie familiale, etc.). Ce socialisme-là ne serait en aucun cas le promoteur d’une justice sociale et encore moins le garant d’une quelconque égalité entre les individus. Ce pseudo socialisme pour la masse, aura en fait les pires aspects du communisme.
Le « capitalisme » quant à lui, serait totalement financiarisé : le crédit bancaire, créé ex-nihilo, constituerait la principale source de financement. C’est déjà le cas actuellement. Des oligopoles se partageraient chacun les grands secteurs stratégiques de l’activité économique mondiale. La compétition économique s’en trouverait ainsi totalement déloyale, pour ne pas dire impossible : d’un côté, les multinationales posséderaient un accès illimité à la finance et de l’autre, les entreprises locales ne pourraient en aucun cas en bénéficier. Ce « capitalisme » serait donc tout sauf libéral, dans la mesure où seuls les plus riches et plus puissants seraient « libres » d’entreprendre. Une situation monopolistique inédite sera atteinte : une poignée d’élus posséderont l’ensemble des moyens de production du monde entier entre leurs mains. Se seront eux les véritables décideurs et non les officiels gouvernants (marionnettes) :
Organisation sociale
Une société à deux vitesses, composée principalement de deux classes sociales. Tout en haut de la pyramide sociale : la classe supérieure dirigeante -l’oligarchie. En bas, presque tous les autres. Réduits à une servitude moderne, leur seule liberté serait celle de consommer. Dans un premier temps, les classes moyennes seraient réduites à la portion congrue. Dans l’idéal mondialiste, elle serait même amenée à totalement disparaître, laissant ainsi la place à une « authentique » société à deux vitesses. Cette organisation sociale n’est pas sans rappeler celle de la féodalité médiévale, avec un petit nombre de suzerains ayant tout pouvoir sur un très grand nombre de vassaux.
Nature du régime
Présenté comme une « hyper démocratie » (dixit Jacques Attali véritable VRP du N.O.M France), le gouvernement mondial serait en réalité une « hyper dictature » : les décisions prises « au sommet » et appliquées par une bureaucratie omniprésente s’imposeraient à « la base », qui n’aurait évidemment pas son mot à dire. D’ailleurs, comment pourrait-il en être autrement lorsque la base est composée de plusieurs milliards d’individus ?
Voyez déjà ce qu’il se passe dans la zone Euro : les décisions sont prises par les bureaucrates de Bruxelles sous la pression des différents Lobbys, sans consultation du peuple et souvent en opposition totale avec leurs intérêts.
S’il venait à voir le jour, ce gouvernement mondial disposerait d’une armée mondiale, qui, n’ayant aucun ennemi « conventionnel » à combattre (d’autres Etats), aurait pour unique fonction de mater les opposants au Nouvel Ordre Mondial. Cette dictature quoique impitoyable envers son opposition (les esprits libres, intellectuels, philosophes et religieux présentés au mieux comme des illuminés au pire comme des terroristes) sera douce pour la masse leur faisant aimer leur propre servitude ! Société de spectacles & loisirs, centré sur la jouissance immédiate des sens au détriment de toute réflexion. L’individualisme sera exacerbée en un mode de vie de plus en plus virtuel, constamment abreuvé d’informations aussi inutiles que mensongères ayant pour conséquence un abrutissement et un abêtissement total des masses.
Dans ces conditions, il deviendra extrêmement difficile pour le quidam moyen de s’élever de ce carcan « idéologique » sans être stigmatisé, le contrôle social étant essentiellement basé sur le conformisme :
Société de surveillance
Cette société pourrait bien être la plus surveillée de l’histoire de l’humanité. Bénéficiant de tous les moyens technologiques les plus modernes, la surveillance s’étendra à toutes les sphères de l’existence (téléphonie, internet, surveillance satellite, bancaire, cartes de transport, multiplication des caméras, etc.). Il sera quasiment impossible de ne pas être répertorié, fiché, et de mener une quelconque action sans que le « système » n’en soit immédiatement informé. Un niveau de contrôle semblable à celui décrit par George Orwell dans son roman 1984. La disparition progressive de la vie privée pourrait rapidement conduire chacun à adopter une attitude « orthodoxe », renforçant par la même la nature dictatoriale et uniformisatrice de ce modèle de société.
Monnaie(s)
Dans l’esprit des mondialistes, les monnaies nationales sont vouées à disparaître. D’abord au profit de monnaies continentales – comme ce fut le cas en Europe avec l’Euro- (puis avec l’« Amero » ou « Dollar nord américain », etc.). A plus long terme, une monnaie mondiale -très probablement dématérialisée – devrait voir le jour et remplacer toutes les autres. Les paiements s’effectueraient électroniquement, via par exemple une puce sous-cutanée ; la fameuse puce RFID :
La valeur de cette monnaie (créée ex nihilo) sera très probablement régulée par une banque centrale mondiale, elle-même contrôlée par l’oligarchie financière à la tête du gouvernement mondial.
Culture et spiritualité
Le projet du Nouvel Ordre Mondial consiste avant tout en une standardisation des modes de vies, des traditions et du rapport à l’existence. Dans ce nouvel « ordre », plus de Français, d’Américains, de Chinois, de Sénégalais ou d’Indiens.
Plus de Chrétiens, de Musulmans ou de Bouddhistes… mais plutôt une nouvelle religion mondiale tentant de faire la synthèse de toutes le dénominations connues au profit d’une caste dirigeante imbus aux idées babéliennes.
L’homme, quelque soit sa culture, sa couleur de peau, sa nationalité, sa langue, et ses traditions, serait partout le même, calqué sur un modèle unique. S’il venait à s’imposer, cet ordre sera celui d’une uniformisation de l’humanité, d’un gommage progressif des différences culturelles et des richesses propres à chaque peuple, chaque nation. La « religion » du Nouvel Ordre Mondial consisterait principalement en un culte de l’humain, en tant qu’être de matière, et non d’esprit. L’appel aux instincts les plus primaires, réduisant l’Homme à l’état d’animal producteur et consommateur, pourrait à terme, devenir la norme morale, quasi-religieuse, du projet mondialiste :
« Notre action doit tendre à unifier le monde du point de vue de l’intelligence et de l’esprit. Quant à l’Eglise catholique, elle devra être peu à peu purgée de ses doctrines intransigeantes et particulières, et ne conservera que les expressions basiques de la religion qui puissent être partagées avec une vaste fraternité religieuse et culturelle qui devra inclure tous les cultes et toutes les civilisations » Julian Huxley, mondialiste, 1er Président de l’UNESCO – Paris le 20 novembre 1946
En résumé…
« Nouvel Ordre Mondial » est le nom de la dictature planétaire qui tente de s’imposer à l’humanité dans son ensemble. Si tel était le cas, cette « hyper dictature » – officiellement une « hyper démocratie » – pourrait bien être l’une des plus terribles et des plus efficaces que l’humanité n’ait jamais connu. Centralisant absolument tous les pouvoirs (politique, militaire, monétaire), le gouvernement mondial aura pour mission d’assurer la suprématie et la pérennité de l’oligarchie financière et industrielle se trouvant à sa tête. N’ayant à faire face à aucun concurrent étatique « classique », ce pouvoir unique aura pour seuls adversaires les hommes et les femmes libres qui refuseront de se soumettre au nouvel ordre dont il sera le garant.
Comment un tel projet pourrait-il se réaliser ?
Bien évidemment, la mise en place d’un tel projet ne saurait se faire d’elle-même, tant il est certain que l’ensemble des peuples s’y opposera naturellement. C’est pourquoi, le Nouvel Ordre Mondial ne pourra être mis en place qu’à la suite de très graves crises, et sera présenté comme la solution la plus évidente, la plus logique et surtout la plus souhaitable aux terribles problèmes qu’aura connu l’humanité. Chaque aspect du Nouvel Ordre Mondial sera présenté comme une réponse à une crise particulière. Qu’il s’agisse d’attentats terroristes de grande ampleur, d’une crise financière sans précédent, de l’apparition d’une terrible épidémie, ou pire, d’un conflit armé international, la solution de secours sera invariablement présentée comme suit : « La crise est mondiale, elle requiert une réponse mondiale ». Les structures de la gouvernance mondiale s’imposeront ainsi en réponse à de graves crises, au besoin provoqué afin de maintenir artificiellement un état de tension perpétuel légitimant l’adoption de mesures liberticides.
En bref, la sécurité sera promise à l’ensemble de la planète… en l’échange d’un peu de liberté.
Si nombre de structures de gouvernance mondiale existent déjà (Banque mondiale, Organisation Mondiale de la Santé, Organisation Mondiale du Commerce, etc.), elles sont perçues comme plutôt bénéfiques et agissant en faveur des intérêts de l’humanité. Or dans bien des cas, il n’en est rien, puisqu’elles agissent en faveur d’intérêts économiques et financiers spécifiques. Quoi qu’il en soit, des organismes agissant à échelle mondiale existent bel et bien et leurs directives s’imposent le plus souvent aux Etats souverains. Si le pouvoir dont disposent ces organisations mondiales venait à être centralisé, cela constituerait de facto la création d’une gouvernance mondiale. A bien y regarder, ce Nouvel Ordre Mondial n’est pas si utopique ni si lointain que ça.
Et de la théorie à la pratique il n’y a qu’un pas qui pourrait bien être franchi très bientôt.
Enfin, le projet sera présenté comme la conséquence inéluctable d’un processus historique de raccourcissement des distances et de disparition des frontières. Processus aujourd’hui connu sous l’appellation galvaudée de « mondialisation ».
Théorie pessimiste et irrationnelle ? Description lucide du monde de demain ?
Le tableau que nous dressons est incroyablement sombre et pourrait même sembler irrationnel, voire paranoïaque à certains lecteurs. Pourtant, la quasi totalité des dirigeants politiques, tout bords confondus, l’appelle de leurs vœux ! Tout ce qui est avancé ici est aisément vérifiable et les sources variées ne manquent pas, pour celui ou celle qui s’en donne la peine…
Cette structure pyramidale existe depuis bien longtemps mais de manière occulte. Ce qui est nouveau, c’est qu’ aujourd’hui elle tente de s’imposer de manière officielle, en plein jour. Si possible en emportant l’adhésion du peuple, sinon graduellement, comme elle l’a toujours fait, en utilisant la méthode : problème-réaction-solution.
Cette grande dictature mondiale pourrait très bien devenir notre réalité de demain si nous n’y prêtons pas attention et si nous, citoyens, ne nous organisons pas pour résister à ce projet en voie de réalisation. Ayons conscience que ce projet est ennemi et destructeur des nations, familles, individus, identités, libertés.
Le Nouvel Ordre Mondial est un projet qui, tout en étant de plus en plus prégnant dans nos vies (augmentation des lois liberticides, mortifères et iniques…) n’en demeure pas moins discret, sans pour autant être totalement secret. Et même pour les individus animés d’une saine curiosité, il demeure très difficile de connaître exactement l’étendue du programme ainsi que les modalités de sa réalisation. Toutefois, à force de recherches, de recoupages, d’un travail de rationalisation, et en prenant connaissance des acteurs et des institutions au sein desquelles ils œuvrent, un projet apparaît clairement. Avec le temps, nous y verrons plus clair.
Mais est-ce une bonne nouvelle ? Chaque jour, semaine, mois qui passe, nous rapproche de l’avènement de ce gouvernement mondial, liberticide et uniformisateur. A défaut de savoir exactement ce qu’est le Nouvel Ordre Mondial et sous quelle forme il se manifestera, il est fondamental de prendre conscience du danger qu’il représente.
http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/comprendre-le-nouvel-ordre-mondial-134782
Commentaire
Tout ce que vous décrivez est déjà en cours et à un stade très avancé. Le lavage des cerveaux par les médias est opérationnel depuis plus de 30 ans. Les intellectuels sont achetés ou écartés. Le pistage et la surveillance sont répandus dans presque tous les supports (Carte bancaire, téléphone, GPS, automobile etc.…) et des lois liberticides se mettent chaque jour en place sous prétextes et couvert de sécurité nationale face à des attentats qu’ils ont eux-mêmes mis sur pieds. Les dirigeants mondiaux (tenant des richesses) ont déjà déclaré une guerre sans merci aux populations. Cependant vouloir détruire les religions serait une erreur majeure qu’ils ne feront certainement pas. Ils préfèreront les monter les unes contre les autres afin qu’elles se détruisent connement entre elles. D’ailleurs, cela aussi a commencé. Quand à l’homme il n’est plus considéré comme un être humain mais comme un consommateur et une matière première. La mise en place de cette dictature sera une réussite car l’opposition sera nulle et comme les hommes sont devenus tellement individualistes et si enclins à servir que de peur de ne pas servir, ils se vendront, comme aujourd’hui, les uns aux autres. Une dictature n’existe que parce que l’on y consent. Concernant la solution pour empêcher cette ignominie, je ne pense pas qu’elle puisse être d’origine humaine. Cependant je crois qu’une résistance s’organisera et qu’une prolifération des terroristes est inéluctable. D’ici là, notre éco système ayant atteint son point de déséquilibre limite va se dérégler de façon exponentielle et un déclenchement de catastrophes planétaires va tomber sur l’humanité dans sa globalité. Conclusion, les ordures qui pensent que l’argent qu’ils ont amassé en appauvrissant et faisant crever leurs frères humains va les protéger vont très vite déchanter.
Complément :
(...)
• La fin de la souveraineté nationale
• La planification et la gestion étatisées des territoires pour toutes les ressources, les écosystèmes, les déserts, forêts, montagnes, océans et l'eau douce; l'agriculture; le développement rural; la biotechnologie; et l'assurance d'une "équité" (esclavage équitable)
• L'État "définit le rôle" des entreprises et des ressources financières
• Abolition de la propriété privée (ce n'est pas "durable")
• "Restructuration" de l'unité familiale
• Des enfants élevés par l'État
• On dit aux gens quel sera leur travail
• Restrictions majeures des déplacements
• Création de "zones de peuplement humain"
• Repeuplement de masse car les gens sont forcés de laisser vacantes les terres où ils vivaient auparavant
• Éducation abrutissante (réalisée)
• Dépopulation mondiale massive à la poursuite des éléments ci-dessus
Cet horrible programme est coordonné par les Nations-Unies, fer de lance d'une dictature mondiale, via un réseau non-gouvernemental appelé autrefois le Conseil International d'Initiatives d'Environnement Locales [en anglais ICLEI, International Council of Local Environmental Initiatives] et aujourd'hui connu comme Gouvernements Locaux pour la Durabilité, bien que le nom abrégé ICLEI soit toujours en usage. Les Nations-Unies ouvrent maintenant des "ambassades" autour du monde nommées "Maisons des Nations-Unies" sous couvert d'accroître la sensibilisation des activités des Nations-Unies, mais non les activités que les gens ont vraiment besoin de connaître. Ils en ont ouvert une à Hunter Square, à Édimbourg, en Écosse, par exemple.
Les Gouvernements Locaux pour la Durabilité (ICLEI) et d'autres organisations introduisent le programme dans chaque village, ville, cité et région et il commence déjà à s'étendre autour du monde. L'infrastructure d'organisation de l'Agenda 21 est déjà fantastique et implique des agences du gouvernement, des organisations non-gouvernementales (ONG), des think-tanks, des sociétés, des fondations, des opérations "de formation" (contrôle de l'esprit) et des "initiatives" qui ont bâti l'infrastructure de ce qu'ils appellent la société "post-industrielle, post-démocratique" alors que la foule continue ses activités quotidiennes, inconsciente de la prison qui se construit autour d'elle d'heure en heure.
Harvey Ruvin, vice-président de l'ICLEI, était interrogé sur la manière dont l'Agenda 21 affecterait les libertés en rapport avec la Constitution américaine et la Déclaration des Droits, la propriété privée et la liberté d'expression. Il a répondu : "Le collectif doit prendre le pas sur les droits individuels". L'arrogance de ces gens est époustouflante. Le réseau extraordinaire qui soutient l'ICLEI et l'Agenda 21 incluent diverses institutions. Celles-ci et de nombreuses autres travaillent au même but – l'Agenda 21 et la mise en esclavage total des humains autour du monde, bien que la plupart de ceux qui sont impliqués n'auront aucunement l'idée qu'ils construisent une prison mondiale pour eux et leurs familles.
Une autre de ces organisations de premier plan est le Conseil des Entreprises Mondiales pour le Développement Durable qui inclut la monstrueuse société Monsanto. La destruction de terres agricoles, la contamination des pays avec des toxines et le remplacement d'aliments corrects par des organismes génétiquement modifiés mortels et destructeurs de sol, telle est la contribution de Monsanto pour la "durabilité". L'Agenda 21 est en fonction dans plus de 600 villes, cités et comtés des US et s'étend de jour en jour. (...)
http://bistrobarblog.over-blog.com/article-l-agenda-21-vous-connaissez-123701300.html
Ma petite introduction :
Mon Appel à dire non à l'intolérable :