On s’en doutait [1]. Et aussi bien la littérature (1984, de George Orwell) que le cinéma de science-fiction (Minority Report, de Steven Spielberg) nous avaient mis en garde : avec les avancées des techniques de communication on finirait tous par être surveillés. Certes, nous imaginions que cette violation de notre vie privée serait effectuée par un Etat néo-totalitaire. C’était une erreur. Car les insolites révélations faites par Edward Snowden sur la surveillance orwellienne de nos communications accusent directement les Etats-Unis, un pays naguère considéré comme la « patrie de la liberté ». Il est clair que, depuis la loi Patriot Act [2], c’est terminé. Le président Barack Obama lui-même vient de l’admettre : « On ne peut avoir, a-t-il déclaré, cent pour cent de sécurité et cent pour cent de privacité. » Bienvenus donc à l’ère de Big Brother...
Quelles révélations a donc faites Snowden ? Cet ancien assistant technique de la Central Intelligence Agency (CIA), âgé de 29 ans, qui travaillait dernièrement pour une entreprise privée – Booz Allen Hamilton [3] - sous-traitante de l’Agence américaine de sécurité nationale (NSA), a révélé aux journaux The Guardian et The Washington Post l’existence de programmes secrets, autorisés par le gouvernement des Etats-Unis, permettant la surveillance des communications de millions de citoyens à travers le monde entier.
Un premier programme a été lancé en 2006. Sa finalité : espionner tous les appels téléphoniques effectués, via la compagnie Verizon, à l’intérieur des Etats-Unis et à destination de l’étranger. Un autre programme, au nom de code PRISM, est entré en vigueur en 2007. Son but : surveiller les communications en provenance de l’étranger et passant par des serveurs américains. Dans la pratique, sa portée est encore plus grande. Il confère à la NSA un accès total aux serveurs des neuf plus grandes compagnies d’Internet dont Facebook [4], Microsoft, Yahoo, Google, Paltalk, AOL, Skype, YouTube et Apple (Twitter n’est pas concerné, semble-t-il).
Si quelqu’un a utilisé les services d’une de ces sociétés, ses données ont certainement été contrôlées et stockées par PRISM. Conversations audio et vidéo, photos, e-mails, documents, historique des connexions, chats audio et vidéo via Skype, fichiers Google Drive, photothèques... tout cela est espionné, filtré, classé, archivé ou transmis à d’autres agences d’intelligence, CIA ou FBI, pour vérifications approfondies. Selon le Washington Post, les mille yeux de la NSA peuvent « littéralement regarder ce que vous tapez ». PRISM est devenu l’outil le plus efficace à l’heure d’élaborer le rapport quotidien sur les risques en matière de sécurité que la NSA remet quotidiennement au président des Etats-Unis.
Le 8 juin dernier, The Guardian a révélé l’existence d’un autre programme permettant à la NSA de classer les données volées en fonction des pays dont les communications sont espionnées. L’Iran arrive en tête, suivi du Pakistan. Par le biais de cette surveillance massive, la NSA ‘capte’ en moyenne, chaque mois, quelque trois milliards de données volées dans les ordinateurs du monde... « La NSA, a déclaré Edward Snowden, a bâti une formidable infrastructure qui lui permet d’intercepter pratiquement tout type de communication. De telle sorte que cette Agence parvient à stocker la grande majorité des communications humaines ; et elle peut en faire usage à sa convenance à tout moment. »
La NSA, dont le quartier général se situe à Ford Meade (Maryland), est la plus importante et la plus méconnue des agences d’intelligence américaines. Tellement secrète que la plupart des Américains en ignorent l’existence. Elle dispose du plus important budget consacré aux services d’intelligence et produit plus de cinquante tonnes de ‘documents classifiés’ par jour... C’est elle - et pas la CIA -, qui possède les principaux systèmes d’espionnage et de contrôle : un réseau mondial de satellites de surveillance, des milliers de super-ordinateurs, un nombre incalculable d’agents chiffreurs et décodeurs, et des forêts impressionnantes d’antennes satellitaires géantes situées dans les collines de l’Etat de Virginie Occidentale. L’une des spécialités de la NSA est d’espionner les espions, c’est-à-dire les services d’intelligence de toutes les autres puissances, amies et ennemies. Au cours de la guerre des Malouines (1982) par exemple, la NSA est parvenue à déchiffrer le code secret des services d’intelligence des Argentins, et a transmis cette information cruciale aux Britanniques. Offrant ainsi à ceux-ci un avantage décisif dans leur affrontement contre l’Argentine.
Le système d’interception de la NSA peut capter discrètement tout usage d’Internet, tout message e-mail, toute consultation de Google ou toute conversation téléphonique. A cet égard, la NSA s’intègre étroitement dans le mystérieux système Echelon [5]. Créé en secret, après la Seconde guerre mondiale, par cinq puissances (les « cinq yeux ») anglo-saxonnes : Etats-Unis, Royaume Uni, Canada, Australie et Nouvelle Zélande, Echelon est un système orwellien de surveillance globale. Il étend sa toile sur toute la planète en se branchant sur les satellites et les câbles qui acheminent la plupart des communications du monde. Echelon peut enregistrer jusqu’à deux millions de conversations à la minute... Sa mission principale consiste à espionner les gouvernements (amis ou ennemis), les partis politiques, les syndicats, les mouvements sociaux et les entreprises. Six grandes bases à travers le monde interceptent les communications que les ordinateurs surpuissants de la NSA vont ensuite ‘tamiser’ en ciblant des mots précis dans plusieurs langues [6].
Dans le cadre d’Echelon, les services d’intelligence américains et britanniques ont pu établir une longue collaboration secrète. Grâce aux révélations faites par Edward Snowden, nous savons désormais que les services d’espionnage britanniques ‘écoutent’ clandestinement toutes les communications passant par la Grande Bretagne. Ils ont même espionné les communications des délégations étrangères venues à Londres participer au Sommet du G-20 en avril 2008. Une fois encore sans faire de distinction entre ennemis et amis [7].
Le programme Tempora permet aux services d’intelligence britanniques d’emmagasiner des quantités colossales d’informations volées. Par exemple en 2012, ils ont surveillé quelque 600 millions de ‘contacts téléphoniques’ chaque jour ! En parfaite illégalité, ils se ‘branchent’ sur plus de 200 câbles de fibre optique superpuissants... Chaque câble transporte 10 gigabytes [8] par seconde. En théorie, leurs ordinateurs pourraient ‘traiter’ quelque 21 petabytes [9] par jour ; ce qui revient à ‘filtrer’ les 40 millions de mots de l’Encyclopedia Britannica cent quatre-vingt-douze fois par jour...
Les services d’intelligence américains et britanniques constatent qu’il y a plus de deux milliards d’usagers d’Internet dans le monde dont plus d’un milliard sur Facebook. En transgressant toutes sortes de lois et de principes éthiques, ils se sont donc fixés pour objectif de tout contrôler sur la Toile. Et ils sont en train d’y parvenir : « Nous commençons à dominer Internet, a avoué un espion anglais dans le Guardian, et notre capacité actuelle est très impressionnante. » Pour améliorer encore leur connaissance d’Internet, la Government Communications Headquarters (GCHQ, Agence d’intelligence britannique) a lancé récemment deux nouveaux programmes : Mastering The Internet (MTI) sur ‘comment maîtriser Internet’, et Interception Modernisation Programme pour une exploitation orwellienne des télécommunications globales. Washington et Londres ont mis ainsi au point un plan « Big Brother » capable de contrôler tout ce que nous échangeons dans nos communications (voix, documents, photos, vidéos, achats, messages, etc.).
Quand le président Barack Obama prétend, au nom de la ‘lutte contre le terrorisme’, que ces pratiques sont « légales », il défend l’indéfendable. Et se met en contradiction avec lui-même. Car il faut rappeler que, pour avoir réalisé des missions d’information sur de dangereux groupes terroristes basés en Floride – c’est-à-dire des missions que le président américain considère désormais comme « légales » - cinq Cubains ont été arrêtés aux Etats-Unis en 1998 et condamnés par la justice américaine à de longues peines de prison [10]. Un scandale judiciaire qu’il serait temps de réparer en libérant ces cinq héros [11].
Le président des Etats-Unis commet un très grave abus de pouvoir en restreignant la liberté des citoyens du monde. « Je ne veux pas vivre dans une société qui permet ce type d’abus », s’est écrié Edward Snowen quand il a fait ses spectaculaires révélations. Ce n‘est d’ailleurs pas un hasard s’il s’est décidé à les diffuser juste le jour où commençait, aux Etats-Unis, le procès contre le soldat Bradley Manning accusé de transmettre des dossiers secrets à WikiLeaks, l’organisation internationale qui publie des informations secrètes issues de sources dont elle préserve l’anonymat [12]. Et au moment aussi du premier anniversaire de l’enfermement du cybermilitant Julian Assange dans l’enceinte de ambassade d’Equateur à Londres, où il a dû trouver refuge pour éviter d’être extradé aux Etats-Unis, via la Suède...
Snowden, Manning, Assange, trois héros de notre temps, aujourd’hui traqués et poursuivis par le « Big Brother » américain [13]. A qui se demanderait pourquoi ces trois paladins de la liberté prennent-ils autant de risques ? Snowden répond : « Quand tu t’aperçois que le monde que tu as aidé à créer sera pire pour la nouvelle génération et pour les suivantes, et que les capacités de cette architecture d’oppression ne cessent de se renforcer, tu comprends qu’il faut la dénoncer et que, pour cela, tu dois accepter tous les risques. Quelles qu’en soient les conséquences. »
http://www.medelu.org/Tous-fiches
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Nouvel Ordre Mondial: Agenda Bilderberg 2013 et monté en puissance du Google-berg et de son agenda totalitaire technocratique…
L’oligarchie accélère la mise en place de la grille de surveillance, Google est maintenant ouvertement une force de contrôle du Nouvel Ordre Mondial, son PDG Eric Schmidt un totalitaire avéré
Le temps du boycott à grande échelle d’un grand nombre d’entreprises a sonné. N’oubliez jamais une chose: Sans nous… Ces ordures ne sont RIEN ! Ils n’existent que par notre consentement, souvent forcé ou obtenu par tromperie sur la marchandise, le cas de Google est un exemple typique de la vaste entreprise d’abus de confiance et d’oppression du capitalisme monopoliste, seul capable de fonctionner la main dans la mais avec des gouvernements hautement centralisés et ainsi parvenir à la réalisation d’un fascisme supranational.
Bilderberg 2.0 + Google-berg 1.0 = Fascisme 2.0
– Résistance 71 –
Google-berg: l’élite globaliste se transforme pour une révolution technocratique
Les réseaux de pouvoir autoritaires et anti-démocratiques sont revampés en forums tendance de style philanthropique
Paul Joseph Watson
13 Mai 2013
url de l’article:
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
Le groupe secret du Bilderberg est en train de se transformer de manière significative, transformation qui le verra ainsi que d’autres réseaux à haut profil émerger sous la bannière de Google alors que l’élite accélère son plan de consolidation de l’agenda technocratique.
Le week-end dernier, les journalistes d’Infowars Paul Joseph Watson et Jon Scobie ont visité l’hôtel luxueux Grove à Watford, Angleterre, qui sera le lieu de rendez-vous de la réunion Bilderberg annuelle pour 2013 du 6 au 9 Juin; réunion qui voit annuellement converger plus de 100 des personnes les plus influentes au monde dans les domaines de la politique, du monde universitaire, de la technologie, des affaires et de la banque.
L’enquête fut déclenchée par nos sources, qui nous ont conseillées de visiter le Grove avant la réunion Bilderberg 2013. Ceci fait partie de ce qui va devenir une histoire à suspense alors que les pièces du puzzle se mettent en place grâce à quelques années d’efforts de recherche sur le groupe Bilderberg.
Ce qui a été découvert est époustoufflant et représente sans doute un des plus grands développements des 59 ans d’histoire du groupe Bilderberg.
Pour dire les choses le plus simplement possible, Bilderberg va merger avec Google sous la direction du PDG de Google Eric Schmidt, un membre très régulier des conférences Bilderberg. La conférence annuelle Google Zeitgeist, qui a eue lieu en ce même hotel du Grove depuis 2007, se déroule juste avant la conférence Bilderberg, quelques jours auparavant pour être précis.
Idée soutenue par nos recherches précédentes, nous avons été capables de confirmer par des conversations avec des exécutifs de la gestion de l’hôtel que le Grove est maintenant une base centrale pour l’agenda de contrôle de Google sur le paysage technologique et politique mondial.
Ce dont tout le monde parle au Grove n’est pas la réunion Bilderberg, qui serait apparemment un détail, mais la véritable excitation se focalise autour du Google Zeitgeist, qui a été décrit par le journal du London Independant comme “une version plus sympa du groupe Bilderberg, le réseau de l’ombre des financiers qui tient une assemblée annuelle, revampe son image comme les nouveaux maîtres de la technologie.”
Bilderberg est en fait redistribué dans son rôle de “Google-berg”, en partie à cause des activistes qui ont brisés le sceau du secret de la réunion et aussi en partie dans le souci de revamper des réunions secrètes autoritaires et anti-démocratiques d’élites, en forums tendance libérale au style philanthropique débonnaire comme par exemple ces conférences Google Zeitgeist et TED.
En réalité, derrière le rideau, Google utilise ce types de forums comme justificatifs sur lequel fonder le consensus qui régit la planète. On nous a directement dit que les organisateurs derrière le soi-disant “printemps arabe”, qui commença en Tunisie et en Egypte, qui, comme nous l’avions documenté, ne sont en fait qu’une série d’évènements totalement provoqués par l’occident sous la forme de “révolutions colorées” masquées des atours de soulèvements populaires; leurs organisateurs donc ont été recrutés par Google et ont tous participé à une conférence Zeitgeits au Grove de Watford.
Il est aussi très bien documenté que l’homme responsable d’avoir commencé la “révolution” en Egypte qui a menée à l’installation de la confrérie des Frères Musulmans au pouvoir (dictature), que l’occident pourra utiliser afin de justifier toujours plus d’interventionisme, était l’employé de Google Wael Ghonim.
L’influence grandissante de Google sur les gouvernements britannique et américain est aussi très bien documentée. Eric Schmidt fut un conseiller des campagnes présidentielles d’Obama et un mécène de celles-ci. Il lui fut proposé également le ministère des finances et du trésor dans le gouvernement Obama. En Grande-Bretagne, les représentants de Google ont rencontré pas moins de 23 fois les officiels du parti conservateur depuis l’élection générale de 2010. David Cameron a fait un discours inaugural à la conférence Zeitgeist de 2006 avant de devenir premier ministre 4 ans plus tard. Le chancelier britannique George Osborne visita Google Zeitgeist quelques semaines avant qu’il ne participe à la réunion Bilderberg 2011 à St Moritz en Suisse.
La passerelle entre Google Zeitgeist et Bilderberg s’est approfondie ces dernières années, le quotidien du London Telegraph comparant le pouvoir de Google et de sa conférence avec celui de Davos et son forum économique, “attirant des personnalités de signifiance globale pour y parler et développer les réseaux.”
L’ancien président américain Bill Clinton, élevé au sein du groupe Bilderberg, a aussi donné des discours à Google Zeitgeist, tout comme le membre du Bilderberg, le prince Charles d’Angleterre. Un autre article du Telegraph décrivit le Zeitgeist comme “une des réunion de leaders des affaires les plus importantes, réunion de personnes qui sont généralement considérées comme étant des personnes capables de faire prendre forme à un futur global.”
Google se positionne de manière très claire comme une force devenant plus forte que les gouvernements dans le fait de contrôler et de gérer le comportement des gens à travers le monde de toutes les manières possibles, au moyen de voitures se conduisant toutes seules (et constamment contrôlées et tracées par une base de données géante centralisée par Google), aux lunettes Google, qui ne sont en fait que la capacité d’avoir un microprocesseur Google sur le front, en passant par l’implication profonde de Google dans la manipulation des mouvements de masse par les réseaux sociaux comme il le fit en Tunisie et en Egypte.
L’hôtel Grove est l’endroit parfait pour ce type de machinations compte tenu de son rôle durant la seconde guerre mondiale comme “un QG secret de Londres pour le projet secret X de voie ferrées entre Londres, Midland, et l’Écosse.”
La direction que tout cela prend peut clairement être reliée aux remarques faites par Eric Schmidt lui-même, qui a répétitivement clarifié qu’il pense que la vie privée est une relique du passé et qu’il planifie de faire de Google le Grand Frère ultime qui fera passer le “1984” de George Orwell pour un conte de fée enfantin.
“Nous n’avons pas besoin en fait que vous tapiez tout sur votre ordinateur. Nous savons où vous êtes. Nous savons où vous avez été. Nous pouvons savoir grosso modo ce que vous pensez. Je pense en fait que la plupart des gens ne veulent pas que Google réponde à leurs questions [...] Ils veulent que Google leur dise ce qu’ils doivent faire ensuite. Si vous avez quelque chose ou fait quelque chose que vous ne voulez pas que d’autres personnes ne le sachent, peut-être que vous ne devriez pas le faire en première instance. Nous avons besoin d’une identification de service positive pour les gens. Les gouvernements vont le demander (contrôle internet dans le style chinois). Nous savons tout ce que vous faites et le gouvernement peut vous tracer, vous surveiller. Nous saurons où vous vous trouvez à 50cm près, et nous réduirons cette marge à quelques centimètres dans le futur… Votre voiture se conduira toute seule, c’est emmerdant que les voitures furent inventées avant les ordinateurs, mais vous n’êtes jamais seuls, vous ne vous ennuyez jamais, vous n’ètes jamais à cours d’idées.”
Dans bon nombre de discours, incluant ceux qu’il a donné à Google Zeitgeist, Schmidt a livré sa vision collectiviste d’un monde interconnecté en permanence dans lequel l’individualité et la vie privée seront montrées du doigt, mises au ban et ceux qui refusent de signer et d’adorer la nouvelle religion du transhumanisme seront mis à l’écart comme des sauvages et des sous-hommes.
Ceci est maintenant l’agenda premier formulé par Google Zeitgeist et ses chantres, de concert avec le groupe Bilderberg ; ils ont beaucoup de membres en commun.
Bien occupé au Grove
Notre source nous a dit qu’il allait y avoir “quatre ou cinq grosses conférences” à l’hôtel en Mai, Juin et Juillet, mais nous a confié que le Google Zeitgeist était de loin considéré comme le plus important de ces évènements, avec les 227 chambres de l’hôtel n’étant pas suffisantes pour héberger tout les invités et le staff administratif requis à participer, ajoutant qu’ils ont dû utiliser des hôtels de Londres.
De grosses structures temporaires, gardées par de la sécurité, sont aussi construites sur la propriété de l’hôtel lorsque nous l’avons visité. Elles devront être pour des évènements Google sous chapiteau, qui sont plus publics que leur réunion privée “Zeitgeist”. Ces facilités temporaires seront-elles également utilisées pour la réunion Bilderberg ? nous le verrons.
Notre source interne a insisté sur le fait que le personnel de l’Hôtel Grove a été instruit de ne pas divulguer d’informations sur la conférence Zeitgeist et que Google seul est habilité à divulguer des informations qu’il désire destinées au public. Quoi qu’il en soit, la réunion Zeitgeist était le sujet de conversation privilégié au bar de l’hôtel et à la fois les employés et les clients étaient très excités à son sujet.
La source nous a dit que la sécurité impliquée pour l’évènement sera du même niveau que pour une visite officielle d’état, ce qui veut bien sûr dire que l’argent du contribuable britannique sera utilisé pour financer cette opération de haute sécurité, tout comme il est admis que cela se passe pour donner une sécurité adéquate à la réunion Bilderberg. La source nous a dit que Google et Bilderberg ont choisi l’hôtel du Grove, car la sécurité est bien plus facile à effectuer que dans les rues de Londres où il y a un traffic intense.
L’agenda Bilderberg 2013
En terme de l’agenda de la réunion 2013, des indications de nos sources de l’intérieur nous ont donné de bonnes idées sur les différents sujets qui y seront abordés avant que le groupe ne donne ses instructions aux membres de terrain pour faire appliquer les décisions du consensus, chacun dans son domaine d’influence.
Gardez toujours présent à l’esprit le schéma d’action édicter par Henry Kissinger et qui fut éventé récemment par Wikileaks:
“Avant la loi sur la liberté de l’information, j’avais l’habitude de dire dans les réunions: nous faisons l’illégal de suite, l’anticonstitutionnel prend un peu plus de temps… (rires). Mais depuis la loi sur la liberté d’information, j’ai peur de dire des trucs pareils.” A dit Kissinger.
Au moins quelques uns des points ci-dessous seront discutés et un consensus sera trouvé lors de la réunion Bilberberg 2013:
- Cibler les sites de production nucléaire iraniens au moyen de raids aériens dans les 3 ans à venir si l’Iran refuse d’abandonner son programme nucléaire.
- Prolonger la guerre en Syrie en armant les rebelles pour retourner les récentes victoires des forces d’Al-Assad.
- La menace d’une pandémie mondiale, causée en partie par une résistance aux antibiotiques, intéressant sujet connaissant l’implication de quelques labos pharmaceutiques représentés au Bilderberg, dans la diffusion “accidentelle” de virus.
- La création de la révolution de l’impression 3D et des manières de la contrôler afin de prévenir de la démocratisation de la production.
- La soi-disante “résilience cybernétique” ce qui veut dire toujours plus de contrôle étatique sur l’internet. Pas mal de discussion au sujet de “feux de brousse numériques”.
- Ils ont une peur bleue de perdre le contrôle de la dissémination de l’information. Discussions autour de l’idée avancée par Bill Clinton sur un “ministère de la vérité” pour l’internet, contrôlant ainsi ce qui peut être publié sur la toile.
- Les soi-disantes “cités avancées” qui espionnent sur tous les aspects de la vie et du comportement public. L’installation de systèmes de rue intelligents, qui enregistrent les conversations dans la rue, déroulant ainsi un modèle de paysage pour un monde totalement technocratique.
- La menace causée par l’instabilité sociale dûe au déclin des niveaux de vie et de santé.
- Un dernier mouvement désespéré pour éviter que la Grande-Bretagne ne quitte l’UE, écrasant ainsi le rêve d’une fédération européenne totalitaire et centralisée.
- Plus de plans de sauvetage bancaires pour renforcer l’Euro. Stagnation économique en 2013.
- Augmenter le pouvoir des banques centrales sous le déguisement de “réformes bancaires”.
- Organiser un système plus puissant de collecte d’impôts.
- Gérer la bulle du crédit grandissante et qui menace la fuite en avant inflationnaire en Europe.
Nous vous en dirons plus sur l’agenda Bilderberg 2013 dès que nous aurons plus d’informations. Restez à l’écoute.
http://resistance71.wordpress.com/2013/05/14/nouvel-ordre-mondial-agenda-bilderberg-2013-et-monte-en-puissance-du-google-berg-et-de-son-agenda-totalitaire-technocratique/?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter