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avec à la clé naissance de malformés,
bébé victime uranium appauvri

http://www.huffingtonpost.fr/2012/08/14/manuel-valls-hue-a-amiens-violences-jeunes-policiers_n_1775331.html

http://senor-information.over-blog.com/
La Télévision vous ment.
Elle appartient aux marchands d'armes
et aux milliardaires.
Vous devez savoir ce qui se passe réellement :
Pour vous, pour votre famille.
Savoir, c'est pouvoir !
Pouvoir choisir, pouvoir décider librement, pouvoir dire non, aussi.
Ici, des vidéos, des textes, vous aident à comprendre
le monde tel qu'il est, pas tel qu'on vous le présente.
Je suis une professionnelle du journalisme,
non-alignée sur les mensonges.
Faites-moi confiance : Je suis là, bénévolement,
pour vous aider à décrypter le monde dans lequel nous vivons.
Votre eva
NB . Ce blog est au TOP
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Eva R-sistons, pseudo pour Chantal Dupille
Qui suis-je ? Et mon site officiel
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vous trouverez mes vidéos, je vous conseille :
Revitalisons nos villages
Qu'est-ce que le Nouvel Ordre Mondial ?
Introduction à la géo-politique
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http://www.huffingtonpost.fr/2012/08/14/manuel-valls-hue-a-amiens-violences-jeunes-policiers_n_1775331.html
La Députée Valérie Boyer
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Une formidable initiative,
à saluer et à relayer !
Ces Ukrainiennes (payées 1000$/mois = 3X le salaire moyen en Ukraine), sont fraîchement débarquées sur le territoire (par qui?) http://enfantsjustice.wordpress.com/2012/11/18/caroline-sest-fait-fourest-bing-bang-boum-et-hop-dans-la-benne-avec-ses-femen/
Il suffit de suivre un minimum ce que nous disent les grands médias pour « comprendre » que, même s’il n’est plus soviétique et s’il ne se réclame plus de la dictature du prolétariat, l’ours russe reste toujours presque aussi méchant et dangereux qu’aux temps de l’Urss. Est-ce le reflet de la réalité ou une image qu’on tente d’ancrer dans nos esprits ? Dans l’article que nous reproduisons aujourd’hui, Karl Müller se interroge sur le pourquoi de cette campagne.
Certains prétendent que la situation internationale s’est détendue au cours des mois passés. On a évité une guerre entre les Etats-Unis et leurs alliés et la Syrie. Il y a eu également un accord passé avec l’Iran. D’ailleurs, les Etats-Unis, qui ont mené au cours des 20 dernières années avec « l’Occident » une série de guerres allant à l’encontre du droit international, seraient entre-temps si affaiblis qu’ils ne seraient plus en mesure de mener d’autres guerres importantes. En outre, les alliés des Etats-Unis, en premier lieu les autres Etats membres de l’OTAN, qui pour la plupart sont également membres de l’Union européenne, ne seraient pas capables de s’engager dans des guerres sans les Etats-Unis.
On perd facilement de vue que Washington a déplacé ses visées agressives vers les contrées du Pacifique et que les Etats membres de l’Union européenne (sous la direction de l’Allemagne ?) – sous le couvert de l’affaire de la NSA – devront jouer le rôle de suppléants des Etats-Unis au Proche-Orient et en Afrique.
Les nombreux rapports concernant la situation « tendue » en Asie, actuellement entre la Chine et le Japon, jouent des rôles différents. D’une part, ils peuvent servir de propagande contre la Chine et d’autre part ils vont constituer une sorte de sonnette d’alarme pour « prouver » aux Européens l’importance de la présence états-unienne dans le Pacifique mais aussi, c’est leur objectif ultime, la préparation d’une guerre contre la Chine.
On ne parle pas, du moins publiquement, de la politique de l’Union européenne, notamment de l’Allemagne, vis-à-vis de l’Europe de l’Est et de la Russie. Et ce alors que les Etats de l’OTAN et l’Union européenne se sont fixés comme objectif – depuis 1990-1991, c’est-à-dire depuis la disparition du Pacte de Varsovie et de l’Union soviétique et malgré leurs promesses au gouvernement soviétique de l’époque – de « s’approprier » l’Est à partir de l’Ouest en incorporant toujours plus d’Etats de l’Europe de l’Est à l’alliance atlantique ainsi qu’à l’Union européenne pour affaiblir la Russie et l’asservir petit à petit.
On trouve la preuve de toutes ces manœuvres dans le livre Le grand échiquier. L’Amérique et le reste du monde, paru en 1997 et dont l’auteur est Zbigniev Brzezinski, conseiller personnel de divers présidents états-uniens.
Dans les années 1990, il semblait que tout se passait comme prévu avec le président russe Boris Eltsine. La Russie s’enfonçait progressivement dans un chaos, qui s’étendait sur tous les aspects de la vie du pays, et se trouvait au bord de la banqueroute, aussi bien sur le plan politique et économique que sur le plan social.
Dans son livre La stratégie de choc. L’émergence du capitalisme de catastrophe, paru en 2007, Naomi Klein a démontré avec force détails comment on a cherché à soumettre l’économie russe pour mettre le pays au pas, notamment pour s’emparer de ses matières premières, au moyen de « conseils » états-uniens et de la fausse théorie des bienfaits d’un capitalisme débridé, contrôlé par les intérêts financiers de Etats-Unis.
La guerre de l’OTAN contre la Yougoslavie en 1999 marqua un tournant. Il devint alors impossible de ne plus percevoir le fait que la conception états-unienne « d’un nouvel ordre mondial » avait tous les traits de l’impérialisme dont le but était de soumettre le monde à « l’unique puissance mondiale ».
En 2000, et avec l’arrivée d’un nouveau président, le nouveau gouvernement russe s’efforça de changer de cap en desserrant l’emprise états-unienne sur l’économie et les richesses de la Russie, mais aussi sur la société et la politique du pays – un projet très délicat et difficile du fait des nombreuses difficultés qui se présentaient.
Comparé à la situation de l’an 2000, les progrès réalisés par la Russie jusqu’en 2010 sont remarquables :
le produit social a doublé, le commerce extérieur a quadruplé, les dettes envers l’étranger sont réduites à un sixième de leur valeur initiale, les salaires ont augmenté de 2,5 fois en décomptant l’inflation, les rentes ont augmenté de 3 fois, le taux de pauvreté a diminué de plus de moitié, le chômage est passé de 10% à 7%, le nombre de naissances a augmenté de 40%, les décès ont diminué de 10%, les décès de nourrissons ont baissé de 30%, la durée de vie a augmenté de 5 ans, les actes criminels ont diminué de 10%, les assassinats ont baissé de 50% et les suicides de 40%, les intoxications alcooliques ont chuté de plus de 60%.
L’« Occident » ne s’est pas empressé d’y apporter une aide. Bien au contraire, les moyens utilisés pour tenter de désagréger la Russie devinrent moins voyants mais d’autant plus perfides. Et qui osait contester ouvertement à ces tentatives en prônant des contremesures, comme c’est le cas du gouvernement russe depuis de nombreuses années, était très mal vu en Occident.
Les principaux médias occidentaux ont joué et jouent encore un rôle de plus en plus douteux dans cette campagne menée contre la Russie. Alors que la politique de l’Union européenne, et particulièrement de l’Allemagne, glisse sur deux voies parallèles, du fait des nécessités économiques, et tente de conjuguer la rhétorique antirusse avec des relations économiques payantes, il n’en va pas de même des médias auxquels « on a lâché les rênes ».
Contrairement à ce qu’ils font dans le cas de la Chine, pays que l’on courtise en raison de ses performances économiques (et de l’ampleur de son marché), les médias occidentaux divulguent, uniquement et en permanence, des propos négatifs au sujet de la Russie. Cette campagne atteint une intensité telle que le consommateur de médias non averti ne peut que penser du mal de ce pays. Les aspects négatifs couvrent tous les domaines de la vie et ont pour but de faire ressurgir la plupart des anciens préjugés contre la Russie.
Et cela en dépit de l’action continue du gouvernement russe qui, au cours des 13 dernières années et jusqu’à aujourd’hui, n’a eu de cesse de proposer une coopération avec tous les pays et au bénéfice de toutes les parties.
Ce n’est pas par amour du peuple ukrainien, mais en raison d’un dessein géostratégique, que l’Union européenne tente depuis plusieurs années d’éloigner l’Ukraine de la Russie pour la ramener vers l’UE elle-même. Nous savons aujourd’hui que la « révolution orange » de 2004 fut en fait une opération de ce qu’il est actuellement convenu d’appeler « Smart Power », opération menée en coordination avec l’Union européenne et contre la Russie. Cette tentative de coup d’Etat resta sans succès et aujourd’hui les projets de l’Union européenne n’ont toujours pas abouti au résultat escompté. Donc, il fallait s’y attendre, on s’empresse maintenant de cacher ce nouvel échec en prétendant que Moscou exerce sur Kiev des menaces et un chantage.
On se garde bien d’évoquer le fait que le gouvernement russe avait avancé une proposition d’accord qui aurait profité tant à l’Ukraine qu’à l’Union européenne et à la Russie, proposition qui fut rejetée par l’Union européenne.
Par ailleurs, le président russe Vladimir Poutine, s’est entretenu pendant 35 minutes avec le pape François à Rome. Contrairement aux affirmations des principaux médias, les organes du Vatican ont estimé que l’entretien s’était déroulé dans une atmosphère « cordiale ». Le président russe n’a pas rendu visite au pape en tant que dirigeant religieux de l’église orthodoxe russe mais en sa qualité de chef d’Etat. Il est vrai qu’en tant que tel il a toujours souligné l’importance des valeurs pour promouvoir un progrès dans le développement de son pays, mais aussi dans le domaine de la politique internationale.
Contrairement à l’Occident, où l’on met l’accent sur un modèle de politique utilitariste et matérialiste, le gouvernement russe semble s’appuyer sur une conception orientée sur les fondements de l’église chrétienne, c’est-à-dire en mettant l’homme et le monde au centre de son action. Où trouve-t-on encore cela en Occident ? Quel gouvernement occidental se réclame encore de cette conception au profit de la famille, de la religion et de la nation pour le grand bien des peuples et du progrès ? Qui, en Occident, se préoccupe du fait que, sans liens stables avec « l’autre », l’épanouissement de la personnalité se délite dans la superficialité et l’indifférence lorsqu’il y a absence de soutien et perte d’identité ? On peut supposer que le pape et le président russe se sont parfaitement compris dans le diagnostic concernant l’état d’esprit de l’Occident et ses fausses théories ainsi que sur la voie à suivre pour surmonter ces erreurs.
Nous n’allons pas prétendre qu’en Russie les familles soient intactes, que les gens vivent selon les préceptes de la religion et que la nation offre à la population tout le soutien nécessaire. Mais dans la mesure où l’on reconnaît qu’il reste encore un long chemin à parcourir, on reste bienveillant en tendant une main secourable, dans la mesure où c’est souhaité. Quant à ceux qui veulent détruire la famille, la religion et la nation, ils feront exactement le contraire.
On doit être toutefois conscient du fait que ce n’est pas de cette manière d’agir qui apportera davantage de paix au monde. Bien au contraire, la politique de délitement provoque des conflits. Serions-nous prêts à en payer le prix ? Est-ce la volonté des peuples ?
Nous avions pu constater à quel point les esprits se sont échauffés en Allemagne lors d’une réunion, le 23 novembre à Leipzig, dont le thème était « Pour l’avenir de la famille – va-t-on supprimer les peuples d’Europe ? ». Un groupe de manifestants violents s’en est pris brutalement à cette conférence, particulièrement aux participants qui faisaient partie du Parlement russe. Les forces de police présentes ont laissé faire pendant un bon bout de temps.
Il fut un temps où nous étions accueillants et respectueux des autres et des opinions divergentes. Qu’en est-il aujourd’hui ?
Source
Horizons et débats (Suisse)
http://www.voltairenet.org/article181601.html
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Selon le relevé réalisé par Les Echos, l'augmentation des tarifs bancaire touchera surtout les plus modestes.
Pas d'accalmie des tarifs bancaires l'année prochaine. Selon le relevé réalisé par les Echos, sept des huit banques passées au crible augmenteront le prix d'au moins un de leurs services courants en 2014. Les plus modestes seront particulièrement touchés car ce sont les services les plus simples qui connaîtront les hausses tarifaires les plus importantes.
Ainsi des tarifs des cartes bancaires classiques, compris entre 37 euros et 42 euros par an, augmenteront dans presque tous les établissements. Seules la Banque Postale et la Bred se garderont de revoir à la hausse le prix annuel de leurs cartes bancaires à débit immédiat, différé, ou à autorisation systématique. En revanche, les tarifs des cartes premium augmenteront très peu. Le quotidien note même que le prix de la carte Gold ou Visa premier du Crédit agricole d'Ile-de-France baissera fortement, de 75 euros la première année 2013 à 62,50 euros en 2014.
La moitié des banques observées (HSBC, le CIC, la Société Générale et la Caisse d'Epargne Côte d'Azur) augmentera aussi le prix du virement. Sauf lorsqu'il est réalisé sur Internet - il est alors gratuit dans tous les cas -, le virement coûtera entre 3,40 euros et 4 euros en 2014. La Caisse d'épargne Côte d'Azur et le Crédit agricole d'Ile-de-France sont par ailleurs les deux seules banques du panel à augmenter le coût des retraits hors de leur réseau (à un euro par retrait à partir du 3e ou du 4e retrait).
Le prix de certains services restera cependant stable l'année prochaine, notament celui concernant les frais de prélèvement (lors de la mise en place d'un prélèvement automatique par exemple). Ce service est gratuit dans toutes les banques observées, sauf au CIC, où il est facturé 6,50 euros pour chaque nouvelle autorisation de prélèvement. C'est aussi le cas des commissions d'intervention que facturent les banques en cas de débit. La loi bancaire votée cet été a encadré strictement ces frais, qui ne peuvent plus dépasser 80 euros par mois et 8 euros par opération.
La Banque Postale est cependant allée au-delà en abaissant ses frais, de 6,70 euros par opération en 2013 à 6,60 euros en 2014.
Le dernier rapport de l'Observatoire des tarifs bancaires, publié cet été, soulignait par ailleurs que si les tarifs des cartes bancaires avaient déjà progressé en 2013 (de 1,7% en moyenne pour les cartes à débit immédiat), les tarifs des services réalisés sur Internet tendent en revanche à baisser. C'est le cas des abonnements qui permettent de gérer ses comptes en ligne (ce service coûtait en moyenne 7,43 euros par an l'année dernière, soit 6% de moins qu'en 2012, mais il est gratuit dans la plupart des banques), de l'envoi d'alertes par SMS (6,3%) ou de la mise en place d'un prélèvement automatique (-2%).
Mais ce rapport pointait parallèlement du doigt la facturation croissante de «frais de tenue de compte», «dont la définition reste des plus vagues» selon l'UFC-Que Choisir, mais qui présentent pour les banques l'intérêt de ne pas figurer dans la liste des dix services dont elles ont désormais l'obligation d'afficher le tarif. «Sur les 105 établissements étudiés par notre association en juin 2013, 61 pratiquaient ces frais, pour un montant moyen de 22€. C'est 56% de plus qu'en 2010, à la veille de la mise en place du récapitulatif des 10 tarifs», souligne l'association. Cette pratique gagnera encore du terrain l'année prochaine puisque la Bred prélèvera pour la première fois l'année prochaine 1,5 euro par mois de frais de tenue de compte à certains de ces clients.
La rédaction vous conseille :
http://www.lefigaro.fr/conso/2013/12/23/05007-20131223ARTFIG00340-en-2014-les-tarifs-bancaires-progresseront-surtout-pour-les-plus-modestes.php
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http://www.mondialisation.ca/le-rapport-de-lonu-sur-les-armes-chimiques-en-syrie-expose-les-mensonges-de-washington/5362140
La publication d'un rapport des inspecteurs des Nations unies sur les armes chimiques qui pointe plusieurs attaques au gaz sarin menées par les forces soi-disant « rebelles » expose encore plus les mensonges du gouvernement Obama sur la responsabilité du gouvernement syrien pour l'attaque à l'arme chimique du 21 août à Ghouta dans la banlieue de Damas.
Washington s'était emparé de cet incident comme d'un prétexte pour une campagne de bombardement déjà prévue et pour accentuer la pression en faveur d'un changement de régime sur le président syrien Bashar el-Assad.
La publication du rapport de l'ONU jeudi dernier fait suite à la publication par le journaliste d'investigation Seymour Hersh, lauréat du prix Pulitzer, d'un article détaillé dans la London Review of books. Celui-ci révélait que le gouvernement Obama avait délibérément manipulé les renseignements dont il disposait pour affirmer à tort qu'il avait des preuves de la responsabilité du gouvernement syrien et de son armée dans l'attaque de Ghouta.
Hersh citait des responsables actuels et passés de l'armée américaine et des services de renseignements américains sur la falsification des informations concernant l'attaque du 21 août et sur le fait que le gouvernement Obama avait dissimulé l'existence de rapports des services de renseignements prévenant de ce que le Front Al Nusra (affilié à Al Qaïda) avait la capacité de fabriquer et d'utiliser comme arme du gaz neurotoxique sarin, le même qui a servi lors de l'attaque de Ghouta.
Le rapport de 82 pages rendu par les l'ONU sur les armes chimiques s’appuie sur des enquêtes approfondies sur les lieux de plusieurs attaques où des allégations d'usage d'armes chimiques ont été faites soit par le gouvernement syrien, soit par les gouvernements américain, britannique et français. Les inspecteurs ont analysé le sol et d'autres prélèvements dans l'environnement, examinés des prélèvements de cheveux, d'urine, de tissus biologiques et sanguins pour y trouver des traces de composés chimiques, ils se sont entretenu avec des survivants, des témoins et du personnel médical, ils ont également étudiés les obus qui auraient servi de vecteur au sarin dans chaque incident.
Ils sont arrivés à la conclusion qu'outre l'incident de Ghouta, il y a eu au moins quatre attaques « probables » au sarin. Dans trois de ces attaques, ce sont les soldats de l'armée syrienne qui ont été victimes du gaz mortel, et dans la quatrième, ce sont des civils. Aucune des attaques confirmées n'a visé les milices des combattants « rebelles ».
Deux des attaques maintenant confirmées ont eu lieu à quelques jours de celle de Ghouta. Le 24 août – trois jours après Ghouta et au moment où Obama préparait l'armée américaine pour une frappe et dénonçait le gouvernement syrien pour avoir « franchi une ligne rouge » – le gaz sarin a été déployé contre des soldats syriens à Jobar dans la banlieue de Damas. Ce que le rapport de l'ONU décrit comme « une attaque relativement petite » a été confirmé par des entretiens avec des survivants et des personnels de santé, ainsi que par des prélèvements sanguins positifs au sarin collectés par les autorités syriennes et authentifiés par les inspecteurs de l'ONU.
Sur cet incident, le rapport indique : « un groupe de soldats a reçu l'ordre de nettoyer certains bâtiments sous le contrôle des forces de l'opposition. Vers 11h00, l'intensité des tirs de l'opposition a baissé et les soldats avaient l'impression que l'autre camp se retirait. À près de 10 mètres de certains soldats, une bombe improvisée aurait éclaté avec un faible bruit, libérant un gaz qui sentait très mauvais. Un groupe de 10 soldats a été évacué dans des transports de troupes blindés vers le local médical de campagne avec des difficultés respiratoires et des symptômes étranges non spécifiés. »
Un jour après cette attaque, le 25 août, du sarin a été utilisé « à faible échelle contre des soldats » dans la ville d'Ashrafiah Sahnay au Sud, au cours d'affrontements entre des « rebelles » et des troupes qui tenaient un poste de contrôle du gouvernement. Là aussi, l'ONU appuie ses conclusions sur des entretiens et des prélèvements sanguins effectués par le gouvernement syrien.
Les inspecteurs n'avaient pas pour tâche de déterminer qui était responsable des attaques au sarin qu'ils ont confirmés, et ce rapport est donc silencieux sur cette question. Ce rapport, néanmoins, est rédigé dans les termes les plus circonspects, se contentant de donner des conclusions scientifiques
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Cela ne fait qu'en rendre le contenu encore plus fort. La seule conclusion qui peut être tirée est que les milices « rebelles » soutenues par les États-Unis et dominées par les islamistes sont responsables de plusieurs crimes de guerre sous la forme des attaques chimiques contre les soldats syriens et les civils.
Celles-ci ont été menées pour tenter d'inverser le sort sur le champ de bataille et de déclencher une intervention américano-britannico-française du même genre que celle qui avait donné la victoire aux rebelles libyens, afin d'écraser le régime d'Assad et d'installer au pouvoir l'opposition soutenue par les impérialistes. Le gouvernement Obama a délibérément menti parce qu'il y voyait une occasion de supprimer un autre obstacle à sa domination impérialiste de cette région riche en pétrole et d'isoler l'Iran, en préparation d'une frappe éventuelle contre ce pays.
En fin de compte, Obama s'est retiré à cause des divergences tactiques aiguës au sein de son gouvernement, de l'élite militaire et des services de renseignements américains au sujet des implications qu'il y aurait à laisser le contrôle de la Syrie à des forces dominées par Al Qaïda; et à cause de l'opposition majoritaire dans la population Américaine et mondiale à une guerre sans raison de plus au Moyen-Orient.
Washington a préféré organiser un changement de tactique, donnant son accord au plan russe pour la destruction des armes chimiques syriennes et à l'ouverture de négociations avec le gouvernement iranien. Un des motifs principaux de cette évolution était le désir de libérer les forces militaires américaines pour le « pivot » en Asie et une éventuelle guerre contre le rival montant de l'impérialisme américain sur la scène internationale, la Chine.
Les dernières révélations sur les mensonges du gouvernement Obama sur la Syrie exposent encore plus le rôle criminel joué par les États-Unis et les médias internationaux. Il y a dix ans, les élucubrations du gouvernement Bush sur les armes de destruction massives irakiennes étaient promues comme des informations sûres par les grands médias. En août et en septembre de cette année, les médias ont fait comme si la population mondiale était affectée d'amnésie collective, avec des « renseignements » bidons et des affirmations sans preuves de la part de la Maison blanche, une nouvelle fois relayées par la presse et la télévision.
Maintenant que ce barrage de propagande a été complètement exposé, la couverture se poursuit. L'article de Seymour Hersh comme les conclusions de l'ONU sur les attaques chimiques en Syrie ont été soit minimisés soit complètement passés sous silence.
Les organisations de la pseudo-gauche dans le monde entier ont servi de complices dans ces efforts pour faire taire toute exposition de la propagande guerrière du gouvernement Obama. L'international Socialist Organisation américaine mal nommée, le Nouveau parti anticapitaliste en France, tout comme le Parti la Gauche (Die Linke) en Allemagne continuent à faire de l'agitation pour une intervention plus forte des États-Unis contre le régime syrien, en maintenant que les milices « rebelles » seraient à la pointe d'une « révolution » démocratique.
Depuis les préparatifs de guerre d'Obama en août jusqu'à aujourd'hui, ces organisations issues des classes moyennes et pro-impérialistes ont rejeté toute remise en question des allégations américaines selon lesquelles le gouvernement Assad était responsable de Ghouta. Maintenant elles évitent toute mention de Hersh et des révélations de l'ONU.
En opposition complète à cela, le World Socialist Web Site a immédiatement remis en question les affirmations faites sur Ghouta par le gouvernement Obama et ses alliés internationaux. Dans un article publié le lendemain de l'incident, le WSWS notait : « Les accusations non fondées selon lesquelles le régime syrien du président Bashar al-Assad a perpétré une attaque aux armes chimiques près de Damas et qui a tué un grand nombre de civils présentent toutes les caractéristiques d’une provocation montée de toutes pièces visant à déclencher une intervention occidentale. [...] Si l’on se demande à qui profite un tel crime, il est clair que ce n’est pas au régime d'Assad mais aux forces dirigées par les islamistes et qui combattent pour le renverser. Ces accusations de crimes de guerre perpétrés par le gouvernement syrien sont faites au moment où ces forces sont confrontées à une crise croissante et à une série de défaites militaires.»
Cette analyse, développée dans de nombreux articles et commentaires par la suite est entièrement confirmée. Le WSWS est la voix authentique du mouvement socialiste mondial et de la classe ouvrière internationale en opposition à la guerre impérialiste.
(Article original paru le 16 décembre 2013)
Les auteurs recommandent également :
US media blacks out Seymour Hersh exposé of Washington’s lies on sarin attack in Syria
[11 décembre 2013]
[11 décembre 2013 – original anglais paru le 10]
https://www.wsws.org/fr/articles/2013/dec2013/pers-d17.shtml
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Pour rappel et alors que Mikhaïl Khodorkovski vient d’être libéré, un texte de William Engdahl.
William Engdahl est économiste et écrivain diplomé des université de Princeton et de Stockholm. Il publie depuis plus de 30 ans sur les questions énergétiques, la géopolitique et l’économie, et intervient dans les conférences internationales. Il est conseiller indépendant pour plusieurs grandes banques d’investissement.
www.warandpeace.ru — 31 décembre 2011
Le verdict définitif, prononcé par le tribunal russe à l’issu du procès de l’ancien oligarque du pétrole Mikhaïl Khodorkovski, a soulevé de vives protestations de la part de l’administration Barak Obama et d’autres gouvernements du monde entier. Tous se sont empressés de qualifier le système judiciaire russe de tyrannique et pire encore. Mais la véritable raison, pour laquelle Poutine a fait arrêter et emprisonner l’ancien patron de la plus importante compagnie pétrolière géante privée IOUKOS, est toujours soigneusement passée sous silence lorsqu’on évoque l’histoire de l’oligarque. Car, en réalité, le véritable crime de Khodorkovski n’est pas de s’être approprié frauduleusement une part des actifs de la Russie en échange d’une somme dérisoire à l’époque d’Eltsine où se sont faits les partages crapuleux. En réalité, le vrai crime, reproché à Mikhaïl Khodorkovski, est d’avoir été un élément clé dans une opération lancée par les services de renseignement occidentaux qui visait au démantèlement et à la destruction complète du dernier atout qui faisait encore de la Russie un état en mesure de fonctionner. Si l’on prend ces faits en considération, on peut dire que la justice russe a été, en l’occurrence, beaucoup plus clémente envers l’oligarque qu’on ne le sont les USA ou la Grande Bretagne quand ils condamnent leurs propres criminels jugés pour haute trahison. La prison d’Obama à Guantanamo, où se pratique la torture n’est qu’un exemple parmi d’autres du double langage de Washington.
Si l’on se réfère à l’article «politiquement correct » contenu dans Wikipédia, la compagnie pétrolière IOUKOS était une compagnie implantée en Russie sous le contrôle de l’oligarque russe Mikhaïl Khodorkovski depuis 2003. Khodorkovski avait été condamné et envoyé en prison.
IOUKOS était une des compagnies les plus importantes et les plus prospères dans les années 2000-2003. En 2003, à la suite d’un redressement d’impôts, le gouvernement de Russie a présenté à IOUKOS une série d’avis d’imposition qui se montaient à 27 milliards de dollars. Dans la mesure où, dans le même temps, les actifs d’IOUKOS étaient bloqués, la compagnie n’était pas en mesure de payer ces impôts. Le 1° août 2006, le tribunal russe déclarait IOUKOS en faillite. La majorité des actions du géant était vendue à bas prix aux compagnies pétrolières appartenant au gouvernement russe. Le parlement Européen avait condamné la campagne dirigée alors contre IOUKOS et ses dirigeants, arguant qu’elle était montée de toutes pièces pour des raisons politiques et portait atteinte aux droits de l’homme. (1)
Mais si nous essayons de creuser un peu plus en profondeur, nous découvrons une toute autre réalité. Khodorkovski a été arrêté en Sibérie en octobre 2003 alors qu’il descendait de son avion personnel. Il a été arrêté parce qu’il s’était soustrait au paiement des impôts comme l’affirme très justement Wikipédia. Mais Wikipédia omet de dire qu’à l’âge de 40 ans, l’oligarque était devenu, en un tour de main, l’homme le plus riche de Russie (avec une fortune évaluée à environ 15 Milliards de dollars) après s’être approprié par escroquerie de biens de l’Etat, à l’époque d’Eltsine où étaient commises ces exactions. A la vente aux enchères, organisée par sa propre banque,
Khodorkovski avait payé, pour Ioukos, la somme dérisoire de 309 Millions de dollars. En 2003, la même compagnie était déjà estimée à 45 Milliards de dollars et cette augmentation n’était pas due à la gestion géniale de Khodorkovski.
En 1998, Khodorkovski avait été acquitté par un tribunal américain lors d’un procès où il était accusé de complicité pour le blanchiment d’argent sale, au sein de sa propre banque et à la « Bank of New-York ». Visiblement, il avait des amis très influents aux USA. Quelques mois plus tard, le directeur de la « Bank of New-York » était assassiné dans son appartement de Monaco par les membres d’une soi-disant, selon les bruits qui ont couru à l’époque, « mafia russe » qu’il aurait trompée dans le scénario du blanchiment d’argent provenant de la drogue. (2) Mais il y a mieux encore. Khodorkovski avait réussi à construire en Occident un tissu de relations tout à fait impressionnant. Avec ses nouveaux milliards, volés en définitive au peuple russe, il avait pu s’acheter quelques amis influents. Sur le modèle du fameux fond « Société Ouverte » du milliardaire américain George Soros, il avait créé un fond baptisé « Russie Ouverte ». Il avait placé au Conseil d’administration de ce fond deux représentants occidentaux influents : Henry Kissinger et Lord Jacob Rothschild. Ensuite, il s’était appliqué à développer ses relations avec les membres de plusieurs cercles de Washington parmi les plus puissants. Il avait été nommé au Conseil Consultatif de la Compagnie privée très fermée d’actionnaires « Carlyle Group » et il assistait aux réunions du Conseil à côté d’autres consultants comme George Bush sénior et James Baker III. (3)
Néanmoins, le véritable crime de Khodorkovski, celui qui l’a envoyé derrière les barreaux, était le fait qu’il se trouvait au centre d’un complot de coup d’Etat, soutenu par les USA, pour s’emparer du poste de Président de Russie au moment des élections à la Douma prévue pour 2004. Khodorkovski utilisait méthodiquement son immense fortune pour acheter un nombre suffisant de places de députés aux futures élections à la Douma et obtenir ainsi la possibilité de changer les lois russes relatives au droit d’acquisition de gisements pétroliers et de pipe-lines.
En outre, il projetait de se présenter en tant que concurrent de Poutine aux futures élections et de devenir président de Russie. Dans le cadre de l’entente politique qui avait apporté à Poutine le soutien discret de ceux qu’on appelle les riches oligarques russes, Poutine avait conclu à l’époque un accord selon lequel les oligarques pourraient conserver leur fortune (s’ils en ramenaient une partie en Russie) à condition qu’ils ne se mêlent pas, avec leur argent, de politique intérieure russe. La majorité des oligarques était d’accord, tout comme Khodorkovski à l’époque. La majorité d’entre eux sont restés des businessmen russes mais pas Khodorkovski.
En outre, au moment de son arrestation, Khodorkovski avait engagé des pourparlers avec son ami Georg Bush sénior, le père du président de l’époque Georg Bush, sur la vente de 40% des avoirs d’Ioukos soit à l’ancienne compagnie de Condi Rice « Chevron », soit à « Exon Mobil », geste qui aurait porté un coup fatal à l’atout russe essentiel que la Russie et Poutine s’apprêtaient à utiliser dans le but de redresser l’économie russe moribonde : le pétrole et l’exportation en dollars vers l’Ouest par des pipe-lines d’état.
Au cours de l’enquête qui a suivi pour l’affaire Ioukos, il s’est avéré de surcroit que Khodorkovski avait conclu un accord secret avec Lord Rothschild de Londres mais pas seulement pour le développement de la culture russe via le fond « Russie Ouverte » (4). En cas d’échec et d’arrestation (Khodorkovski savait parfaitement qu’il jouait avec le feu et essayant de faire un coup d’état contre Poutine) 40% de ses actions à Ioukos devaient passer dans les mains de Lord Rothschild. (5)
Les larmes de crocodile d’Hillary Clinton et de Barak Obama sur les atteintes aux droits de la personne de Khodorkovski cachent une strate bien plus profonde dont ils préfèrent ne pas parler à haute voix. Washington a utilisé l’oligarque russe pour essayer d’atteindre son objectif qui était de détruire définitivement l’unique puissance du globe possédant une puissance militaire suffisante capable de s’opposer à la stratégie du Pentagone basée sur un Spectre de domination totale et de contrôle sur toute la planète. Si l’on considère les évènements de ce point de vue, les beaux discours sur les « droits de l’homme » prennent alors une toute autre signification.
(1) Wikipedia, Yukos, accessed in http://en.wikipedia.org/wiki/Yukos
(2) David Kohn, Murder In Monaco: An American On Trial Is Ted Maher Guilty Of Arson?, February 4, 2003
(3) Dateline D.C., Soros and Khodorkovsky, TribLiveNews, November 16, 2003
(4) AFP, Arrested oil tycoon passed shares to banker, November 2, 2003, The Washington Times
(5) F. William Engdahl, Full Spectrum Dominance: Totalitarian Democracy in the New World Order, edition.engdahl, 2009, pp. 58-60.
http://alexandrelatsa.ru/2013/12/quy-a-t-il-derriere-laffaire-khodorkovski/#more-7117
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http://breizatao.com/?p=16694#.Urc7qmozRaI.twitter
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Par Yann de Kerguezec
BREIZATAO – ETREBROADEL (21/12/2013) Il n’est que de lire la presse française, et singulièrement le journal Le Monde – il est vrai détenu par le banquier juif Pigasse – pour constater la désinformation massive en faveur de l’oligarque juif Khodorkovski que Vladimir Poutine vient de faire libérer après que ce dernier ait demandé sa grâce et donc reconnu sa culpabilité.
Comment ne pas sourire lorsque cette presse acquise aux intérêts d’Israël et du judaïsme international se fait cyniquement l’avocate du « respect des droits de l’homme » quand une des figures de la mafia juive russe est jugée et condamnée pour des faits extrêmement graves ? Comme de juste, on ne dit rien de ce qui a valu à Khodorkovski dix ans de prison, les médiats dominants préférant vendre aux foules l’image d’un “dissident” persécuté ! A en croire cette presse, Khodorkovski serait le digne successeur de Soljenitsyne…
L’ascension du juif Khodorkovski : un empire mafieux bâti sur le démantèlement de l’Etat Russe
Khodorkovsky est né le 26 juin 1963 à Moscou dans une famille juive appartenant à la classe moyenne, diplômé du Mendeleev Institute of Chemical Technologies en 1986, il a connu une ascension fulgurante en devenant le 16ème plus riche milliardaire au monde en 2004 alors même qu’il était en prison.
Quand le dirigeant de l’Union Soviétique, Mikhail Gorbachev , a commencé à libéraliser l’économie soviétique en 1986, Khodorkovsky était alors sous chef du comité local de la Ligue de Jeunesse Communiste à Moscou. Les entreprises privées se développant peu à peu, le jeune communiste s’est transformé en jeune entrepreneur libéral trafiquant de jeans, brandy, et d’ordinateurs. Alors que l’ex-Union Soviétique s’effondrait, il s’est rapidement enrichi grâce notamment à ses liens avec la mafia juive de Russie. Le blanchiment d’argent et le trafic de femmes faisaient également partie de ses autres activités très lucratives.
Avec la bénédiction de Gorbachev, Khodorkovsky et ses partenaires en affaires tous aussi véreux les uns que les autres ont crée la Menetep Bank en 1988 l’une des premières banques privées de l’Union Soviétique dont il est devenu le président de 1989 à 1993. L’une de ses premières tâches a été de s’occuper des indemnités versées aux victimes de la catastrophe nucléaire de Chernobyl. Par la suite Menetep est devenue Rosprom, une société d’investissement qui a géré et modernisé des centaines de sociétés de l’aire post soviétique et qu’il a dirigé de 1994 à 1996. Grâce au capital de cette société et ses liens politiques croissants, notamment avec le président Boris Yeltsin dont il a financé la campagne, il a acheté Yukos Oil Corporation, une Compagnie pétrolière, pour une bouchée de pain – cadeau de Yeltsin – se plaçant lui même à la tête de cette entreprise qu’il va diriger de 1996 à 2003. Grâce à des acquisitions et surtout en utilisant des méthodes agressives parfois illégales dans la plupart des pays, Yukos est rapidement devenue la deuxième plus grande entreprise pétrolière russe.
Comme les autres oligarques russes, pour la plupart juifs, tels Boris Berezovsky et le magnat des médias, Vladimir Gusinsky, Khodorkovky a principalement utilisé des méthodes de gangsters pour évincer ses adversaires en affaires et s’enrichir dans la Russie de l’alcoolique invétéré, Boris Yeltsin.
L’homme qui voulait livrer les ressources russes aux Etats-Unis
Devenu le défenseur du libéralisme en Russie il a commencé à financer des partis d’opposition politiques laissant entendre qu’il pourrait se présenter lors des élections de 2008. Ce qui lui a immédiatement attiré la sympathie des élites dirigeantes libérales occidentales qui ont vu en lui un futur président russe à leur botte très coopératif pour livrer les ressources énergétiques russes au pillage des multinationales. Khodorkovski avait d’ailleurs l’intention de vendre 51% des parts de Yukos à l’américain Exxon Mobil.
L’arrivée au pouvoir de Vladimir Poutine, désigné par Boris Yeltsin pour son apparente soumission aux oligarques désirant démanteler la Russie, va changer la donne. Poutine entreprend de redonner au peuple russe le contrôle de l’Etat en restaurant sa souveraineté. Pour les Occidentaux, Américains en tête, c’est la fin d’opportunités colossales en matière d’énergie. Dès lors, la presse aux ordres d’Europe de l’Ouest et d’Amérique n’aura de cesse de présenter les procès contre les oligarques, majoritairement juifs, comme une “atteinte aux droits de l’homme”.
Le passé criminel de Khodorkovski rejaillit donc à la faveur d’enquête d’une ampleur jamais en Russie sur les fortunes accumulée par nombre d’oligarques juifs ayant prospéré sur le démantèlement de l’Etat Russe. Après des mois d’enquête Khodorkovsky est arrêté en Octobre 2003 puis condamné à 8 ans de prison pour détournement de fonds, vol et évasion fiscale.
Après son emprisonnement Yukos a continué à prospérer et du fond de sa cellule Khodorkovsky a continué de s’enrichir grâce à la flambée des prix du pétrole en 2004. Mais les avoirs de Yukos ont été gelés par le gouvernement russe.
En 2004, Khodorkovsky- juif communiste devenu par opportunisme capitaliste et utilisant des méthodes mafieuses pour s’enrichir sans scrupule sur le dos du peuple russe – était à la tête d’une fortune estimée à 15 milliards d e $ classé 16ème homme le plus riche du monde par le magazine Forbes alors qu’il occupait la 26ème place avec une fortune estimée à 8 milliards de $ en 2003.
Khodorkovsky lors d’un deuxième procès vient d’être reconnu coupable de vol de pétrole et risque de passer 14 ans de plus en prison. A nouveau bien sûr les « élites » libérales occidentales dirigeantes crient au procès politique en brandissant leur épouvantail propagandiste de violations des droits de l’homme.
Ses complices en fuite en Israël
Leonid Nevzline, un de ses complices, a fui en Israël comme d’autres oligarches juifs car le parquet russe voulait le juger aussi pour une série de meurtres et pour évasion fiscale. Il vit depuis août 2003 en Israël. Leonid Nevzline est devenu, au fil des ans le chef de file des oligarques juifs de Russie en exil qui ont juré la perte de Vladimir Poutine.
La fortune de cet exilé, évaluée en 2003 à 2 milliards de dollars par le magazine Forbes a subi le contrecoup des poursuites judiciaires et des saisies d’actifs visant Yukos, mais elle reste néanmoins importante et suffisamment conséquente pour financer des campagnes de soutien à Khodorkovsky.
C’est lui qui tente de fédérer l’opposition au président russe Vladimir Poutine depuis l’étranger, coordonnant autour de lui les oligarques juifs déchus.
Le “Madoff russe” selon Vladimir Poutine
Lors d’un entretien, le président russe compara Khodorkovski à un autre juif, Bernard Madoff, désormais incarcéré aux USA pour une escroquerie colossale évaluée à 50 milliards de dollars.
“Prenez Bernard Madoff aux Etats-Unis, il a reçu la perpétuité, et personne n’a bougé“, déclara un jour Vladimir Poutine, alors qu’il répondait à une question portant sur Mikhaïl Khodorkovski.
“L’activité de ceux qui figurent dans ces affaires criminelles a causé un préjudice à la Russie de milliards de dollars”, souligna-t’il, évoquant clairement l’affaire Ioukos. Le président russe avait également mentionné, pour étayer son propos, “d’atteintes à la vie et à la santé d’autres personnes dans le cadre de leurs prétendues activités commerciales”.
“Comme vous le savez, dans les années 1930 aux Etats-Unis, al Capone a été jugé pour fraude fiscale, officiellement. Mais en pratique, pour tous les crimes qu’il avait commis. Dans le respect de la loi”, a ajouté le Premier ministre russe. “Tout ce qui se passe chez nous se fait dans le respect de la loi”, avait-il encore dit.
Khodorkovski reconnait sa culpabilité
En demandant sa grâce au président russe Vladimir Poutine, Khodorkovski met fin à dix ans de dénégations quant à sa culpabilité. Une grâce ne pouvant être obtenue que lorsque l’on se reconnait coupable.
Selon le journal Kommersant, c’est la perspective d’un troisième procès, pour une série de meurtres, qui a convaincu l’oligarque juif déchu d’assumer sa culpabilité et – ce faisant – de se voir offrir le droit de quitter la Russie et d’abandonner toute ambition politique dans ce pays. Il a aussitôt rejoint l’Allemagne où certaines puissances d’argent l’ont soutenu, espérant de lui qu’il offre à Berlin d’énormes contrats pétroliers à bon marché, moyennant un soutien politique inconditionnel.
Tel est le portrait réel de Khodorkovski, dépeint comme un “dissident persécuté” par la presse occidentale, Occident qui perd avec lui un de ses meilleurs agent contre la Russie.
.
Madame la Présidente,
Chers collègues,
Je tiens d’abord à préciser que je m’exprime en mon nom propre et non au nom du groupe PS. Ce n’est pas une situation humainement facile, même si je suis persuadée que beaucoup de mes camarades partagent mes propos. J’ai la conscience tranquille.
En tant que députés bruxellois, nous sommes appelés aujourd’hui à adopter au pas de charge ce traité important. On peut se réjouir que le débat prenne enfin place, tout comme on peut déplorer que nous soyons le dernier parlement à ouvrir cette discussion pour la refermer aussi vite, bien trop vite !
Cette discussion aurait mérité l’éclairage des syndicats, d’économistes, d’universitaires et d’autres organisations de la société civile dans notre parlement. Des auditions communes au Parlement wallon et Parlement Wallonie-Bruxelles se sont déroulées le 4 décembre dernier, en présence des syndicats.
Face à un traité dicté par des experts néolibéraux, nous aurions pu auditionner des experts aux opinions plurielles. Nous ne le faisons pas, et c’est plus que dommageable pour l’échange que nous allons avoir.
Nous devons malheureusement constater que le débat parlementaire du traité est gravement bâclé et expédié à la va-vite depuis ce matin, sous prétexte que nous sommes les derniers en Belgique à en discuter et que la Belgique est le dernier Etat signataire à ne pas encore avoir ratifié le traité.
Si nous sommes les derniers à en discuter, certains d’entres nous n’ont pas attendu que le TSCG soit enfin transmis au Parlement pour se positionner pour ou contre.
En lisant l’exposé des motifs, j’ai l’impression de lire 14 pages de mise en cause du dogme austéritaire, alors que le traité commande d’appliquer l’austérité. J’ai l’impression de lire un exposé des motifs disant le contraire du traité. J’ai l’impression qu’avec légèreté ou hypocrisie, le gouvernement nous explique que nous pouvons amender ce traité, ou du moins ne pas le respecter à la lettre.
Hypocrisie, car un traité européen ne peut pas être défait au niveau national ou régional : il ne peut qu’être accepté ou refusé tel quel.
Légèreté, car on nous explique que Bruxelles, comme la Wallonie et la Communauté française, peuvent obtenir ce que la France, 2ème puissance de la zone euro, n’a pas obtenu. Pensons-nous sincèrement, chers collègues, que nous pourrons nous affranchir des règles du traité que nous nous préparons à voter alors qu’un gouvernement bien plus fort que le nôtre n’a jamais cru pouvoir le faire et ne l’a jamais envisagé ?
Je ne souhaite donner de leçon à personne, encore moins aux groupes de la majorité, mais il est tout de même interpellant que le syndicat socialiste appelle à voter contre le TSCG à l’image de toute la Confédération Européenne des Syndicats, et que certains qui se déclarent de gauche, voire tout simplement vouloir être souverain dans son parlement et maitre de son budget, dans son pays, vont sans doute voter pour sans autre procès.
Ce traité touche au fondement de notre démocratie : la gestion des deniers publics sous contrôle démocratique.
Les premières révolutions libérales, au Royaume-Uni et dans les futures Etats-Unis d’Amérique, se sont faites au nom du consentement démocratique à l’impôt. Avec ce traité, nous prévoyons des sanctions automatiques contre des gestions démocratiques qui n’iraient pas dans le plein respect des normes d’austérité figées par le TSCG.
Nous prétendons mettre des garde-fous. Je ne peux y croire.
L’exposé des motifs met bout à bout des ficelles progressistes contenues dans les différents traités européens et nous ferait peut-être même croire que l’Europe sociale est en marche après le TSCG, ou même grâce au TSCG. Nous avons entendu le même discours avec le traité de Maastricht, puis d’Amsterdam, de Nice, la TCE, le traité de Lisbonne et maintenant le TSCG, ce qui me fait douter encore plus.
Parmi les bouts de ficelles, on note dans l’exposé des motifs que la commission Européenne a déclaré en février 2013 réfléchir à l’exclusion des investissements publics durables de l’évaluation des finances des Etats Membres.
Croyant y déceler un changement d’approche de la Commission qui, subitement, se distancierait du dogme de l’austérité, on oublie qu’actuellement c’est cette même Commission européenne qui réclame aujourd’hui au Portugal une baisse des salaires, avec le FMI et la BCE !
On m’objectera peut-être que sans ratification du TSCG, on ne peut bénéficier de l’aide du Mécanisme Européen de Stabilité.
Je veux à ce propos rappeler à nos souvenirs les propos d’une collègue pendant le débat portant sur le traité créant le MES. Ces propos datent déjà de presque 2 ans, du 2 mars 2012.
Elle disait simplement qu’« Il faut éviter que nous soyons amenés, demain, à donner notre assentiment, sans autre forme de débat, à des mécanismes qui seraient imbuvables pour notre population, en constatant de surcroît que nous n’avons même pas eu notre mot à dire et qu’un mécanisme d’adhésion automatique nous entraîne dans un raz-de-marée contre lequel on ne peut résister. »
Elle rappela aussi utilement qu’ « aujourd’hui, il n’est pas question d’appliquer et d’accepter la règle d’or ».
Cette oratrice, elle s’exprimait au nom du groupe PS. C’était la regrettée Anne-Sylvie Mouzon. Elle n’était pourtant pas une gauchiste, comme s’apprêter d’aucuns à cataloguer ceux et celles qui diront non à ce traité.
Ratifier le TSCG, c’est accepter la règle d’or de l’austérité tout en ouvrant la porte à l’action de la Troïka UE-FMI-BCE. Car il faut rappeler que la Troïka intervient automatiquement en cas de recours au MES.
Rappelons que la règle d’or impose aux Etats l’austérité pour un équilibre budgétaire. Cela veut dire concrètement que les Etats ne peuvent dépenser plus que leurs recettes. Cependant, aucun Etat n’y arrive. Un Etat doit investir, c’est-à-dire développer les services publics, l’école, les hôpitaux, la culture, les infrastructures et les administrations. Pour cela, le pays a besoin d’emprunter, mais avec ce traité, ce n’est plus possible.
Cependant, pour des dépenses exceptionnelles tel que renflouer les banques on trouvera toujours les « marges de manœuvre ».
Pensons-nous sincèrement avoir besoin du MES un jour ? Pensons-nous sincèrement être dans une situation proche de la Grèce ou du Portugal ?
Si nous le pensons, c’est que nous pensons alors devoir probablement s’administrer les mêmes coupes dans les services publics et les salaires que le peuple grec ou portugais.
Et cela, je ne peux m’y résoudre. Aujourd’hui, la Belgique comme la région de Bruxelles-capitale n’ont aucun avantage à ratifier le TSCG et à bénéficier du MES, au contraire on peut prévoir des graves inconvénients et des menaces sur notre avenir.
Le TCG est un traité marqué d’un dogmatisme néolibéral en faillite et c’est une question de survie que de s’y opposer.
Vous l’avez compris, ce traité imbuvable, inacceptable n’aura pas mon assentiment.
Merci
http://www.sfiabouarfa.be/carnet/2013/12/intervention-en-seance-pleniere-du-parlement-bruxellois-contre-la-ratification-du-tscg/
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